Forum de FilmDeCulte

Ah, c'est sympa. Je suppose que tu parles de moi et de'oncletom au vu de notre discussion sur le film de Sabre.

(Peut-être que je te plai moins bien depuis Jellyfish et l'affaire E.T.)

Il arrive mon top, je suis un peu occupé avec E.T, là, tout de suite...

Non non, je préfère des gens qui aiment le cinéma japonais et défonce Spielberg que l'inverse (même si j'aime bien Spielby). On est quand même dans un monde (forum) culturellement américanisé.

Perso, j'adore Spielberg, mais pas ET (qui m'indiffère bien plus qu'il m'offusque) !
Sinon, j'apprécie beaucoup ton geste, Karloff, mais je ne peux répondre à cette invitation du simple fait que je ne suis pas un connaisseur du cinéma japonais. Je me suis intéressé à la période de la fin des 60's parce qu'elle correspondait à une refonte du cinéma de HongKong très influencé par leur voisin, mais je n'ai jamais été très au courant de ce cinéma en général. J'ai vu quelques films mais suis très loin d'être un spécialiste comme Karl ou Mr Zob.

.

Arrête avec ça! Je suis pas un spécialiste, juste un mec qui a vu un ou deux films de sabre et qui t'as livré ses impressions.

Bon, OK, c'est vrai que si t'as pas vu d'autres films, ça va être difficile... Parce qu'il y a pas que le sabre, dans la vie... Y a le pinku eiga, aussi

un top pas très varié vu que dans le cinéma japonais, je n'aime à peu près que la période classique (mais je suis loin d'être un connaisseur) et qu'en plus la plupart des films d'Ozu m'emmerdent...

1. Barberousse
2. Les amants crucifiés
3. L'intendant Sansho
4. Dersou Ouzala
5. Nuages d'été
6. La harpe de Birmanie
7. Rashomon
8. Une femme dont on parle
9. L'impératrice Yang Kwei-Fei
10. Rébellion

j'imagine que tous ces films ont déja été cité précédemment. à part peut-être Une femme dont un parle, film de la période bénie de Mizoguchi injustement méconnu auquel j'avais consacré un topic sur ce forum.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

On fait du 1 par realisateur, OK, c'est vrai que c'est plus simple...

1- L'ile nue de Shindo (tout le monde a préféré Onibaba, apparemment)
2- Pluie noire de Imamura
3- Nuit et Brouillard du Japon d'Oshima (excellent, maîtrisé de bout en bout, une reflexion lucide et très stylisée sur le Japon d'après guerre. A coseiller à celui qui n'aime pas les gauchistes, ça pourrait troubler ses généralités... )
4- Gozu de Miike (J'hesite pas à le mettre à ce niveau tant les sa structure éclatée arrive à illustrer une volonté d'affirmation totale dépassant toutes ses crises. Un film profond sous des allures désinvoltes, de pur délire)
5- Rebellion de Kobayashi. Du grand art, visuleement parlant, pas forcément grand chose à dire comme ça, à brûle pourpoint, mais il m'a scotché)
6- Là, faudrait peut-être que je mette un Kurosawa, je sais pas, disons Dersou, parce qu'il m'avait assez marqué de par sa singularité. Mais, je sais pas Ran, Yojimbo, L'idiot, plein (ca va être dur de choisir et pareil pour les Ozu)
7-L'or du Shogun, de Gosha
8-Le gout du saké. (sans doute celui-là, quand même de Ozu).
9- O'haru femme galante de Mizoguchi
10 Au gré du courant de Naruse.
11- Il me reste une place, qui j'ai pas fait? Kitano, peut-être avec Sonatine, pour la scène finale. Jugatsu, a scène at the sea, Kikujiro sont superbes aussi, mais la scène finale de Sonatine le remonte un ton au-dessus.

C'est un top 10?
Bon, c'est assez foutraque, surtout sur la fin, mais un classement de Japonais, c'est difficile à mettre en ordre, et on a envie de tout mettre...

L'Ile nue c'est juste incoryable comme film. La zik est ultime !

Ouais, L'ÎLE NUE ça claque !

Tiens, c'est vrai ce que tu dis, Karl... si je devais refaire mon top aujourd'hui, je retiendrais probablement L'ÎLE NUE à la place d'ONIBABA, pour Shindo. Ça serait d'ailleurs pas le seul changement ! Mais là j'ai la flemme.

C'est vrai que l'ïle nue ça claque. Cette proximité, cette puissance dans la présentation de l'ordinaire, on est véritablement pris à la gorge, oppréssées.
Et puis, ce drame...

J'ai lu, je crois que c'est sur imdb, donc pas sourcé, bien entendu, que le film avait été fortement critiqué par Oshima pour entretnir le cliché d'un Japon lent et répétitif... Personnellement, je trouve que c'était pas le sujet, mais bon, vous en pensez quoi?

1 Le grondement de la montagne (Naruse)
2 Une femme dont on parle (Mizoguchi)
3 Les 24 prunelles (Kinoshita)
4 Sanjuro (Kurosawa)
5 La condition de l'homme (Kobayashi)
6 Les soeurs Munekata (Ozu)
7 L'île nue (Shindo)
8 Max mon amour (Oshima)
9 La ballade de Narayama (Imamura)
10 Dolls (Kitano)

J'aurais aussi bien pu mettre 10 Naruse aux 10 premières places....

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Pourquoi dit-on "Urinoirs" alors qu'ils sont blancs, la plupart du temps ?

Tu viens de rattraper l'absence de Welles dans ta liste des cinéastes hollywoodiens.

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N'écoutez pas Film Freak

Ca pardonne pas l'absence de certains japonais par contre.

*faudrait que je fasse un top moi*

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Certes. Puis j'aurais pas mis ce Mizoguchi et ce Ozu là moi... Mais bon on va pas chipoter...



Go, go, go !

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N'écoutez pas Film Freak

Quand on voit le top 100 d'un mag ciné jap, on se dit qu'il y a une sacrée marge de découvertes à faire

Lesquels? Un petit top Naruse, ça te tente?






Les titres connus sont souvent superbes, l'ordre, c'est n'imp, ils se sont surtout cassés pour les introuvables, mais après, ils ont du titrer au sort...

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

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