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MessagePosté: 06 Aoû 2014, 23:30 
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#04 - Quelle est l'influence du renouveau des séries US sur le cinéma actuel ?

On pourrait se demander quelle est la matrice profonde de l'aspect actuel des séries US : les années 90 (X-files, Urgences), le début des années 2000 (Six Feet Under, 24, Les Sopranos)... Ce serait un premier moyen de comprendre ce qui fait exactement la différence entre cet âge d'or étincelant, et les longues décennies de productions TV, certes parfois enthousiasmantes, mais toujours sagement restées dans l'ombre de ce cousin écrasant qu'était le cinéma.

Plutôt que d'aller farfouiller son passé, la meilleure manière de définir cet âge d'or serait alors peut-être d'en observer l'onde de choc. Narration d'intrigues parallèles entremêlées avançant à coup et de cliffhangers multiples, explicitation (voire verbalisation) des thématiques au travail, notamment via une construction en dissert qui fait le bilan en fin de chaque épisode, mise en scène qui perd son statut premier (du scénariste ou du réalisateur de série, qui nous parle ?) pour explorer les infinies possibilités de son tout nouveau statut d'élégante illustratrice, toute puissance du pitch... Au-delà du fait qu'on pourrait déjà violemment débattre de la pertinence de cette liste, ou de ce qu'il faudrait y rajouter, voit-on d'ores et déjà le cinéma entrain d'intégrer tout cela ? Ou au contraire y réagir ? Qu'est-ce que le cinéma est entrain de digérer de ces séries qui lui volent peu à peu la vedette ?


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MessagePosté: 07 Aoû 2014, 00:08 
Je pense qu'il n'est pas du tout question de voler la vedette mais au contraire de la création d'un tout nouveau dialogue entre les séries et le cinéma. Pour Six feet under par exemple le créateur vient du cinéma et a eu le rare privilège de planifier a l'avance la fin de sa serie qui empêche toute suite possible. J'adore le fait de voir des acteurs «de cinéma» jouer dans des séries ( Glenn Close pour Damages etc), je trouve que ça apporte une toute nouvelle ouverture.


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MessagePosté: 07 Aoû 2014, 00:49 
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Tom a écrit:
Narration d'intrigues parallèles entremêlées avançant à coup et de cliffhangers multiples

Je sais pas si le coup des cliffhangers est vraiment nouveau (la structure épisodique de beaucoup de blockbusters vient directement du serial, qui lui vient du feuilleton dans le journal) mais il y a de plus en plus de films à la narration qui s'étend. Quand je vois les deux derniers Batman ou, pour citer un exemple français, Un prophète, je ressens l'influence de séries à saisons courtes comme The Wire. C'est n peu comme si on essayait de condenser la densité d'une saison en un film de 2h30.

Citation:
explicitation (voire verbalisation) des thématiques au travail

C'est propre à la série TV, ça?

Citation:
notamment via une construction en dissert qui fait le bilan en fin de chaque épisode

Aaaah. Mouais.

Citation:
mise en scène qui perd son statut premier (du scénariste ou du réalisateur de série, qui nous parle ?) pour explorer les infinies possibilités de son tout nouveau statut d'élégante illustratrice

Je ne trouve pas que cela soit le cas au cinéma, à part pour certains transfuges (genre Whedon) et encore (Abrams en est vite sorti, même les Russo se démerdent).

Citation:
toute puissance du pitch...

Alors ça justement c'est plus vraiment le cas au cinéma.
L'ère du high concept et du spec script, c'était surtout les années 90. L'époque où un film comme Speed était LE blockbuster quoi.
Aujourd'hui, l'équivalent de Speed, c'est genre Non-stop. Une série B.
Parce que les studios prennent de moins en moins de risques sur des pitches et préfèrent le brand name recognition, adaptant, remakant et prolongeant des licences pré-existantes.

