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MessagePosté: 26 Juin 2025, 00:09 
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Suite à la disparition soudaine de sa voisine de chambre, un ancien agent secret, reclus dans un palace de la Côte d’Azur, s’imagine que ses ennemis jurés refont surface. Surtout la redoutable Serpentik, qu’il n’a jamais réussi à démasquer. Oscillant entre présent et passé, il remonte le film de sa vie, au risque de découvrir qu’il n’y tenait pas forcément le meilleur rôle. Et que les diamants sont loin d'être éternels…

Il y a un moment, dans le premier tiers du film, où j'ai piqué du nez par intermittences sur une dizaine de minutes, et quand j'ai repris mes esprits, j'ai eu l'impression d'avoir raté une info cruciale pour démêler le vrai du faux, le passé du présent, et comprendre la logique exacte selon laquelle s'imbriquaient les pièces du puzzle qui sert de récit.

Mais par la suite, j'ai vite compris...qu'il n'y avait rien à comprendre.

Ou plus précisément, comme nous l'intimait Maître Nolan comme mode d'emploi à certains de ses films, "don't try to understand it, feel it".

Et quel mantra approprié au cinéma sensoriel de Cattet & Forzani qui reviennent avec leurs extrêmes gros plans, plus charnels que jamais, leur sound design amplifié cauchemardesque pour les misophones, et leur avalanche de références, toujours issues du cinéma (d'exploitation) italien. Ils ont pitché le film comme "Mort à Venise x James Bond", moi ça m'a donné l'impression de voir Ian Fleming's Mulholland Drive.

Si dans un premier temps on est désarçonné par les allers-retours temporels, ce n'est rien à côté de ce que la suite nous réserve, brouillant la frontière entre réalité et fiction au fur et à mesure que les souvenirs s'entrechoquent dans l'esprit potentiellement sénile d'un espion qui "voit sa vie défiler devant ses yeux avant de mourir" comme on dit, comme un film...et peut-être même que c'en était un.

Par cette mise en abyme déroutante mais ludique, le tandem apporte un peu de profondeur à son esthétique fétichiste, une réflexion post-moderne sur leur propre style, cristallisant toujours un monde de cinéma, de genre, de codes. Comme un Kill Bill bis mais plus jusqu'au-boutiste. Parce qu'ici, pour le coup, c'est vraiment ce que les gens impressionnables disaient, à tort, au sujet de L'Amour ouf : y a limite une idée par plan. Un cadre, un raccord, une superposition d'effet sonore et d'image décorrélée, un gadget, une badasserie...parfois, c'est comme si tout le film était le générique d'un James Bond, un objet pop art narratif décomplexé qui carbure à l'icône. Vraiment, plus encore que Laisse bronzer les cadavres, c'est une corne d'abondance réjouissante.

C'est ce voyage son et lumière enivrant qui porte le film avec sa structure kaléidoscopique qui ne donne aucune clé, qui demande à être accepté comme tel, comme le death dream d'un mourant.

J'aurais toujours tendance à penser qu'il serait possible de faire le même film avec de vrais acteurs pour lui donner un cachet autre mais la démarche des cinéastes est délibérée, s'inscrivant dans la lignée de leurs modèles.

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MessagePosté: 26 Juin 2025, 10:32 
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MessagePosté: 27 Juin 2025, 09:25 
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J'ai eu plus de mal de mon côté. Il faut dire que je me suis brièvement endormi à plusieurs reprises alors déjà que le film est totalement expé, je me reveillais et je savais plus où j'étais. J'avais trouvé Laissez bronzer les cadavres plus homogène mais là c'est vraiment une plongée totalement expérimentale et fragmentée dans une imagination collective autour du film d'espionnage d'exploitation italien. C'est marrant j'ai pensé comme FF aux génériques de James Bond avec ce sentiment que le film en était d'une certaine manière une adaptation live. Mais plus on avance et plus je me perds entre méta, sauts temporels, simili intrigue etc... Alors ce n'est pas grave mais comme souvent le lot de films qui se dégustent par séquences, par moments, je sais qu'il ne m'en restera pas grand-chose tant j'ai le sentiment de piocher un peu par ci par là des idées visuelles géniales (la robe tueuse, tous ces masques, ce côté Mort à Venise...) et surprenantes perdues au milieu d'un fatras incompréhensible et parfois un peu éreintant. Le film interroge également mais un peu filigrane le masculinisme de ce sous-genre et son côté potentiellement misogyne et c'est vraiment pertinent. Alors je continue d'apprécier leurs films, je trouve incroyable qu'ils parviennent à se faire financer et à sortir leur film en salles et je continuerai de suivre leur carrière (ils travaillaient sur un projet de film d'animation je sais pas si c'est toujours d'actualité) mais c'est pas mon préféré (peut-être à revoir plus en forme).

