Forum de FilmDeCulte

Bon à en croire le bruit tweeto-médiatique et les applaudissement en conférence de presse de Michael Douglas en pleurs, tout autre nom que le sien pour le prix serait interprété comme un scandale potentiel

Oui j'ai l'impression mais c'est presque trop prévisible.

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CroqAnimement votre

Quelques critiques le trouvent too much.

Je dois être sourd alors. Rien entendu

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Captain phpBB - kikoo lol mdr !!!!!

Dans le chouette film de Valeria Bruni-Tedeschi, Louis Garrel joue avec sa propre image en se foutant gentiment de la gueule de son propre père et de Xavier Dolan. A un moment, je m'attendais à voir débarquer quelqu'un dans le rôle de Polanski pour t'expliquer pourquoi il avait aussi planté son film.

Encore une interruption de projection à la quinzaine après un evanouissement dans la salle. C'est sensible une mémé cannoise qui entend craqué des os dans "a strange course or events". Ou alors le cerveau à décidé de déconnecter devant un tel vide abyssal.

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Captain phpBB - kikoo lol mdr !!!!!

alors pour Leo, Wakolda et Grigris sont la quintessence du 3/6...

Beaucoup aimé les films de Kore-Eda et Soderbergh.

Tel père, tel fils: Mélo d'une grande finesse qui met à l'amende Farhadi au niveau de l'émotion. Déjouant avec intelligence les stéréotypes de classe sociale par le prisme de la paternité, Kore-Eda a l'intelligence de renverser les premières impressions sur son protagoniste principal, dont on pense qu'il sera le personnage positif pivôt et qui se révèle incapable d'affection. D'une douceur suprême, le film pâtit peut-être d'une fin pas aussi forte qu'escomptée. Mais qu'importe, sa présence en compète répare l'affront de la non sélection de I wish.

Ma vie avec Liberace: Douglas impérial en vieille folle sugardaddy dégueulant de strass, de fric et de botox dans cette satire bigger than life du sauvetage des apparences, des années sida et de la solitude gay. Bien plus qu'un téléfilm de luxe.

Ma palme perso reste le Coen pour l'instant, en attendant Kechiche et Gray.

Supers bons premiers retours presse sur le Refn.

L'année dernière était particulièrement moyenne il faut dire.

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CroqAnimement votre

On aura les tableaux demain mais d'après les premiers retours net, le Sorrentino a beaucoup beaucoup plu. Et pourtant la bande annonce faisait peur.

La bande annonce m'a un peu soulé vu le matraquage mais je me disais à la vision soit un truc chiant un peu relou soit Sorrentino à son meilleur. Je n'ai vu que Il divo, assez surpris par le style mais bien apprécié quand-même.

Un peu déçu par A Touch of Sin. Formellement irreprochable pour ne pas dire brillant, sur le fond c'est quand même pas très nuancé et assez repetitif.

Sinon j'ai passé un bonne soirée avec Ralph Fiennes, très sympa, un vrai gentleman, et KS Thomas, très froide par contre... Il y avait aussi Stephen Frears, mais il avait trop l'air d'un plouc alors je lui ai pas parlé. Ralph a présenté son film, qui etait d'ailleurs pas si mal, un joli petit film sur la romance extraconjugale de Charles Dickens. Petit film mais joli. Mais putain le buffet c'etait quelqu chose.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Son premier film était très sympas à Fiennes, curieux de voir celui-là

Du beau monde à la projo des salauds: Outre l'équipe du film, Béatrice Dalle, Jane Campion, Catherine Deneuve, Léos Carax, Kylie Minogue...

Autrement ceux qui glosaient sur les choix de Frémaux et de l'absence en compétition de la reine des critiques UK vont devoir user de la plus grande mauvaise foi pour ne pas reconnaître que Claire Denis vient de toucher le fond avec ce polar tourné à l'arrache et sans grande conviction ni scénario, qui tente de styliser le néant avec un montage arbitraire... Le final sur le clip pédophile cracra de Tindersticks n'aide pas et a reçu un accueil polaire pour une séance de gala.
1/6