Cela dit, même en série ça tend à disparaître (pour les plus renommées en tout cas).
Mad Men, Game of Thrones, Masters of Sex, The Wire...ce ne sont pas des séries à pitch.

Citation:
Au-delà du fait qu'on pourrait déjà violemment débattre de la pertinence de cette liste, ou de ce qu'il faudrait y rajouter, voit-on d'ores et déjà le cinéma entrain d'intégrer tout cela ? Ou au contraire y réagir ?

Comme avec le Cinemascope en son temps, maintenant l'industrie se tourne vers l'IMAX pour trouver quelque chose à proposer au public qu'il ne peut pas avoir chez lui.
Et c'est globalement le seul mouvement, j'ai l'impression : faire plus gros, plus épique. "On ne peut s'imposer sur plusieurs épisodes de 42min, alors on met le paquet sur les 2h et quelques dont on dispose".

Citation:
Qu'est-ce que le cinéma est entrain de digérer de ces séries qui lui volent peu à peu la vedette ?

Je sais pas mais je ne suis pas sûr qu'il y ait de vraie grosse influence qui marche. Pour la simple et bonne raison que les deux formats sont bien trop différents pour que l'un cherche à imiter l'autre. C'est complètement vain. C'est pas le même exercice du tout donc répliquer des formules serait contre-productif.

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MessagePosté: 07 Aoû 2014, 07:30 
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Film Freak a écrit:
Citation:
explicitation (voire verbalisation) des thématiques au travail

C'est propre à la série TV, ça?

Je ne sais pas : je le vois apparaître au cinéma (dans les premiers films de superhéros par exemple, mais pas que), en même temps que dans les séries. L'impression que soudain, le travail thématique/symbolique ne peux plus uniquement courir en sous-texte, se contenter d'un effet inconscient, mais veut à présent s'exposer, prouver son existence, au point que ça en devient une donnée visible comme une autre. Je ne sais pas si ça vient des séries ou du ciné, ou si c'est arrivé en même temps.

Citation:
Citation:
mise en scène qui perd son statut premier (du scénariste ou du réalisateur de série, qui nous parle ?) pour explorer les infinies possibilités de son tout nouveau statut d'élégante illustratrice

Je ne trouve pas que cela soit le cas au cinéma, à part pour certains transfuges (genre Whedon) et encore (Abrams en est vite sorti, même les Russo se démerdent).

Oh mais les noms dont tu parles sont de vrais réals, de ce que j'en ai vu en tout cas. Peut-être dans l'écriture d'Abrams, mais pas dans la réal.

La tendance illustratrice (pas au sens d'imagier, de plaisir de l'image, mais vraiment dans une autre manière de concevoir son action), je la chercherais du coup plutôt chez de jeunes réals qui arrivent, et qui ne comprendraient la mise en scène que comme l'application d'un style ou charte visuelle (comme les séries en ont chacun une), et qui de ce fait n'auraient aucune difficulté à jongler nonchalamment entre différentes valeurs de plans, voire différentes caméras. Impression d'en avoir déjà croisé, mais pas de nom en tête là. Je cherche d'ici ce soir...

Citation:
Alors ça justement c'est plus vraiment le cas au cinéma.
L'ère du high concept et du spec script, c'était surtout les années 90. L'époque où un film comme Speed était LE blockbuster quoi.
Aujourd'hui, l'équivalent de Speed, c'est genre Non-stop. Une série B.
Parce que les studios prennent de moins en moins de risques sur des pitches et préfèrent le brand name recognition, adaptant, remakant et prolongeant des licences pré-existantes.

Cela dit, même en série ça tend à disparaître (pour les plus renommées en tout cas).
Mad Men, Game of Thrones, Masters of Sex, The Wire...ce ne sont pas des séries à pitch.

Oui, effectivement.


