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MessagePosté: 02 Avr 2008, 09:16 
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Des volontaires ici bas??

Jerry Lewis peut être??

...a moins qu'il soit sur la liste de skip mcoy ca fait un bail que je l'ai pas vu le père jerry (pas de nécro pour gilardi etc etc)

Bon en attendant les avis des kamikazes
Voici un florilège des critiques presse :

Citation:
STUDIO :
Critiques divisées :
1 - "Oui, on rit beaucoup dans le nouveau film du réalisateur de Camping (...) On rit surtout parce que les comédiens – Dubosc, Béart (ah, leur face-à-face plan drague au Buffalo Grill !), Le Bihan, Depardieu, mais aussi Isabelle Nanty, François-Xavier Demaison, Annie Cordy y vont bille en tête et cœur battant, et n'hésitent pas à tremper leur chemise sous la boule à facettes des nuits blanches nantaises. "
2 - "D'un côté, le riche intelligent et forcément méchant. De l'autre, le pauvre un brin benêt mais tellement gentil. Comment alors s'attacher à quiconque puisque, dans une logique inverse de celle de Bienvenue chez les Ch'tis, on ne rit jamais avec mais aux dépens de ses personnages ou de ses guests comme Danièle Gilbert ou Francis Lalanne ? Utiliser ces deux personnalités, sources de railleries depuis des années, donne une idée assez précise du manque d'invention et d'audace de l'auteur de cette pseudo-farce."

PREMIERE :
"Onteniente a construit sa comédie en misant d'abord sur les contrastes sociaux: images archétypales des bourgeois, gentil docker gréviste, fille de bonne famille sauvée de sa rigidité par la simplicité populaire de Dubosc et de ses copains. Malin, le réalisateur renforce l'ensemble avec la nostalgie standard des années disco, une pluie de bons sentiments et des placements de produits qui parlent au plus grand nombre. Ajoutez le fédérateur Dubosc, et vous obtenez une comédie formatée pour cartonner !"

LE JDD :
L'hebdo croit avoir trouvé un descendant au "roi du nanar" que fut Max Pecas, avec Fabien Onteniente...
"Une France de ringards, au centre d'une comédie consternante".
"(...)toutes les situaitons imaginées dans Disco sont artificielles et bidon. Franck Dubosc s'y donne avec tant d'autosatisfaction dans le registre de dragueur imbécile heureux qu'elles provoquent en prime plus de gêne que de rires.
Disco est un film escroc et paresseux, qui fait penser à nombre d'anciens succès certifiés. Il y a ceux que le réalisateur cite ouvertement (La Fièvre du samedi soir) et ceux qu'il pille sans manière: Franck Dubosc, en avatar de Travolta, est un ersatz de star à l'image de Benoît Poelvoorde dans Podium. Comme le héros de The Full Monty (de Peter Cattaneo), celui de Disco est chômeur, embarqué dans un concours de la dernière chance, afin de sauvegarder l'affection de son fils. Le plus embarrassant est d'entendre aujourd'hui Dubosc (coscénariste) dire que Disco est "une comédie sociale". Deux cas de figures: ou Dubosc est définitivement un crétin, inculte en cinéma, ou il est d'une malhonnêteté intellectuelle consommée qui éclaire le bonhomme sous un jour nouveau. Choisissez. Troisième option, nous n'avons rien compris et Fabien Onteniente est devenu le Ken Loach français."

LE PARISIEN
"Euphorisant"
"La force comique du film réside aussi dans ses téléscopages audacieux : le choc culturel entre le milieu pavillon-bigoudis de Didier Travolta et l'univers golf-tennis-château de sa prof de danse, ou encore l'incongruité de Samuel Le Bihan en docker syndiqué qui danse le disco. Avec, en outre, un couple Depardieu - Nanty kitschissime, des guests (Julien Courbet, Francis lalanne) à fond dans l'autodérision, des répliques potentiellement cultes et une bande originale euphorisante, "Disco" se révèle une comédie jouissive".

