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L'histoire de Huo Yuan Jia, maître d'arts martiaux et fondateur de l'école Jingwu.

Hop. Rapidement: les combats sont sympas (bon, le combattant lutteur ricain... ), l'ambition de dresser derrière tout ça un contexte historique n'est pas inintéressante, après c'est vraiment, niveau narration, tous les passages obligés chiants de l'imagerie maître zen et trauma avec des orages...et ça m'a saoulé. Parce que dès que ça se donne pas des coups de rouleau à cuisine dans les dents, c'est bien mollasse, avec un Jet Li que je trouve toujours antipathique (bon ça c'est perso)...

A noter que ça devait être bien plus long à la base (là 1h44 - oh bah ça va déjà bien hein), mais que toute la partie où le jeune prodige se fait éduquer par une maîtresse katana de la muerte a été foutue à la poubelle. C'est con ça fait une demi heure de moins de Michelle Yeoh qui n'est plus dans le film du tout du coup.

A noter aussi Masato Harada dans le rôle d'un méchant nul.

Voilà je sais plus quoi noter d'autre. L'actrice qui joue Moon s'appelle Sun. Je crois que c'est tout.

Ca sort le 6 septembre, pour la Saint Bertrand mais c'est aussi la Saint Gondulphe et Onésiphore.

2/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

La rencontre entre Ronny Yu, légendaire cinéaste hong-kongais (<b>Jiang Hu</b>) ave Jet Li, l'une des stars mondiales du cinéma d'action promettait des étincelles. Le casting des techniciens tient de l'établissement d'une "<i>dream team</i>" avec Yuen Woo-Ping (<b>Matrix</b>, <b>Tigre et dragon</b>) pour la chorégraphie des combats, Shigeru Umebayashi (<b>2046</b>) pour la musique et Hang-Sang Poon (<b>Crazy Kung Fu</b>, <b>La Légende de Zu</b>) pour la photographie. Pourtant, le résultat est légèrement décevant. Si les affrontements défient bien sûr les lois de l'attraction terrestre avec un Jet Li au sommet de son art martial, <b>Le Maître d'armes</b> souffre du monolithisme psychologique de ses personnages, qui, à l'exception du héros, ont du mal à avoir une existence propre et crédible. Les péripéties s'enchainent ainsi sans véritable suspense suivant un rythme monotone. Huo Yuanjia s'interroge sur la conduite à tenir, expose ses doutes puis combat et ainsi de suite. Sur le plan de la mise en scène, Ronny Yu a été plus inspiré par le passé, comme si son passage à Hollywood lui avait donné de bien mauvais réflexes dont l'utilisation abusive de ralentis et autres effets de caméra. Malgré ces réserves, <b>Le Maîtres d'armes</b> demeure un divertissement plaisant pour qui apprécie le genre. Particulièrement impressionnant, le final mérite à lui tout seul le déplacement...

3/6

c'est sûrtout basique nivô narration. Je doute, donc je tape, donc je doute, donc je tape.



Ah oui, j'ai pas compris. Vu dans un état semi-comateux - pas idée ces projos à 11h15

3 / 6

Les –

- l’intrigue navigue d’abord dans le convenu mais reste regardable jusqu’à mi film. Puis on glisse graduellement vers le nanar caricatural et un final dégoulinant de mélo.
- quelques brefs passages de combats gâchés par l'abus d'effets numériques (destructions du décor etc.) et d'accélérés.

Les +

- Les combats qui vont du correct à l’excellent. Pas trop de câble lisible à l’image, beaucoup de coups crédibles, de chorés exécutées au millimètre, des situations et des armes variées, de beaux décors, un montage cut. Yuen Woo-Ping ne s’est pas contenté de cachetonner.
- une histoire bien rythmée
- la reconstitution historique (figuration décors costumes..) Y compris la vue aérienne de Shangaï en 1910, ostensiblement des images de synthèse, mais ça passe.
- la photo (à l’exception de la lumière en extérieur) et quelques touches bucoliques comme l'idée de la brise sur la rizière.
- Jet Li, hyper rodé pour faire le sage façon Wong Fei-Hung.
- la classe de son ultime adversaire (Shido Nakamura), qui sauve le final d’un dénouement totalement nanardesque.
- une BO sympa

La scène d’ouverture (une dizaine de minutes) qui rassemble toutes les qualités du film et aucun de ses défauts. C'est commercialement curieux.

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Tennis de Table Bordeaux

Malgré sa trame hyper-classique avec tous les passages obligés du genre, ce Fearless reste tout de même sympathique. On peut toujours compter sur le génial Yuen-Woo Ping pour avoir de jolies scènes de tatane avec un Jet Li en grande forme. Le final est impressionnant.

3/6