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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 02:35 
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Je l'ai déjà dit mais pour moi, les séries TV c'est du cinéma. C'est du cinéma qui fonctionne sans cinéaste, de façon presque automne, parce qu'elles créent un monde, un univers qui obéit à ses propres règles. J'ai l'impression que les meilleurs blockbusters aujourd'hui fonctionnent de la même façon. Si leur univers est suffisamment cohérent et leur mythologie suffisamment forte, ces films fonctionnent d'eux-même et peuvent aller presque aussi loin qu'un film porté par un auteur. C'est pour ça que les films de Superhéros se portent plutôt bien. Je vois un auteur comme quelqu'un qui guiderait le film, tandis que les créateurs de série seraient plutôt en train de les pousser avant d'être entrainés par elles. Mais dans le fond, le résultat est le même.

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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 07:53 
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Je ne saurais te dire pour les films de superhéros, je suis (sans le vouloir) toujours allé voir ceux portés par un réal à forte personnalité.

Mais je ne pense pas qu'il s'agisse juste d'une découpe auteur/artisan. Un artisan, quand bien même il s'effacerait complètement derrière son film, continuerait à nous raconter l'histoire par la mise en scène : c'est son job. Sinon ça devient de l'académisme, c'est à dire une forme appliquée à vide (= je vais faire un plan d'ensemble puis une série de gros plan dès qu'il y a un dialogue), et non une mise en scène au sens d'une forme qui, si fonctionnelle et invisible soit-elle, travaillerait les articulations entre signifiant et signifié (= à quel moment faire mon gros plan, au vu de ce qu'on raconte dans ce dialogue). Ça me semble relever de deux approches complètement différentes (différence dont on avait d'ailleurs déjà discuté avec Chow, à travers l'exemple de Cukor : roman-marguerite-gautier-george-cukor-1936-t16108.html#p564250).

J'entends bien l'idée d'un univers engendré qui se suffirait à lui-même, mais c'est presque une autre question. Univers existant ou pas, la question reste pour moi la même : au moment où tu regardes l'épisode, l'attention suspendue, qui te parle (et qui tu "écoutes") ?

Car jamais un réal de série n'a pris en charge mon regard. Ou peut-être, rarissimes exceptions, lors de quelques climaxs de fin de saison, où l'attention du spectateur est si captive qu'on lui redonne soudain une responsabilité... Mais rien de plus. Le symptôme le plus visible de ça, c'est le multicaméra, même dans certaines séries aisées. Qu'est-ce qu'une mise en scène "forte" de série, une mise en scène qu'on a retenu ? C'est la caméra flottante d'Urgences qui glisse sans couper entre les couloirs, quelques soit la situation (noël au bureau, retrouver un meurtrier dans l'hosto, persos qui se rencontrent ou persos qui se connaissent depuis 10 ans...). Ou bien c'est le cadreur (bien plus que le réal) de 24 qui suit n'importe lequel des gestes (une main sort un portable de la poche ? baissons la caméra pour filmer le portable), et ce quelque soit le geste.

Bref, c'est une charte stylistique qu'on applique (caméra glissante / caméra tremblante / telle type de photographie...), pas n'importe comment évidemment, mais ce n'est jamais une digestion spécifique de cette scène. La scène on l'incarne, on l'illustre, on la pare des plus élégants habits, elle bénéficie de l'identité visuelle générale qu'on a inventé pour la série... mais notre principal interlocuteur y reste le scénariste (c'est à dire le créateur dont tu parles, souvent scénariste, rarement réal).


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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 08:30 
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Tetsuo a écrit:
Je l'ai déjà dit mais pour moi, les séries TV c'est du cinéma. C'est du cinéma qui fonctionne sans cinéaste, de façon presque automne, parce qu'elles créent un monde, un univers qui obéit à ses propres règles. J'ai l'impression que les meilleurs blockbusters aujourd'hui fonctionnent de la même façon. Si leur univers est suffisamment cohérent et leur mythologie suffisamment forte, ces films fonctionnent d'eux-même et peuvent aller presque aussi loin qu'un film porté par un auteur. C'est pour ça que les films de Superhéros se portent plutôt bien. Je vois un auteur comme quelqu'un qui guiderait le film, tandis que les créateurs de série seraient plutôt en train de les pousser avant d'être entrainés par elles. Mais dans le fond, le résultat est le même.