LE FIGARO
"Une recette efficace".
"Il faut reconnaître que le résultat est aussi efficace que drolatique et que le rythme, dans la ligne nostalgique et endiablée du disco, ne faiblit pas. Mieux, il rebondit avec virtuosité entre une Emmanuelle Béart, prof de danse et femme de rêve indulgente et émue, le couple irrésistible, Depardieu- Isabelle Nanty, le brave copain, Samuel Le Bihan, l’odieux snob, François- Xavier Demaison ou la maman, Annie Cordy. On plonge volontiers dans le parallèle facile de la lutte des classes et dans la caricature la plus énorme ( voir la déclaration aux parents ou le dîner d’amoureux au Buffalo Grill), mais les situations font mouche, les séquences de danse sont époustouflantes ( chapeau aux acteurs reconvertis !), et le numéro de Dubosc assez au point pour rester à la limite de la parodie hilarante."

LIBERATION
"(...)Onteniente est loin de tenir sa caméra avec les pieds. Travellings moelleux sur Le Havre, masses des bateaux venant se poser dans le cadre comme des aplats de De Staël, choix du format cinémascope qui isole et désole aisément les personnages (tout en convenant à la comédie musicale), casting d’icônes désarticulées en pantins (Annie Cordy, Gérard Depardieu, voire Danièle Gilbert et Kamel Ouali) : Disco roule sur la vieille dialectique enchantement/désenchantement.
(...)Loin de la beaufitude (genre Pédale douce d’Aghion) à laquelle son nom est associé, Onteniente se révèle moins réellement comique que tragique contrarié, lunatique résigné. En témoignent un étrange caméo de Francis Lalanne et une scène où Didier, passant en costard-cravate parmi ses amis grévistes qui ne le reconnaissent pas, se fait traiter de vendu au patronat. Avec un instant de retard sur le reste de ce chœur syndicaliste, se détache un soliste qui lui lance le dernier cri de l’insulte bling-bling : «Intellectuel!»"

NICE MATIN
"Retour manqué pour l'équipe qui avait fabriqué le succès de Camping"
Une farce "convenue, épaisse et lourdingue. Des personnages pantins, des plaisanteries éculées, des visions simplistes. La bêtise, la vulgarité et le mépris en guise de tentatives d'humour(...) Il n'y a que de la désolation sur tous les plans".

CANARD ENCHAINE
Classé dans "les films qu'on peut ne pas voir".
"c'est curieux de voir que le même tandem qui avait réusis le pas triste Camping rate ici complètement son coup : on ne rit guère, sans doute parce que, à la différence des comédies anglaises le social ne sert ici que de vague décor en toc, et que le propos sonne faux. Peut-être qu'un "Disco chez les ch'tis"..."

TELERAMA
"(...)Sans rythme ni progression, le film bâcle ses numéros de danse, et même ceux qui sont supposés être bâclés.
Néglige de s'intéresser un tant soit peu aux compétiteurs des héros. Mise tout sur un l'effet karaoké de sa BO et sur un bout-à-bout d'apparitions de têtes connues - les mieux lotis ont un mauvais petit rôle, comme Depardieu et Annie Cordy. Les vraies stars sont de grandes enseignes d'électroménager, de parfumerie et de restauration, citées jusqu'au lavage de cerveau mais traitées avec beaucoup plus de considération que Francis Lalanne et Danièle Gilbert. Lesquels, sous leurs vrais noms, sont ridiculisés comme dans les blagues des Grosses têtes".

TV HEBDO
"Dommage que la comédie ne soit pas aussi pétillante qu'une prestation des Village People. L'histoire de ces trois has been qui tentent de gagner un concours en reformant leur groupe d'antan n'évite aucun poncif. Et ce, malgré les prestations déjantées de Depardieu, Isabelle Nanty et Emmanuelle Béart. Reste une musique originale bien orchestrée par Michel Legrand".

VOICI :
"Saturday nase fever". le magazine met une seule étoile, signifiant "bof".


Dans les critiques négatives je reconnais les impressions que m'a laissé camping.....sans moi donc ....j'attendrais le divix

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MessagePosté: 02 Avr 2008, 09:36 
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Putain ce qu'écrit Première.... C'est de la critique, ça? :evil:

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MessagePosté: 02 Avr 2008, 09:45 
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Arnotte a écrit:
Putain ce qu'écrit Première.... C'est de la critique, ça? :evil:


C'est quand tu veux pas dire du mal d'un film parce que tu peux pas... alors tu décris le film et ses ingrédients sans porter de jugement pour feinter et atteindre les 200 mots sans donner ton avis.


