Forum de FilmDeCulte

1956 : Un condamné à mort s'est échappé (ou Le vent souffle où il veut)

4/6
Je n'arrive pas à me faire à cette voix-off, qui me gonfle au possible. A revoir.

1966 : Au hasard Balthazar

5/6
C'est souvent magnifique, mais au final, je trouve quand même la parabole biblique lourdingue. Mais il y a cette fin géniale...

1983 : L'Argent

5/6
Le film hermétique au possible, mais qui touche à la grâce par intermittence.

Pas trop envie d'en voir d'autres pour le moment.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

1990 : Le Grand Bleu

5/6
Le film hermétique au possible, mais qui touche à la grâce par intermittence.

1999 : Jeanne d'Arc

5/6
C'est souvent magnifique, mais au final, je trouve quand même la parabole biblique lourdingue. Mais il y a cette fin géniale...


2014: Lucy

4/6
Je n'arrive pas à me faire à cette voix-off, qui me gonfle au possible. A revoir.


Pas trop envie d'en voir d'autres pour le moment

Oh qu'il est drôle.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

* 1945 : Les Dames du Bois de Boulogne

4/6

* 1951 : Journal d'un curé de campagne

4/6

* 1956 : Un condamné à mort s'est échappé (ou Le vent souffle où il veut)

6/6

* 1959 : Pickpocket

5/6


* 1966 : Au hasard Balthazar

6/6

* 1967 : Mouchette

6/6


* 1971 : Quatre Nuits d'un rêveur

6/6 et dans mon top10 films



* 1983 : L'Argent

6/6

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Ca fait toujours un peu mal de relire ses bêtises de jeunesse.

Plus beau film du monde.

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

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N'écoutez pas Film Freak

Pour les parisiens il passe demain et samedi 28 à la cinémathèque

Oui ceux qui peuvent, ne ratez pas l'occasion, ce film a changé ma vie.

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Profitez de notre promo, le Diable, probablement, en ce moment à 1024px et en son Dolby, actuellement sur Snapchat. Pour le siphonnage de deux Bresson recevez aussi Kommunisten des Straub et une tranche de Carmelo Bene.

Valable jusqu'à épuisement des pièces disponibles.

Merci à vous deux. J'ai vu ça hier soir, et effectivement film bouleversant. Comme d'habitude chez Bresson (mon 4e film de lui), c'est d'une pureté et d'une limpidité inégalées, la façon dont il film les corps est juste inouïe, mais pas de l'inouï écrasant, c'est au contraire la grâce humaine geste après geste sans qu'il y ait une quelconque lourdeur. Tout paraît simple alors que derrière j'imagine même pas l'oeil et le travail qu'il faut pour atteindre ce résultat. Et puis l'histoire en elle-même est très touchante, d'ailleurs je recommanderais ce film-ci pour commencer Bresson parce que les enjeux amoureux sont ici tellement épurés que je ne vois pas comment on peut s'ennuyer devant une telle oeuvre (mais même dans Pickpocket ou le Condamné il y a une telle virtuosité simple qui est à même de scotcher quiconque s'intéresse un peu au cinéma).

Par contre la musique tient un rôle important de le film, qui plus est d'un point de vue diégétique, ce qui contraste avec le côté volontairement dépouillé de ses films les plus connus. Elle est d'ailleurs très bien utilisée, mais je serais curieux de comprendre davantage ce choix ici tant il est évident qu'elle a un rôle thématique et pas juste "d'accompagnement".

Forum de merde qui se déconnecte tout le temps. J'avais écrit une petite note pour chaque film. Tant pis.

Genre !

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N'écoutez pas Film Freak

J'ai découvert Quatre nuits d'un rêveur il y a quelques mois, si j'ai été sidéré ébloui par sa beauté et surtout sa sensualité, touchant même à l'érotisme par instants, pas seulement dans les corps mais dans la façon de filmer les passants, le musicien sur le trottoir, et même le bateau-mouche (plan extraordinaire), j'ai trouvé l'ensemble trop peu lié, un peu terne, trop compliqué en fait, dans sa structure, sa mise en scène. Je me rends compte d'ailleurs que j'apprécie de plus en plus ses films les plus directs, de moins en moins ceux qui tournent un peu autour du sujet, tendent presque vers la digression. Donc de plus en plus "Pickpocket" (je pense à la phrase "Quel long chemin il m'a fallu parcourir pour arriver jusqu'à toi" presque tous les jours), de moins en moins "Au hasard Balthazar" (même si ça reste un 6/6 facile)