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MessagePosté: 27 Juin 2025, 09:28 
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MessagePosté: 03 Juil 2025, 18:11 
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J'avais donné dans le cinéma de Hélène Cattet et Bruno Forzani sur l'écran de mon mac, avec L'Étrange Couleur des larmes de ton corps sans être convaincu et n'étant pas un fan du giallo donc j'ai décidé de leur redonner une chance en salle.
Je comprends parfaitement d'où vient leur désir de cinéma de montage et d'expérimentations visuelles, trop rare malheureusement. C'est un cinéma qu'on pourrait qualifier de clippesque dans le sens où les expérimentations visuelles sont légions dans le clip, mais par la force des choses, sans justement ce travail de montage, notamment sur le son, qui contribue à rendre le film intéressant.
Bon j'ai cru au début que malgré tout ça allait se vautrer dans la facilité d'un cinéma obligatoirement revivaliste et fétichiste, à la sensibilité de décorateur d'intérieur, à la façon d'une page pinterest, avant de me laisser prendre au jeu.
Le film a cette qualité de s'améliorer au fil du temps, qui tient vraiment à sa qualité de film de montage, à son absence d'histoire, même si la manière dont il évoque quelques thèmes contemporains, comme à tâtons est pas inintéressante aussi, notamment cette revisitation de la figure de Bond avec un Fabio Testi dont la ressemblance avec Sean Connery saute évidemment aux yeux. Il y a du Bruno Nicolai à gogo - on aime bien évidemment mais on aimerait les voir exercer leur style dans quelque chose de contemporain, pas encombré de toutes ces références.
Ça faisait deux films cerveaux en une soirée après Life of Chuck.


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MessagePosté: 12 Juil 2025, 19:56 
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Premier film du duo que je vois.

J'avais été intrigué par la BA de leur précédent mais raté le film, puis oublié, ya tellement de petits malins ne valant rien, c'était pas bien grave.
Je vois que 8 ans en fait se sont écoulés entre les deux ! Mais finalement, ça se comprend. Entre trouver les financements pour ce genre de projet et le polir, même à quatre mains, il y a beaucoup de boulot.
Et en voyant la BA de celui-ci, ça a tilté, parce qu'en plus, avec ce masque à la Diabolik, j'étais en terrain connu et aimé.
Alors quand le film se termine avec La Lucertola de Morricone, je ne peux qu'être conquis.

Quoi qu'entre la BA et l'utilisation de ce morceau au 3/4 du métrage et sur le générique de fin, ya tout un film.

Vrai plaisir finalement, par sa beauté formelle à couper le souffle, des références à foisons et beaucoup d'humour, je mentirais si je disais que je n'ai pas trouvé le temps long.
J'ai regardé ma montre au bout de 40mns et j'ai eu peur de souffrir, même si finalement, et c'est sûrement un point fort du film, c'est à partir de ce moment-là que j'ai fini à réussir à m'accrocher à sa raison d'être: un hommage frontal au cinéma, et au pop, pulp, bis, graphismes, fumetti et tutti quanti, avec cette pointe de nostalgie, si ce n'est de deuil (par rapport à la fin) et de la propre conscience d'un geste qui se sait vain sur la possibilité d'un retour en arrière, ou d'un revival de genres.

D'ailleurs, plutôt cool cette idée de générique de fin d'une oeuvre ouvrant le film, se brouillant dans les tréfonds de la mémoire pour nous proposer par la suite une vision éclatée et pas forcément très cohérente telle les souvenirs. Comme ces touches japonaises dans l'inspiration occidentale, au sein de laquelle l'italienne écrase le reste. Bien aimé d'ailleurs le jeu sur les langues qui rappelle d'ailleurs à quel point le tourangeau, c'est vraiment pas intéressant comme dialecte.
Cette question aussi de se savoir constitué de faux-semblants à nos corps défendant. Que nos expériences de vie se brouillent, se mêlent, se déforment, sans parler des mensonges que l'on se fait, c'est une chose mais ajouter toutes ces heures et quantités d'informations abstraites ou de fictions qui finissent presque par nous imprégner comme la réalité et l'on est pris de vertiges à notre petite hauteur d'homme.

