Forum de FilmDeCulte

oui donc voilà, ça se suit sans problème et tout mais mouaif, déjà le fait que ce soit en anglais ça cloche, quelques trucs m'ont agacée (ben oui facile de flasher un homme d'un seul regard quand on est la seule japonaise au monde à avoir les yeux bleus hein - et dans le même esprit évidemment que the chairman qui n'a pas de nom se souvient d'elle vu que c'est la seule blablabla), mais bon c'est joli (bon chez les filles c'est Gong Li la plus belle quand même je trouve - bon j'ai quand même passé tout le film à la traiter de sale pute), pas inintéressant non plus (même si on pourrait apprendre plus, en plus le contexte est pas du tout bien posé on sait jamais quand on est ou à peine), mais j'ai eu un peu l'impression de voir un néon "donnez-nous des oscars" des fois, enfin bref 3.5/6

Et pour le côté Candy alors oui tout à fait, la vieille c'est Mlle Pony, Michelle c'est Soeur Marie, Pumpkin c'est Annie (enfin avant qu'elle devienne une sale pute), Gong Li c'est Elisa, Ken c'est le-prince-des-collines-sans-nom, Nobu c'est Daniel, manque un Capucin en effet... *et sinon moi j'ai pour de vrai Alistair dans ma liste de prénoms*

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Janet

On peut bien sûr reprocher tout ce qu'on veut à Mémoires d'une Geisha (manque de profondeur par exemple), mais en tout cas, quel magnifique brio dans l'efficacité hollywoodienne : la photo, les costumes, la musique, les décors, c'est de la bonne grosse tuerie made in Amblin.

Mais Rob Marshall, même s'il n'est pas un tâcheron impersonnel, loin de là même, n'était sans doute pas le réalisateur idéal pour ce film-là, c'est vraiment dommage.

Une demi-réussite ou un demi-ratage, ça dépend comment on voit le verre. Bon, je comprends que les fans de cinéma asiatique détestent mais j'ai plutôt passé un bon moment.

3-4/6

Le ramassis de clichés absolument risible... Au jeu du "quel sera le prochain plan" et "qu'est-ce qui va se passer", on gagne à tous les coups dans cette grosse beaudruche de luxe. C'est interminable en plus.

0,5/6 parce que Youki nous fait bien jubiler 30 secondes malgré son rôle de merde. Mieux vaut se refaire dix fois de suite une intégrale Princesse Sarah.

J'aurais dû faire breveter mon analyse. Et c'est joli Alistair.

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Bon après la guerre, il y a la geisha.

Enfin vu, et ma foi, c'est beaucoup mieux que prévu. Ca se suit avec intérêt plausible et la classe de l'ensemble fait que jamais tu ne sens la couleuvre. Gong Li éclate, la jeune Chiyo est mieux que Zhang Ziyi qui est tout de même bien acceptable. Ken Watanabe est supra classe.

Difficile d'en dire plus, on sent pas les deux heures, la musique de Williams est supra classe.

Bien aimé, et surprise parce qu'à la sortie je rejetais ça en masse.

4.5/6

Quel délicieux topic qui replonge dans un pan féminin disparu du forum.

Sinon le film, quelle aberration. J'allais dire qu'on n'en fait pu des commes ça mais je me rappelle qu'il a déjà bien fait ironiser à l'époque tant l'objet est un monstre de Frankenstein. Adapté d'un roman américain qui décrit une culture 100% japonaise avec des actrices chinoises. Le tout en anglais qui tente de faire d'une histoire on ne peut plus sinistre un grand mélo romantique et en guise de happy end : la jeune geisha qui-n'est-pas-une-prostituée-mais-bon-si-un-peu-quand-même finit avec le bel industriel dont elle était tombée amoureuse depuis qu'elle a... huit ans. Entretemps elle sera passé par plusieurs lits au nom de consdiérations d'honneur, de prestige, de priorités et de loyauté qui pourront sembler bien absconses au commun des occidentaux.
Ceci dit, la photo est à tomber et je me suis demandé depuis quand je n'en avais pas vu une aussi soignée au point de savourer juste pour ça. Aujourd'hui ça ferait l'objet d'une série dégueulassée par les décors cgi et la patine numérique (comme Shogun), on perdrait en production value mais on y gagnerait peut-être en ampleur romanesque.
Sinon Gong Li déchire mais Zhang Ziyi est quand même bien nulle.

Je bénis le Seigneur d'avoir décidé de ne finalement pas réaliser ce film.

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Ouais j'ai vu ça. Il aurait pu faire un Couleur Pourpre bis, quel commage.