Forum de FilmDeCulte

Le film du mois studio chez nos amis les vieux frippés atteints d'Alzheimer avec beaucoup de neige... On pourra pas dire que j'étais pas prévenu, c'est d'une platitude toute vermeille au niveau de la mise en scène avec ses flashback betacam rappelle toi nos noces de cotons et ces jingles gériatriques dans les couloirs d'un hospice. Entre Frears qui filme la reine d'Angleterre comme dans un épisode de Maguy et Piccoli qui se prend pour Ionesco et ce mélo cousu de fil (d'araignée) blanc, je n'ose même pas imaginer la gueule du futur prix de la mise en scène. *Sokourov?*
1/6

T'as craqué toi hein?

[Message déplacé]


Monique Pantel style

Premier film qui dévoile les talents de réalisatrice de Sarah graou Polley. L'histoire tout simple d'un homme qui soutient sa femme, atteinte d'Alzeihmer. C'est une histoire d'amour, et c'est magnifique. Délicatesse d'écriture, grande sensibilité, acteurs bouleversants (Julie Christie, a real lady)... Les mauvaises langues n'y verront qu'un téléfilm à débattre dans les écoles ou les ciné-clubs cheap. Mais non, il y a la un regard, un ton, une intention, une caméra. Avec du Neil Young et du Bach en prime, que demander de plus...?

Que ceux qui hésitent n'hésitent plus.

5/6

-> aucune trace sur FDC.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

[Message déplacé]


Y a déjà un topic ouvert par ton serviteur via le titre français (loin d'elle)ma louloute.

[Message déplacé]


Ah oui. Merde. Pardon.

Mais à te lire je préfère mon fil. Tu baques le tien stp? Merci.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

[Message déplacé]


Et bien non Arnotte, par le pouvoir du up, le filmdeculteur fragile restera préservé de cette bouse infâme.

[Message déplacé]


Honneur au 1er qui a posté, désolée, Arnotte peux-tu copier-coller ton message dans le fil de DPSR s'il-te-plaît, je ferme ce topic et il sera effacé ensuite.

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Janet

Et donc l'avis d'Arnotte:

Monique Pantel style

Premier film qui dévoile l'incompétence de réalisatrice de Sarah graou Polley. L'histoire tout simplette d'un homme qui soutient sa femme, atteinte d'Alzeihmer. C'est une histoire d'amour, et c'est d'un chiant. Lourdeur d'écriture, grande sensiblerie, acteurs séniles (Julie Christie, a real lady)... Les mauvaises langues n'y verront qu'un téléfilm à débattre dans les écoles ou les ciné-clubs cheap. Mais non, c'est pire, il y a la un regard, un ton, une intention, une caméra qui sombrent dans la plus profonde léthargie. Avec du Neil Young et du Bach en prime, que demander de plus sinon un remboursement en bonne et dûe forme?

Que ceux qui hésitent n'hésitent plus: Fuyez.

1/6. Gloire à toi DPSR.

je peux aussi faire le contraire tu sais, effacer le tien...

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Janet

Y en a qui galèrent violent.

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Et dire que je dois me lever dans 1h47 pour aller bosser.... Bref. *Reste à espérer que Vanessa Paradis ne fasse pas trop de bruit ce soir que je puisse pioncer tranquille*

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Nan mais ça va aller, là.

Il a l'air fier et content en plus.

C'est triste.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Crépuscule amoureux dissolu par la mémoire dont la barque est largement menée par Julie Christie, magnifique, mais aussi son partenaire Gordon Pinsent. Polley évite le mélo qui rue dans les brancards, même si le film se prend parfois un chouille les pieds dans la neige qui le recouvre. Mais ça me semble plutôt prometteur.

3+/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

J'avais oublié la beauté des critiques de DPSR.

J'ai bien aimé, même si je trouve le film inabouti et inégal : c'est clairement une réflexion littéraire sur Alzheimer (c'est écrit par Alice Munro), et en cela, le script ne peut pas s'empêcher de faire des petits jeux intellectuels qui affaiblissent son propos (la fin, par exemple).
Mais j'ai quand même trouvé ça très élégant, et certaines scènes sont très justes. Et c'est courageux de la part de Polley, à 27 ans, de faire un film sur la vieillesse pour démarrer sa carrière.

3,5/6

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."