Forum de FilmDeCulte

Film vu en huit (pénibles) fois, terminé simplement histoire de.

J'ai trouvé ça d'une lourdeur absolue, tant dans l'écriture que la direction d'acteurs (avec les gifles les plus ridicules du monde) : chaque ligne de dialogue pèse de son poids crypto-philosophique, chaque scène tente d'être une petite métaphore de la misère affective de l'être humain au 20ème siècle. Et les intentions sont tellement évidentes, les acteurs tellement statiques et mous, et la caméra tellement lourde, que tout ce qui est en ressort, c'est un film honteusement gras, qui, s'il se permet quelques séquences inspirées (joli plan de la danse, même s'il ne sert à rien), ploie jusqu'à l'effondrement sous son dispositif et sa vision du monde glauque d'artiste dépressif.

Beurk. Et cette insupportable BO à la guitare, là...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

1h45 en 8 fois

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Premier bout vu en juin dernier.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

5/6

Je sais, j'ai vu ton top dans je sais plus quel topic Hartley.

Billy Budd et toi êtes d'ailleurs la raison principale pour laquelle j'ai tenté ce truc.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Et au bout de 5 ou 6 fois tu te dis pas "ce truc n'est pas pour moi" ?

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Netflix les gars, Netflix.

Ben si, mais j'avais décidé de le finir un jour quand même, histoire de.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Bien que cela ne soit pas son meilleur film, je te conseille d'éviter les autres.

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There is no such thing in life as normal

Un de mes réalisateurs préférés (affirmation à pondérer, il faudrait revoir les films), mais Simple Men m'avait semblé être l'un de ses moins bons.

A revoir en priorité, Henry Fool, son chef d’œuvre.
The Unbelievable Truth, son moyen-métrage Surviving Desire et son court Theory of Achievement .
J'avais beaucoup aimé No Such Thing, son monstre et son monologue d'ouverture et le film réalisé pour Arte à l'occasion de l'an 2000, The Book of Life.
Trust est son classique, un film très émouvant et que j'adorais mais qui m'a déçu à la revision. C'est par celui-là qu'il est recommandé de commencer.

Le reste est dispensable et plus proche de l'autoparodie.

Je pense.
Quoique Trust m'intrigue, vu combien tu sembles aimer ce film.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."