Forum de FilmDeCulte

bcp de réals que j'ai interviewés, surtout étrangers, me citent louis malle

Alors, sur la Cinetek

Le feu follet recommandé par
Raymond Depardon
Joachim Trier
Justine Triet
Philippe Le Guay

Ascenseur pour l'échafaud par
Christian Rouaud,
Naomi Kawase (ah je m'en souviens)

Vanya par Recommandé par
Robert Guédiguian

Milou en mai par
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Caroline Link
Andreas Dresen

Vie privée
Recommandé par
Rebecca Zlotowski

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Patricia Mazuy
Bruce LaBruce
David Cronenberg

Et je me souviens que Hamaguchi, Pawlikowski et un réal jap mais je me souviens plus lequel autre que Hamaguchi m'en ont aussi parlé

Celui qui est aussi souvent cité c'est Claude Chabrol.

Ah je ne me souviens plus du tout. Au sujet de Malle ?

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Le film est académique au possible mais j'ai néanmoins passé un bon moment.

J'ai aimé l'approche douce et anti-conflictuelle du récit. Evidemment ça se solde par un bon nombre de "Mais bordel pourquoi tu le dis pas espèce de con !!" mais c'est le projet du film et je vais pas faire mon vieux gars de commission qui tanne avec ses "Le scénario aurait dû être ci ou ça". Quoi qu'il en soit une fois qu'on accepte que Nino s'accroche à un vague fil de normalité avant le saut dans l'inconnu ça passe.

Cependant je suis d'accord avec ceux qui disaient que c'était trop scénarisé. En effet cette histoire de clé, bon... Comme dit Art Core, que n'appelle-tu un serrurier ? (qui aurait ouvert la porte avec une RADIO) Et l'accumulation de coïncidences (le gardien, l'ancienne camarade...) ne convainc pas entièrement.

Mais Théodore Pellerin est super, nature, spontané, beau de fou, bref on a plaisir à le suivre.

Par contre carton rouge: on essaie de m'empapaouter avec une scène "marché d'Aligre" mais ils font un large en plongée sur la vraie place mais après ils reconstituent un vide-grenier dans l'impasse Druinont et ils croient vraiment que je vais pas capter ?

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Nino procure ce plaisir cinéphile de découvrir de nouveaux talents. Celui de Pauline Loquès bien sûr, mais surtout celui de Théodore Pellerin, que je vois pour la première fois à l'écran, et qui a une présence magnifique. Parfaitement casté avec son physique d'ado qui a grandi trop vite, il est de toutes les scènes et il est d'une formidable justesse. Bien que le scénario soit un peu trop "écrit" (certaines ressorts sont un peu artificiels ou mécaniques), et que le petit défilé de guest-stars accentuent un peu trop le "chapitrage" de ce chemin (de croix?) parcouru par Nino, tout est pardonné par la justesse et la sincérité de l'ensemble: les personnages sont incarnés, leurs dialogues sonnent vrai, le ton est le bon. Et puis il y a plusieurs moments de grâce et de vraies belles idées, emplies de tendresse, qui fait que chaque calin à l'écran est une étreinte pour le spectateur qui aura du mal à ne pas avoir les larmes au yeux. Une belle réussite.

4.5/6

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"