Forum de FilmDeCulte

Oui parce que c'est clairement dit dans la scènes où ils sont attachés. El famoso flic racisé détache les filles mais pas lui parce que "t'as tiré sur un flic".

Après, pour moi, les flics au courant y passaient durant l'assaut final donc c'était pas nécessaire de se faire passer pour mort (surtout si l'arc du perso est d'accepter de partir pour commencer sa vie).

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Oui clairement, il y a plus de témoins. Mal branlé cette fin (mais joli plan sur la barre d'immeubles, d'ailleurs c'est où on l'a déjà vu dans d'autres films ce bâtiment, non ?).

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CroqAnimement votre

Ben c'est encore et toujours Noisy, ce coup-ci les Arènes de Picasso de Núñez Yanowsky, proche de Bofill en encore plus radical


Un vrai réservoir dystopique (même s'il semble s'arroger dans cette liste des oeuvres dont il était consultant) avec parfois (pour ne pas dire souvent) un côté presqu'à la Speer:
Les statues (douteuses) à la Arno Brecker du commissariat de police de Daumesnil, c'est lui aussi...

https://www.nunez-yanowsky.com/works/
(LEcole adaptée de Wasmes en Belgique est un sommet)



Contraste étrange et significatif entre la démesure des projets et le caractère daté du site web

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

L’archétype du film qui se délite au fur et à mesure de son déroulement.

La séquence d’ouverture est un modèle du genre, puis l’immersion dans la cité est immédiate grâce à une mise en scène nerveuse et des personnages bien campés (même si certaines digressions sur leurs relations ne servent pas à grand-chose).

En fait, l’intérêt du film est inversement proportionnel au phénomène de grossissement des araignées. Jusqu’à l’excellente séquence dans le tunnel, ça tient la route et c’est quand même assez flippant. Et puis après, ça devient bizarrement atone, avec en plus un discours lourdingue sur les flics et la banlieue.

D'accord pour dire que le film trouve sa limite à partir de la scène du "tunnel" mais je trouve qu'il parvient à tenir le rythme et le pari même dans sa seconde partie.
Le propos sur les flics et la banlieue reste suffisamment en second plan pour je pas venir parasiter l'efficacité du reste.

un peu un mix de ce que vous avez tous pensé, mais plutôt plus emballé que vous.

pourtant ça démarrait à priori mal pour 2 raisons dirimantes :
1/ la culture racaille c'est vraiment pas mon truc, les vulgarités incessantes, le rap les chiens moches les rodéos motos les trafics divers tout ça, pas mon dél'.
2/ les araignées ne me font absolument pas peur, je ne comprends même pas le problème.

et pourtant.
le 1 passe plus ou moins crème. les dialogues à base d'agressivité constante m'insupportent complètement, mais effectivement ça donne des scènes extrêmement vivantes, c'est bien joué, fluide, assez impressionnant. et d'autre part, les personnages sont vraiment bien construits : ce ne sont pas des trucs ridicules à base de petits anges où derrière chaque lacoste tn se cache un master 2 en droit de la propriété intellectuelle, mais ce sont des vrais personnages crédibles, il y a l'aspect "save the cat" dont parle qui-gon mais qui sert aussi à responsabiliser le personnage, l'inclure dans une réalité, dans la communauté, tout en le placant du "bon côté", c'est un gars plutôt bien, ou qui essaye. les backstories sont aussi chouettes, pas clichées, ça enrichit les rapports, carrément plus substantiel que 90% des backstories de ce style de film. les insultes permanentes entre théo christine et sa soeur m'ont exaspéré mais je me suis attaché à eux, j'espère qu'à terme ils pourront passer des bonnes soirées ensemble autour d'un jeu de carte sans s'inviter mutuellement à fermer leur gueule toutes les 4 secondes.
et l'autre aspect est que ça ancre magnifiquement le film en france. on sent évidemment l'influence des films de genre us etc, mais c'est tellement dans cette culture banlieusarde que de fait, ça ne mime pas les films us, c'est 'bien de chez nous'.
et le 2 fonctionne aussi. je n'ai pas eu peur ou quoi, mais la scène dans la salle de bain est hyper efficace en jouant avec les clichés des gens qui ont peur des arraignées sauf qu'elle est vraiment monstrueuse, et quand elles commencent et à grossir ça devient juste des bestioles sf, quoi. et il y a une vraie inventivité dans les différentes apparitions, la remontée dans les escaliers est juste excellente, après c'est sûr que ça manque de confrontation directes et gores.

et à côté de ça, j'ai trouvé ça très bien écrit, avec des changements de dynamiques narratives réguliers et chouettes, bien réalisé comme le pointe qui gon, je suis d'accord avec plein de défauts que vous pointez (et globalement, le fiasco du final, à partir de la rencontre avec les crs il n'y absolument plus rien qui va - et vrai wtf devant l'homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique à la fin) (ou jérome niel qui est franchement trop vieux et dont je ne crois pas une seconde qu'ils soient potes), mais il y a assez de trucs vraiment réussis tout du long pour que j'ai envie de me focaliser là dessus.

ça va smash sur netflix et il aura effectivement bien mérité son audition pour réaliser la nonne 6.

D'ailleurs, c'est encourageant que Netflix coproduise un film pour la salle.

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Y a un Blu US "all zone", avec STF, qui était de qualité parfaitement acceptable quand il est sorti (2012) : https://fr.shopping.rakuten.com/offer/b ... frank.html

Oui mais acheter des films que je n'ai pas vu (ou dont je ne me souviens pas) c'est pas trop mon truc

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Netflix les gars, Netflix.

Et ce sera donc un spin-off de EVIL DEAD.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Co-écrit à nouveau par Florent Bernard, dont le premier long sort en avril, après avoir remporté le Grand Prix du festival de l'Alpe d'Huez. Sacrés débuts.

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"PACIFIC RIM" Massinfect

Pas envie de mourir du tout.

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Ça démarre quand ce film..... Pour l'instant, entre la musique rap insupportable, les mecs des cités avec leur comportement et argo peut être réaliste mais que je déteste,des acteurs vraiment pas bons, je ne suis pas suŕ d'aller au bout. 30 très longues minutes.....

Et le bruit et l'odeur surtout.

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Voilà sans être Chirac car y a aucune odeur qui me gêne, ni rien de racial, tout cet aspect cité par Finger m'a horripilé.
Aucune idée si c'est réaliste ou pas mais cela m'a bien bloqué durant les 30 premières minutes. Une fois les araignées dans la cité, c'est mieux avec quelques scènes réussies jouant sur la peur de ces bebetes. Seulement cela vire encore dans le ridicule avec le rôle et la représentation des flics, cette scène what 's the fuck de la grosse araignée devant la voiture puis rien....
J'ai un peu de mal à comprendre comment on peut dire du mal d'acide, le règne animal ou Vincent doit mourir et défendre celui la.
C'est clairement pour moi le plus mauvais des 4. Cela se rapproche plus d'un gueules noires. En moins foireux là.

Sinon je te rassure FilmFreak : les bourgeois de Cocorico m'ont encore plus énervé.