Forum de FilmDeCulte

Y'a pas que Brokeback Mountain dans la vie



Le cheminement d'un jeune mec à l'ombre du Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire, ses amours ses emmerdes.

Bon...c'est tout sincère mais c'est horriblement amateur. Visuellement c'est le Soudan...et difficile de passer outre quand tout le reste fait vraiment bricolo, tout semble fait "à la manière de", pas dans la référence mais le "on va faire un vrai film"...et...ça marche pas. Vraiment le film que tu tournes chez toi mais sans aucun rythme - de dialogues (à toi...à moi...attention ta réplique), ou de mise en scène, même la moindre claque est molle, je parle pas des scènes de rebellion de groupe, discussions enflammées qui se transforment en Flamby. Les acteurs sont sûrement jeunes et sans expérience pour certains parce que...bah ils feront sûrement mieux mais là ça va pas. Le propos de toute façon est noyé dans toute la méga maladresse du film...à mes yeux le résultat n'a aucune raison d'être. Bon le dossier de presse dit plein de trucs sympas.

0/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

On dirait le sosie de Guy Bedos jeune le mec en bas.

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Si ce genre de truc peut sortir en salles, j'ai aucune excuse si je ne fais pas de film.

Lol c'est vrai. Dans le film ça passe mieux même s'il joue complètement à côté.



En fait c'est une sortie dvd mais même dans ce cas ta phrase marche aussi...

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Doll, it's a heartbreaking affair

J'avais oublié de parler de la délirante reconstitution du débat de Ménie Grégoire sur "le douloureux problème" (mais bon personne le verra)

et juste pour la thématique daube en rayon dvd pour toi troupeau parce qu'on va pas faire un sujet pour ça (c'est pour le boulot)



Une petite affiche parce qu'on va pas s'encombrer.

Bon Ethan est homo, papa le fout dehors, il se réintroduit chez lui avec le copain qu'il rencontre et qui l'héberge, et ça va déconner.

En fait le film témoigne surtout du besoin assoiffé et l'absence d'exigence dans le genre et sa distribution - je parle pas de genre "gay" pour du Fucking Amal par exemple, plus pour ces sous-films ultra calibrés. Par l'affiche (ben celle-ci), le cast (le film d'au-dessus, avec sa scène de douche complètement gratos), la musique (souvent de la pauvre dance de pauvre club *forcément c'est là que tu vis*). Ici un thriller huis clos méga maladroit, méga mou, perclus de lourdingueries psychologiques, jamais crédible, même si ça ressemble à un vrai film contrairement à Ma vie en super 8. Disons que y'a vraiment un besoin de remplir le bac et une facilité à passer sur la médiocrité absolue du produit (Oui-Oui découvre la consommation) pour des machins davantage mis en valeur que des séries Z de n'importe quel autre genre en fait. Enfin ça ira peut-être quelque part un jour je sais pas. Mais là le rayon "gay et lesbien" c'est souvent la maison hantée.

Bon le réal parle de plans séquences à la De Palma ou Ozu, l'influence de Wong Kar Wai et Truffaut...mmmmh.

1-2/6

A noter cependant la présence d'un mec qui était Force Verte dans les Power Rangers



...et de Julia Nickson, razzifiée pour Rambo 2!



Ah bah elle a joué dans les Power Rangers aussi.

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Doll, it's a heartbreaking affair