Forum de FilmDeCulte

Putain mais moi je l'achète le film qui parle de ça, et je suis près à chialer devant la scène en full cgi avec un con d'acteur qui marche sur une poutre devant un fond vert ! Rien à foutre du vrai truc !

Je suis encore énervé de cette scène d'assaut de l'airbus à marseille à la fin du film de Julien Leclerc (me souviens plus le titre) : ya quelques moments tendus, comme l'ouverture de la porte et la penetration dans le cockpit. Je voulais vivre ça de l'intérieur putain ! je voulais un plan en plongée avec le vide sous les pieds du premier gars quand la passerelle recule ! Avec un gros ralenti qui tache et hans zimmer qui lache les tambours ! je voulais voir les yeux du premier gign qui rentre dans le noir du fuselage ! Et au lieu de ça ON TE MONTRE LA PUTAIN DE VRAIE VIDEO QUE TU AS DEJA VUE 40 FOIS.

lo! ! Ca c'est très con pour le coup.

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N'écoutez pas Film Freak

Je rejoins en partie Tetsuo et Karloff : le choix CGI est, au minimum, surprenant. Prenons le plan-séquence (mais ça pourrait être n'importe quelle autre figure cinématographique, c'est juste pour faire une comparaison) : il y a toujours une forme de prouesse dans le fait de ne pas couper, qui transmet la tension du tournage (l'effet de "preuve" du plan) à la tension dramatique de la scène. C'est pas étonnant, je pense, si les films en CGI on rendu les plan-séquence complètement virevoltants : le plan-séquence de la destruction de la ville dans Tintin, ou ceux de Spiderman volant entre les immeubles (pour prendre un film en prises de vue réelles, bien que truffé de numérique), ne gagnent plus rien de cette tension liée au réel, car ils sentent le faux à trois kilomètres (le faux assumé : je précise, car ce n'est pas dans ma bouche un reproche), même pour le néophyte. Donc il faut qu'ils aillent cultiver autre chose : l'ivresse, la virtuosité, que sais-je...

Donc oui, j'espère simplement que Zemeckis abordera son sujet avec la semi-conscience de cette donnée, et que son film cultivera autre chose que l'envie de vouloir nous impressionner en figurant la prouesse en SFX.

leçon de mise en scène là.

J'ai eu plusieurs explications sur la manière dont a été fait ce plan, je sais pas laquelle est la vraie.

l'efficacité tient aussi du fait que l'on est mis dans la position du voyeur et que l'on détourne le regard systèmatiquement au moment de l'impact

Pour moi, l'important dans un plan-séquence, c'est sa mise en scène. Le cadrage, la composition, le blocking, les mouvements, etc.
Que ce soit entièrement en CGI, partiellement en CGI ou vrai m'importe peu en fin de compte. C'est plus "facile" à exécuter mais faut quand même l'imaginer, le concevoir, le pourvoir de sens, etc.
Les plans-séquences de Gravity m'impressionnent non pas "parce que ça coupe pas" mais par leur mise en scène pure.

Et ce que j'attends d'un film et d'un réal, c'est que sa mise en scène me parle.
Une action en soi (qu'elle soit inspirée d'un fait réel ou non) n'est rien sans la façon dont elle est mise en scène…et encore une fois, j'imagine que tout le crescendo du récit jusqu'à cette scène et la réa de Zemeckis suffiront à nous faire vibrer comme si c'était pour de vrai.

BORDEL.

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Je comprends pas trop en quoi c'est contradictoire. Choisir de couper ou de ne pas couper, et où le faire, c'est un choix de mise en scène. Prendre en compte la nature de ce qu'on filme (images réelles, images fausses) dans la manière dont on le filme, et choisir son cadre, sa focale, son axe en conséquence, c'est de la mise en scène. Ce sont autant de parti-pris qui nous racontent des choses, à leur manière.

Encore une fois, je ne dis pas que le film de Zemeckis est d'emblée raté : il n'y a pas de doxa, il n'a pas franchi de ligne interdite. Je dis que le choix des SFX est surprenant, et pas évident. Je suis curieux de savoir ce qu'il va faire avec.

Euuuh…c'est ce que je dis…je crois...


Pour le moment, y a aucun choixde la part de Zemeckis, y a juste une spéculation de Tetsuo (et d'ores et déjà une conclusion négative).

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N'écoutez pas Film Freak

Confirmation officielle.
JGL tient le rôle. Zemeckis co-écrit et réalise. Ça se tourne même en mai!

It has also been a passion project for Zemeckis for several years.

It’s one that the producer grabbed onto after he watched Gravity in a theater and decided he wanted to launch with that level of difficulty, something that really had to be seen in a theater to fully appreciate the 3D.

Mais bon, comme JGL ne marchera pas sur un fil à plusieurs centaines de mètres du sol pour de vrai, ça va être tout pourri comme film, t'as vu.

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Grave.

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N'écoutez pas Film Freak

Inutilité.
Mais j'irai le voir, et l'aimerai sans doute au final plus que Freak.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ben Kingsley, James Badge Dale and Charlotte Le Bon are all in negotiations to join Robert Zemeckis' "To Reach The Clouds."

The trio of new talent will play Petit's friend, mentor and lover (respectively).

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Je parie que Charlotte va vraiment devenir la meuf de JLG sur le plateau.