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MessagePosté: 02 Avr 2008, 10:15 
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C'est exactement ça. C'est triste.

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MessagePosté: 02 Avr 2008, 11:07 
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Arnotte a écrit:
Putain ce qu'écrit Première.... C'est de la critique, ça? :evil:


Ca fait longtemps qu'ils n'en font plus de la critique...

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MessagePosté: 07 Avr 2008, 13:11 
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Localisation: bah un cimetière, tiens...
JDD a écrit:
Troisième option, nous n'avons rien compris et Fabien Onteniente est devenu le Ken Loach français."


LIBERATION a écrit:
"(...)Onteniente est loin de tenir sa caméra avec les pieds. Travellings moelleux sur Le Havre, masses des bateaux venant se poser dans le cadre comme des aplats de De Staël, choix du format cinémascope qui isole et désole aisément les personnages (tout en convenant à la comédie musicale), casting d’icônes désarticulées en pantins (Annie Cordy, Gérard Depardieu, voire Danièle Gilbert et Kamel Ouali) : Disco roule sur la vieille dialectique enchantement/désenchantement.
(...)Loin de la beaufitude (genre Pédale douce d’Aghion) à laquelle son nom est associé, Onteniente se révèle moins réellement comique que tragique contrarié, lunatique résigné. En témoignent un étrange caméo de Francis Lalanne et une scène où Didier, passant en costard-cravate parmi ses amis grévistes qui ne le reconnaissent pas, se fait traiter de vendu au patronat. Avec un instant de retard sur le reste de ce chœur syndicaliste, se détache un soliste qui lui lance le dernier cri de l’insulte bling-bling : «Intellectuel!»"


Lol, marrant comment le JDD répond par avance à Libé
:lol:

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs


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MessagePosté: 07 Avr 2008, 23:04 
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Je partais ouvert d'esprit.

(G)rève party 3/6
Jet Set 3/6
3 zéros 1/6
Camping 2/6

J'aime beaucoup Dubosc.

Le teaser était pas top mais ne me faisait pas fuir non plus.

Pendant une vingtaine de minutes, le film fait "illusion", enfin du moins il me semble au niveau de Camping, en gros je pouffe de temps en temps.
Et puis très vite plus du tout.

Déjà, dès le départ, c'est super LAID à regarder, ça manque CRUELLEMENT de rythme et c'est HYPER MAL joué.

Niveau réalisation, bon c'est juste le néant. Y a zéro effort.
Dire que c'est "du téléfilm" ou du "théâtre filmé" serait insulter ces deux professions.

Niveau scénario, c'est l'indigence absolue. Les rares gags (oui, film très avare en humour en fait) tombent globalement à plat.
Les trois-quatre personnages principaux sont esquissés en deux coups de cuillère à pot et c'est tout, avec les enjeux minimum méga-galvaudés de la mort (Dubosc et son fils, Béart et Dubosc, Le Bihan et sa grève, Neuneuil et sa femme) et tout ce qui est en périphérie tombe dans le nanar.
Déjà y a des sous-intrigues d'une bidonnerie consternante (les matelas à eau Gondolo) qui appelle à des caméos perraves (Courbey mais surtout Lalanne...ri-di-cule et loooooooooooong) pour une non-intrigue où il ne se passe finalement pas grand chose à part des étapes du concours expédiées vite fait mal fait.
Et les persos secondaire, qu'il s'agisse d'Annie Cordy et ses répliques forcées en anglais, ou de François-Xavier de maison et son running gag du "ok yes", ou Gérard Depardieu et sa Nanty ("NIQUE TA MEEEEEEEERE" mon dieu...), c'est affligeant de toute part.