Tiens, c'est un bon début d'explication à pourquoi j'en ai vraiment rien à foutre des films de super-héros, tout comme des séries télé. A petite quantité, ça va, mais ça me lourde copieusement après 2 épisodes/films : ce qui compte, c'est le monde (l'univers qui s'accroit, qui se métastase), rien que le monde, et la vision artistique qui donnerait une véritable vie à ce monde est reléguée au second plan.
Les récents films Marvel sont un cas d'école pour moi : un monde, des personnages, des couleurs. Et aussi chiants que coucher avec un plan de tomates.

@Tom : j'aime bien ce que tu écris, j'y souscris pas mal.

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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 09:56 
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Tom a écrit:
Je ne saurais te dire pour les films de superhéros, je suis (sans le vouloir) toujours allé voir ceux portés par un réal à forte personnalité.


Je ne vois pas trop ce que ça change. J'ai jamais dit qu'un individu (scénariste, ou réal) ne pouvait pas y apporter sa personnalité. Et un réal à forte personnalité n'est pas systématiquement un auteur.

Citation:
Mais je ne pense pas qu'il s'agisse juste d'une découpe auteur/artisan.


J'espère qu tu ne déduis pas ça de ce que j'ai dit, hein ? C'est à me désespérer encore plus du dialogue sur forum sinon.

Citation:
Un artisan, quand bien même il s'effacerait complètement derrière son film, continuerait à nous raconter l'histoire par la mise en scène : c'est son job. Sinon ça devient de l'académisme, c'est à dire une forme appliquée à vide (= je vais faire un plan d'ensemble puis une série de gros plan dès qu'il y a un dialogue), et non une mise en scène au sens d'une forme qui, si fonctionnelle et invisible soit-elle, travaillerait les articulations entre signifiant et signifié (= à quel moment faire mon gros plan, au vu de ce qu'on raconte dans ce dialogue). Ça me semble relever de deux approches complètement différentes (différence dont on avait d'ailleurs déjà discuté avec Chow, à travers l'exemple de Cukor : roman-marguerite-gautier-george-cukor-1936-t16108.html#p564250).


Je trouve ça faux. L'académisme fonctionne de cette façon là aussi. Mais bon, je ne parlais absolument pas de ça à la base, donc bon...

Citation:
J'entends bien l'idée d'un univers engendré qui se suffirait à lui-même, mais c'est presque une autre question. Univers existant ou pas, la question reste pour moi la même : au moment où tu regardes l'épisode, l'attention suspendue, qui te parle (et qui tu "écoutes") ?


Mais qu'est-ce qu'on s'en branle, putain ? Ce qui compte c'est ce qui est dit, quand même, c'est hallucinant de penser comme ça !

Citation:
Car jamais un réal de série n'a pris en charge mon regard. Ou peut-être, rarissimes exceptions, lors de quelques climaxs de fin de saison, où l'attention du spectateur est si captive qu'on lui redonne soudain une responsabilité... Mais rien de plus. Le symptôme le plus visible de ça, c'est le multicaméra, même dans certaines séries aisées. Qu'est-ce qu'une mise en scène "forte" de série, une mise en scène qu'on a retenu ? C'est la caméra flottante d'Urgences qui glisse sans couper entre les couloirs, quelques soit la situation (noël au bureau, retrouver un meurtrier dans l'hosto, persos qui se rencontrent ou persos qui se connaissent depuis 10 ans...). Ou bien c'est le cadreur (bien plus que le réal) de 24 qui suit n'importe lequel des gestes (une main sort un portable de la poche ? baissons la caméra pour filmer le portable), et ce quelque soit le geste.

