Jerzy Pericolosospore a écrit:
Téléphoné autant que faiblard, ton truc de m'imputer des manipes pour détourner l'attention des tiennes.
Je ne dis pas que tu prétends ne blesser personne, je dis que tu te sers encore et encore de ton invocation de la séparation entre réel et virtuel pour justifier en loucedé ton droit, et ton petit plaisir aussi, de blesser dans le virtuel. Tout en jouant au grand intègre qui a "de l'éthique": " ô mais bien sûr que je blesse, mais je ne le désire point, comprenez-vous, ce n'est pas mon but!" Incluant l'impayable expression de ta suffisance (car manifestement tu t'accordes un grand talent dans la rhétorique, laissons croire les béguines), qui à chaque phrase semble susurrer: "chuis tellement à l'aise, un cador, en matière de rhétorique, qu'il arrive, je le constate et le déplore, que je blesse".
Non: tu blesses, certes, à l'occasion, mais rassure toi, tu laisses pas des marques indélébiles. Je préfère dire, en ce qui me concerne, irrites, agaces, ou énerves, par le seul fait de ta suffisance, fatuité effarantes: le fait que tu pètes tellement plus haut que ton cul et de tes capacités réelles avérées dans les échanges, quel que soit le domaine, et qui donne envie de t'administrer une fessée.
Bon, ok, t'as un petit "savoir" assez dérisoire en matière d'écologie, qui impressionne (?) ceux qui manquent de connaissances en ce domaine (un de tes énoncés favoris: insister lourdement sur les lacunes de l'autre, à quel point il est pas compétent pour en causer avec toi, sur un des rares trucs où tu serais - faut t'accorder le bénéfice du doute -, un peu calé).
Et ce petit savoir provisionnel, en écologie, quelle que soit sa compétence, tu l'appliques de manière si grotesque à une vision du monde, analyse politique, esthétique, philosophique, tout ce que tu veux, tellement inepte (le mot est faible: faudrait causer de crétinisme galopant, fruit d'un terrifiant isolement intellectuel, comme dit à côté) que, de toute façon, ça rend ipso facto vaines et sans intérêt tes connaissances réelles ou fantasmées sur le sujet.
Maintenant, suis d'accord avec toi: tu blesses, certainement, sans le vouloir, des interlocuteurs qui partagent ton degré de suffisance et d'immaturité intellectuelle. C'est évident: suffit de lire le niveau à pisser de rire des échanges sur les "débats" que tu inities.
Succession d'attaques à coups d'adjectifs, qui ne dit finalement rien. En quoi mon savoir écologique est "dérisoire" ? En quoi l'appliquer à la politique et à la société est "grotesque" ? De quels outils disposes-tu pour en juger, à part la philosophie ?
Tu ne développes rien du tout, là, mon Jerzy. Je suis bien déçu.