Niveau performance, y en a pas un pour sauver l'autre.
Même Dubosc ne tire pas son épingle du jeu alors qu'au moins il était à fond dans son perso de Camping, ici il en tire une pâle copie tantôt trop dans le sketch forcé, tantôt juste complètement transparant, jamais même un poil attachant.
En face, Béart ne vaut même pas le Lanvin triste d'autrefois, c'est probablement elle la pire en fait...j'ai pas vu aussi mauvais depuis la meuf qui jouait dans The Vampire Connection, un court métrage que j'avais fait au lycée.
Le Bihan, ça me fait mal...mal de voir un mec aussi cinégénique et charismatique quand il ferme sa gueule (c'est aussi lui qui danse le mieux) être aussi mlauvais acteur dès qu'il l'ouvre. Un grand Cassel raté ce mec, définitivement. Et ça avait commencé chez Kieslowski et Tavernier...
Demaison...il a intérêt à être meilleur chez De Caunes parce que sinon Coluche part avec du sérieux plomb dans l'aile...

Et évidemment, le sempiternel message "on se moque des beaufs mais c'est des gens bien au fond" avec la magnifique analogie/pub que même les ricains ose pas : "c'est comme le Buffalo Grill, on se dit que c'est ringard mais leurs frites sont super bonnes".
Ouais Emmanuelle...deux films avec Téchiné...et hop Disco.

En parlant de ça, big up au probable non-budget du film qui t'enchaîne les mêmes titres 5 fois dans le film (et pas les originales, non, des reprises, trop cher les originales), le truc qui achève la totale non-crédibilité du film.

La grosse lose. La vraie, la pure.

1/6

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MessagePosté: 07 Avr 2008, 23:29 
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Film Freak a écrit:
La grosse lose. La vraie, la pure.
1/6

Ah ouais ca fait mal la quand meme, surtout qu'il etait marrant avant Dubosc (je n'ai pas vu Camping). Ses deux spectacles et les "Pour Toi Public" etaient souvent droles. Comment c'est possible de ne pas se rendre compte de ce genre de mauvais choix?...
(bon je n'ai pas vu non plus Disco mais ca a l'air aussi triste que ce qu'on pouvait le supposer. J'irais certainement voir les Ch'tis a la place).


Dernière édition par .. le 07 Avr 2008, 23:32, édité 1 fois.

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MessagePosté: 07 Avr 2008, 23:32 
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.. a écrit:
Film Freak a écrit:
La grosse lose. La vraie, la pure.
1/6

Ah ouais ca fait mal la quand meme, surtout qu'il etait marrant avant Dubosc (je n'ai pas vu Camping). Ses deux spectacles et les "Pour Toi Public" etaient souvent droles. Comment c'est possible de ne pas se rendre compte de ce genre de mauvais choix?...


Je sais pas.
Le mec se rend pas compte que ça fonctionne mieux en format court qu'en long.
Mais déjà le 2e spectacle, je le trouve moins bon que le premier...il part trop en couille.
Je suis curieux de voir que va donner le 3e prévu pour la fin de l'année et puis Ciné-Man, le Yann Moix qu'il n'a pas écrit mais dans lequel il tient le rôle principal.

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MessagePosté: 07 Avr 2008, 23:35 
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Film Freak a écrit:
Je sais pas.
Le mec se rend pas compte que ça fonctionne mieux en format court qu'en long.
Mais déjà le 2e spectacle, je le trouve moins bon que le premier...il part trop en couille.
Je suis curieux de voir que va donner le 3e prévu pour la fin de l'année et puis Ciné-Man, le Yann Moix qu'il n'a pas écrit mais dans lequel il tient le rôle principal.

Mouais, Yann Moix pourquoi pas.
J'espere que Elie Semoun ne fera jamais ce genre de trucs. Ca me ferais vraiment chie!


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MessagePosté: 07 Avr 2008, 23:49 
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.. a écrit:
Film Freak a écrit:
Je sais pas.
Le mec se rend pas compte que ça fonctionne mieux en format court qu'en long.
Mais déjà le 2e spectacle, je le trouve moins bon que le premier...il part trop en couille.
Je suis curieux de voir que va donner le 3e prévu pour la fin de l'année et puis Ciné-Man, le Yann Moix qu'il n'a pas écrit mais dans lequel il tient le rôle principal.

Mouais, Yann Moix pourquoi pas.


