Tom a écrit:
Tom a écrit:
T'as réussi à chopper des sous-titres français ?
Que Dieu a eu la gentillesse de nous mettre à disposition autour de minuit.
Sans surprise, c'est un bon cran en dessous du précédant. La différence d'écriture se ressent en premier lieu sur Sherlock lui-même : moins intelligent, beaucoup moins rapide, moins en avance sur nous - réduit à l'imagerie psycho/autiste/caricaturale, avec des remises en question un peu légères (la scène au coin du feu, qui se contente de peu) et des capacités un peu improbables (la scène du mot de passe). L'ensemble, pas très dense et beaucoup plus linéaire, reste correctement mené, et n'ayant pas connaissance de l'histoire originale je n'ai pas eu l'occasion d'être déçu. Celui qui se fait plaisir c'est surtout le réal, jouissant à fond de l'imagerie du lieu, partant un peu trop dans tous les sens, mais se réussissant une très bonne scène (celle du jardin). J'aurais aimé finalement que le tout prenne d'avantage de temps autour de son perso d'enfant traumatisé (Alonso repêché de Dr Who, tout choupinou et plutôt bon d'ailleurs), qu'il exploite mieux cette aventure-là, le reste peinant à toujours être intense.
Plus ou moins d'accord avec ça, en moins sévère.
C'est clair qu'on est davantage dans l'épisode loner à la X Files (pour ne pas dire Scooby Doo) et je suis moyen fan de l'usage de la drogue hallucinogène, mais ça reste rondement mené, à l'instar du précédent épisode écrit par Gatiss, ça n'a pas à rougir, et je trouve pas Holmes aussi "moins" que ça.
Si tous les épisodes étaient comme ça, ça resterait une série très sympa.
Citation:
Du mal à piger l'épilogue, et très peur pour le troisième épisode, évidemment...
Oui, là ça fait gratos, l'impression d'avoir loupé un épisode.