Bref, c'est une charte stylistique qu'on applique (caméra glissante / caméra tremblante / telle type de photographie...), pas n'importe comment évidemment, mais ce n'est jamais une digestion spécifique de cette scène. La scène on l'incarne, on l'illustre, on la pare des plus élégants habits, elle bénéficie de l'identité visuelle générale qu'on a inventé pour la série... mais notre principal interlocuteur y reste le scénariste (c'est à dire le créateur dont tu parles, souvent scénariste, rarement réal).


Considérations et critères de cinéphiles autistes qui ne m'intéressent pas du tout. Je ne vois pas où serait le problème qu'on applique ou pas une identité visuelle prédéfinie, en quoi ça changerait la porté du film. Vous regardez vraiment les films de traviole, c'est lassant. Et puis l'éternelle ritournelle à base de : réalisateur > scénariste, franchement...

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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 09:57 
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Castorp a écrit:
Les récents films Marvel sont un cas d'école pour moi : un monde, des personnages, des couleurs. Et aussi chiants que coucher avec un plan de tomates.


Ouais en fait c'est trop de la merde les films de superhéros, t'as vu ?

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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 10:01 
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Tetsuo a écrit:
Ouais en fait c'est trop de la merde les films de superhéros, t'as vu ?


Ouais bon, si c'est ça la seule répartie à laquelle on a droit à chaque fois qu'on n'aime pas les films de super-héros, putain... En plus tu parles à un fan des Spiderman de Raimi, donc t'es deux fois à côté de la plaque.
Je trouve que les derniers en date de chez Marvel sont des films sans aucune personnalité (le Captain America de Joe Johnston, c'est le film le plus générique du monde, par exemple). J'ai le droit, ou tu vas me sortir que "je regarde de traviole" ?

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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 10:05 
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Citation:
Je ne vois pas où serait le problème

Je n'y ai jamais vu un problème, ce que tu verrais si me lisais un peu, plutôt que de te désoler à la va-vite de notre aveuglement...

Citation:
C'est à me désespérer encore plus du dialogue sur forum sinon.
Citation:
Mais qu'est-ce qu'on s'en branle, putain ? C'est hallucinant de penser comme ça !
Citation:
Considérations et critères de cinéphiles autistes

Pour le reste, je serai ravi d'en discuter avec toi quand tu te comporteras dans la discussion autrement que comme un trou du cul, c'est à dire pas aujourd'hui, visiblement.


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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 10:07 
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Oui là c'est toi qui fait désespérer du dialogue sur le forum, Tetsuo.

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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 10:15 
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Castorp a écrit:
Tetsuo a écrit:
Ouais en fait c'est trop de la merde les films de superhéros, t'as vu ?


Ouais bon, si c'est ça la seule répartie à laquelle on a droit à chaque fois qu'on n'aime pas les films de super-héros, putain... En plus tu parles à un fan des Spiderman de Raimi, donc t'es deux fois à côté de la plaque.
Je trouve que les derniers en date de chez Marvel sont des films sans aucune personnalité (le Captain America de Joe Johnston, c'est le film le plus générique du monde, par exemple). J'ai le droit, ou tu vas me sortir que "je regarde de traviole" ?


Je vais surtout te sortir qu'est-ce que ça fout là, que t'aimes pas les films Marvel ? C'est le sujet ? C'est de ça qu'on parle ? Et qu'est-ce qu'on s'en tape surtout. Vous êtes toujours là à ériger votre opinion comme valeur d'argument, v'là le niveau.

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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 10:19 
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Mais c'est toi, poulet, qui as commencé à parler de films de super-héros. Tu décrivais un truc qui collait très bien à mon ressenti sur les films Marvel. Je rebondis dessus, c'est interdit ?

Quant à parler d'opinion à valeur d'argument, de ta part, c'est fort de café, toi qui passes ton temps à parler de "films surestimés".

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MessagePosté: 08 Aoû 2014, 10:20 
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C'est toi qui parle de films de superhéros et il rebondit dessus.
Tu découvres le principe de la digression?

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