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Bastien, dix ans, est un passionné de romans d'aventures. Un jour, il dérobe un ouvrage merveilleux peuplé d'extraordinaires créatures. Il s'enfonce fébrilement dans l'univers fantastique de ce livre qui le fascine.

Je l'avais vu petit mais il n'a jamais été culte pour moi. Je voulais néanmoins le montrer au petit.

Au début ça commence franchement bien. Mise en place d'une simplicité éloquente, avec discussion père-fils en plan large blockée simplement, sans chichis, caractérisation express, de la pure tradition amblinienne à l'époque où c'était encore sincère et pas une resucée de resucée en mode STRANGER THINGS/SUPER 8.

Le passage dans le monde de Fantasia commence bien car les monstres sont cool et immédiatement amusants, en plus d'être bien faits. J'adore le Rock Eater.

Par la suite, on attend quand même pas mal de temps avant que Bastien* ne se mette à interagir réellement avec le livre et dans ce long laps de temps on se rend compte à quel point l'histoire manque d'éloquence. Franchement je trouve ça confus, entre cette entité méchante qui s'appelle juste "The Nothing" et ce gloubiboulga d'influences.

A la fin, lorsque les fils narratifs se rejoignent, le film esquisse un commentaire méta pas désagréable (Bastien est connecté à Atreyu de la même manière que le spectateur est connecté à Bastien) mais le climax émotionnel ne nous fait jamais vibrer. Ca devrait limite être du INCEPTION en mode toutes les couches narratives résonnent pile au même moment, mais ça marche pas du tout. Et la confrontation avec l'impératrice est juste incompréhensible. Quant à la fin, elle est tellement précipitée, j'ai cru halluciner. Ça sent le remontage à plein nez.

*: les allemands qui font des films pseudo-américains, il faut qu'ils arrêtent de donner à leurs personnages des prénoms juste INEXISTANTS aux States (I'm looking at you, Patrick Vollrath avec ton TOBIAS dans 7500)

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Parle mieux de ce film steuplait.

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Netflix les gars, Netflix.

Fait partie des films que j'ai incompréhensiblement jamais vu (juste des extraits).

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CroqAnimement votre

Vu pas mal de fois jeune. Le livre est tellement mieux.

Jamais réussi à le terminer.
Une fois je l'ai perdu, puis je l'ai racheté et on me l'a VOLÉ avant que je le finisse (véridique).
J'ai commencé à croire que c'était pour ça qu'on l'appelait L'histoire sans fin LOLILOL

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Netflix les gars, Netflix.

Tente, ça vaut vraiment le coup rien que pour l'univers. Les deux premiers, qui reprennent le bouquin, mais pas le troisième avec Jack Black qui est un scénario original (ceci explique peut-etre cela). En tout cas, les deux premiers sont de jolis films qui sont parfaits pour les enfant par l'imaginaire déployé.

Ne l'écoute pas, le deuxième est HORRIBLE, une énorme daube qui n'a pas saisi un seul instant ce qui fait le charme de l'original.
Le gamin (qui n'est pas le même acteur, comme les 3/4 du cast) est l'incarnation de la tête à claque.

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Netflix les gars, Netflix.

Oui j'ai toujours entendu que le 2 (réalisé par George "l'autre" Miller) était affreux, et que le 3 redressait trèèèèès légèrement la barre (par le réalisateur de Rambo 3, Mo' Money et Légionnaire... Quelle carrière de merde).

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

et cette chanson composée par Moroder

Sinon j'avais visité enfant le studio Bavaria - je suis même monté sur le chien-dragon

gros souvenir de ma jeunesse, le film a par contre bcp vieilli.

Oui, magique. Je recommande d'ailleurs l'incroyable version chantée en français par le même interprète, c'est priceless. Mais sinon la BO est juste excellente je trouve, et les quelques morceaux refaits par Moroder sont bienvenus (l'original de la scène des marécages a beaucoup moins d'émotion)

C'EST PAS UN CHIEN BORDEL

Complètement. Même si les effets sont hallucinants pour l'époque, il est temps de faire un remake à la hauteur de l'univers présenté (et ça vient d'être annoncé, donc attente x1000 pour moi)

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Netflix les gars, Netflix.

Je veux bien te croire, je dois confondre. Ma dernière vision remonte au 20ème siècle.

Vu au ciné et j'avais détesté à 13 ans (l'âge où tu aimes tout du moment que t'es allé au ciné), c'est dire...

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Netflix les gars, Netflix.