Trop trop trop de messages à rattraper.
Puck a écrit:
J'me souviens de ce film qui m'avait mis super mal à l'aise avec un type qui découvre qu'il peut voyager dans le temps et utilise ça pour détourner tous les consentements du monde. C'était un peu dégueu.
Je réagis sur ça et sur UN JOUR SANS FIN. Certes, le mec
doesn't take no for an answer ce qui est "mal". Mais il ne détourne pas les consentements en forçant la main. Il change juste quelque chose chez lui ou dans sa manière de parler qui débloque la situation. Et c'est plutôt positif comme message vu que ça nous rappelle que tout est affaire de contexte, et que parfois une chose ou une personne qu'on n'aime pas, dans un autre contexte, on aurait pu l'apprécier.
Film Freak a écrit:
Donc tout le monde aurait dû s'aligner sur le verdict acquittant O.J. Simpson?
Y a quand même une différence entre une affaire où absolument tout pointe vers la culpabilité du mec qui n'arrêtait pas de menacer ou violenter sa femme, qui sera d'ailleurs condamné au civil par la suite, avant d'écrire un livre où il avoue à mots couverts, tout ça avant de faire une attaque à main armée ; et le cas Woody Allen, où il y a UNE SEULE accusation isolée dans le cadre d'un divorce acrimonieux, avec des doutes sur le témoignage, et même un des enfants (qui avait 14 ans à l'époque et non pas 4 comme Ronan Farrow) qui pointe l'invraisemblance de l'accusation. Je dis pas qu'il est innocent, mais il est incontestable que le doute est plus que permis et aussi bien intellectuellement que moralement c'est juste pas possible de le mettre dans le même panier que Weinstein, Trump ou Polanski. Là pour le coup la présomption d'innocence est vraiment bafouée.
Puck a écrit:
le mec fait du mailing comme s'il était une SARL d'harcèlement.
lol
Sinon je suis d'accord avec tout ce qui a été dit.