Hommage hyper méta au cinéma, difficile de ne pas penser à Tarantino. Ce dernier est bien évidemment beaucoup plus embrassable par son génie à condenser la richesse de ses inspirations et thématiques (même si celles-ci sont depuis Death Proof de plus en plus faciles et donc parfois vulgaires) dans un canevas scénaristique brillant mais le duo a vraiment une sensualité et une chair que n'a pas l'Américain (rendant sa violence encore un peu plus gadget).
Alors là, c'est aussi très tracé, comme la moquette du couloir de l'hôtel mais son filmage rend ça d'une psychée qui nous perd et prend le risque de nous détacher. J'aurais lancé ce film chez moi à 21h30, je n'allais pas plus loin que ces 40mns.
Et en y réfléchissant, l'impression d'un Tarantino meets Nolan. Un espèce de mix de némésis, dans leurs quelques points communs. Alors peut-être à cause de Maria de Medeiros, très plaisante à revoir et plus pétillante que jamais (même si son pif sous le masque de Diabolik, bah non). Et le côté qui lorgne sur James Bond. La déstructuration chronologique assurément.
Mais tout ça peut aussi avoir ses faiblesses: un mélange de Tarantino et de Nolan (et j'aime beaucoup le cinéma des deux, malgré leurs défauts m'empêchant d'être à fond), c'est un peu une certaine idée de l'Enfer.
Ce que ce film ne serait pas loin d'être, sauf qu'il a ce que les précités n'ont pas: des giclées de liquide séminal.
J'ai aussi pensé à Millenium Actress de Kon, quand on se retrouve sur un plateau ou en conf de presse. Et je lis ici qu'ils ont un projet d'anime ? Une évidence.

D'ailleurs, les critiques ici font ressortir une vraie cohérence à ce que les spectateurs prennent du film.
Si les côtés Kill Bill et James Bond sont plutôt évident, lire que FF pense aussi à Nolan fait sens.
Quand bmntmp remarque aussi que le film gagne dans la durée.

Enfin ça m'a donné très envie de voir les précédents, même si j'ai quand même un peu peur. Rien que de ne pas être dans une salle... A voir.
En tout cas, de voir les suivants.

Quoi qu'il en soit, brillante démonstration qu'il y a des techniciens en France qui arrivent à faire pour le cinéma de très belles images, des dialogues audibles (même si les acteurs jouent des archétypes et ne sonnent pas authentiques, au moins, on comprend ce qu'ils disent; post-synchro ?) et un montage au cordeau.
D'ailleurs, c'est peut-être bien que parce que tout ça n'est pas vraiment français (je serais curieux de voir si l'Italie a été contacté de base et si ça a été facile) et en fait, si ce film pouvait relancer les productions transeuropéennes d'une certaine époque, ça pourrait améliorer quelques bricoles.
Évidemment, ça n'arrivera jamais vu que la France a la BNP-Paribas et la Région Pays de la Loire qui doivent se suffire à elle-même.
En l’occurrence, ça doit être le pognon luxembourgeois qui fait toute la différence (d'ailleurs les maquillages et prothèses, c'est du grand artisanat).


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MessagePosté: 12 Juil 2025, 21:37 
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Pour toi public (personne ne lit mes interviews en fait)

Bruno Forzani. Pour nous, c’est une expérience cinématographique, on essaie de donner un orgasme au spectateur. Quand on écrit, on pense à lui, à comment le surprendre, à comment lui donner du plaisir. Et c’est vraiment un cinéma, pour nous, jouissif. C’est comme un rollercoaster purement cinématographique, une extase cinématographique. Le côté orgasmique du cinéma, je l’ai découvert avec Lynch, avec « Lost Highway » et « Twin Peaks Fire Walk With Me », ou après Darren Aronofsky avec « Requiem For A Dream » et Shinya Tsukamoto avec « Tetsuo ». Ce sont des films qui m’ont marqué. Et puis il y a Satoshi Kon, qui a créé une écriture 3D avec différentes couches de narration qui, petit à petit, donne différentes interprétations selon l’angle sous lequel tu vois le film. C’est lui qui a inspiré Darren Aronofsky pour « Requiem for a Dream » (« Perfect Blue »), et Christopher Nolan pour « Inception » (avec « Paprika »). Nous avions vu « Millenium Actress » en 2001 et pour nous cela a été une révolution cinématographique en termes d’écriture, ça ouvrait des possibilités. Comme c’est un film d’animation, c’est passé inaperçu alors que c’est vraiment un film hyper important.


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MessagePosté: 12 Juil 2025, 22:14 
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Karloff a écrit:
Pour toi public (personne ne lit mes interviews en fait)

Bruno Forzani. Pour nous, c’est une expérience cinématographique, on essaie de donner un orgasme au spectateur. Quand on écrit, on pense à lui, à comment le surprendre, à comment lui donner du plaisir. Et c’est vraiment un cinéma, pour nous, jouissif. C’est comme un rollercoaster purement cinématographique, une extase cinématographique. Le côté orgasmique du cinéma, je l’ai découvert avec Lynch, avec « Lost Highway » et « Twin Peaks Fire Walk With Me », ou après Darren Aronofsky avec « Requiem For A Dream » et Shinya Tsukamoto avec « Tetsuo ». Ce sont des films qui m’ont marqué. Et puis il y a Satoshi Kon, qui a créé une écriture 3D avec différentes couches de narration qui, petit à petit, donne différentes interprétations selon l’angle sous lequel tu vois le film. C’est lui qui a inspiré Darren Aronofsky pour « Requiem for a Dream » (« Perfect Blue »), et Christopher Nolan pour « Inception » (avec « Paprika »). Nous avions vu « Millenium Actress » en 2001 et pour nous cela a été une révolution cinématographique en termes d’écriture, ça ouvrait des possibilités. Comme c’est un film d’animation, c’est passé inaperçu alors que c’est vraiment un film hyper important.