Moui j'y crois aps, j'aime déjà pas son premier.

Citation:
J'espere que Elie Semoun ne fera jamais ce genre de trucs. Ca me ferais vraiment chie!


Bah il le fait...Enfin il a pas ses propres films mais il fait des apparitions (pourries) dans des films (pourris).
http://www.imdb.com/name/nm0783879/

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MessagePosté: 08 Avr 2008, 09:06 
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.. a écrit:
Film Freak a écrit:
La grosse lose. La vraie, la pure.
1/6

Ah ouais ca fait mal la quand meme, surtout qu'il etait marrant avant Dubosc (je n'ai pas vu Camping). Ses deux spectacles et les "Pour Toi Public" etaient souvent droles. Comment c'est possible de ne pas se rendre compte de ce genre de mauvais choix?...
(bon je n'ai pas vu non plus Disco mais ca a l'air aussi triste que ce qu'on pouvait le supposer. J'irais certainement voir les Ch'tis a la place).


Je trouvais déjà qu'il tournait en rond dans ses spectacles. Toujours les mêmes persos (vieux beau, drageur, loser mais gentil), les mêmes mimiques c'est un peu comme Sémoun ils sont assez limités en fait.
Ici à mon sens, il n'y pas de mauvais choix, juste la continuité de ce qu'il fait déjà et puis faut avouer que c'est pas un super acteur.

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MessagePosté: 08 Avr 2008, 10:17 
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LIBERATION a écrit:
"(...)Onteniente est loin de tenir sa caméra avec les pieds. Travellings moelleux sur Le Havre, masses des bateaux venant se poser dans le cadre comme des aplats de De Staël, choix du format cinémascope qui isole et désole aisément les personnages (tout en convenant à la comédie musicale), casting d’icônes désarticulées en pantins (Annie Cordy, Gérard Depardieu, voire Danièle Gilbert et Kamel Ouali) : Disco roule sur la vieille dialectique enchantement/désenchantement.
(...)Loin de la beaufitude (genre Pédale douce d’Aghion) à laquelle son nom est associé, Onteniente se révèle moins réellement comique que tragique contrarié, lunatique résigné. En témoignent un étrange caméo de Francis Lalanne et une scène où Didier, passant en costard-cravate parmi ses amis grévistes qui ne le reconnaissent pas, se fait traiter de vendu au patronat. Avec un instant de retard sur le reste de ce chœur syndicaliste, se détache un soliste qui lui lance le dernier cri de l’insulte bling-bling : «Intellectuel!»"


:shock:
Ils sont vraiment, MAIS VRAIMENT, à la masse à Libération. Prendre la mollesse de la réalisation et l'inéxistance des intentions pour une humeur lunatique et résignée, c'est du foutage de gueule pur et simple !

Film Freak a écrit:
Les trois-quatre personnages principaux sont esquissés en deux coups de cuillère à pot et c'est tout, avec les enjeux minimum méga-galvaudés de la mort (Dubosc et son fils, Béart et Dubosc, Le Bihan et sa grève, Neuneuil et sa femme) et tout ce qui est en périphérie tombe dans le nanar.
Déjà y a des sous-intrigues d'une bidonnerie consternante (les matelas à eau Gondolo) qui appelle à des caméos perraves (Courbey mais surtout Lalanne...ri-di-cule et loooooooooooong) pour une non-intrigue où il ne se passe finalement pas grand chose à part des étapes du concours expédiées vite fait mal fait.
Et les persos secondaire, qu'il s'agisse d'Annie Cordy et ses répliques forcées en anglais, ou de François-Xavier de maison et son running gag du "ok yes", ou Gérard Depardieu et sa Nanty ("NIQUE TA MEEEEEEEERE" mon dieu...), c'est affligeant de toute part.


Voilà !

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MessagePosté: 22 Avr 2008, 14:17 
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Dernière édition par Nijal le 25 Fév 2009, 11:52, édité 1 fois.

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MessagePosté: 22 Avr 2008, 14:28 
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Nijal a écrit:
Déjà 1 800 000 entrées!

Quand Première disait que c'était fait pour cartonner...

Et à propos de carton...

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