Moi je veux bien si possible l'itv complète.

Sinon, inaperçu, il exagère un poil.
Même si c'est vrai que Millenium Actress semble être moins mis en avant que Perfect Blue (qui a le bonus de la révélation) et Paprika, qui a dû sortir en salles dans la foulée de sa production, film d'un auteur alors confirmé (par MA donc), étant alors un petit événement.
Enfin j'ai aussi découvert Kon comme ça : Perfect Blue, Paprika puis MA. L'effet des claques ne sont pas pareil. Même si plus ça va, plus MA s'impose à mes yeux comme son meilleur (et j'arrive même pas à être déçu par Tokyo Godfathers tant il y a de l'amour dans les personnages).

Edit: la mémoire, c'est compliqué. J'étais persuadé que TG était après Paprika alors que non, et j'ai vu TG au cinéma, donc avant Paprika (ou une reprise ?), et Perfect Blue, je l'ai cultifié en le voyant sur Canal, donc relativement tôt et j'ai pourtant vu MA qu'après tout ça. Fin bon, ya aussi eu la découverte de l'alcool et de la drogue en plus du quart de siècle...

D'ailleurs, ça doit être à peu près où les ponts avec le Kon deviennent évidents que Diamant décolle vraiment pour moi. Quand ça commence à dire que l'espion / acteur n'est pas irremplaçable et surtout la conférence de presse avec les balles / rouge à lèvres. Le degré de lecture supplémentaire à ce moment-là relance le film qui commençait à tourner à vide. Et c'est vraiment fort niveau montage. Et risqué. Ça tient à pas grand chose de devenir désagréable, même en ayant apprécié le début. Ils savent que bon l'univers marqué du film va déjà élaguer du monde en 5mns, mais là, ils prennent le risque de perdre encore ceux ouverts et / ou curieux et là, bim, c'est relancé.
Vraiment du bon gros boulot.


Dernière édition par Bêtcépouhr Lahvi le 13 Juil 2025, 00:08, édité 1 fois.

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MessagePosté: 12 Juil 2025, 22:30 
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https://www.parismatch.com/culture/cine ... ema-253371


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MessagePosté: 12 Juil 2025, 22:49 
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Étonnant qu'ils semblent ignorer la vraie origine du titre (Reflet dans un oeil d'or, une excellente nouvelle de Carson McCullers, adaptée au cinéma par Huston avec un couple Brando-Liz Taylor, dont l'intrigue est proche de l'atmosphère de leurs premiers films)

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MessagePosté: 12 Juil 2025, 23:05 
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Peut-être que ce n'est pas le titre belge ?


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MessagePosté: 12 Juil 2025, 23:29 
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Karloff a écrit:
https://www.parismatch.com/culture/cinema/helene-cattet-et-bruno-forzani-nous-racontent-reflets-dans-un-diamant-mort-le-joyau-de-la-fete-du-cinema-253371

Merci !

Citation:
Vous tournez d’ailleurs avec combien de caméras ?

Bruno Forzani. Une seule caméra, c’est en super 16 en pellicule

Hélène Cattet. À l’ancienne.

Ah ouais.


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MessagePosté: 13 Juil 2025, 00:03 
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J'ai rarement vu un couple aussi fusionnel. Il commençait une phrase, elle la terminait. Ils m'ont montré une sorte de making of sur leur ipad, en fait ils jouent tout le film avant de le tourner avec des acteurs.


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MessagePosté: 13 Juil 2025, 00:13 
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Karloff a écrit:
Peut-être que ce n'est pas le titre belge ?



Ils sont français en fait, tout comme un autre couple produit en Belgique Marre et Lecoustre, j'imagine qu'ils se présentent présent comme belges étant donné l'évolution du discours politique sur les subsides publics.

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MessagePosté: 13 Juil 2025, 06:45 
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Vieux-Gontrand a écrit:
Karloff a écrit:
Peut-être que ce n'est pas le titre belge ?



Ils sont français en fait, tout comme un autre couple produit en Belgique Marre et Lecoustre, j'imagine qu'ils se présentent présent comme belges étant donné l'évolution du discours politique sur les subsides publics.
Tous les mêmes.


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