Forum de FilmDeCulte

lol.

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lol

Hey ça fait longtemps que je ne la pose plus...! J'ai retiendu la leçon!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

En troquant l'intrigue de Doc Hollywood pour l'intrigue d'un James Bond, l'univers faiblard de Lasseter trouve de quoi se renouveller et surpasse son prédécesseur, mais en choisissant de garder le pire duo de l'histoire de Pixar (comparé à Woody/Buzz ou Mike/Sully ou Marlin/Dory ou Wall-E/EVE ou Carl/Russel, Mater/McQueen font pitié) au centre de l'histoire, le film reste une comédie trop infantile même si moins niaiseuse que le premier (vu pour seulement la 2e fois avant de voir le 2 et que j'avais sévèrement surnoté il y a 5 ans).
J'aurai préféré un spin-off sans Mater et McQueen, juste un film d'espionnage international avec Finn McMissile, vu que les meilleures idées de cette suite résident là-dedans, mais en l'état, j'ai eu droit au Pixar le plus dreamworksien, à savoir un cocktail d'action et d'humour puéril complètement dénué d'émotion.
Sauf que chez DreamWorks, ils ont appris à exploiter la 3D.

3,5/6

PS : le court métrage Toy Story est FAIBLE.

PPS : le teaser de Brave est une touche d'ESPOIR.

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Globalement d'accord. Pas fan de tous les Pixars, surtout les derniers, mais là c'est mauvais. Pas que le film soit catastrophique, mais ça semble froid et calculé, d'où une certaine absence d'émotion. Le film cherche sans cesse la vitesse, ça enchaine les scènes mais sans magie. L'histoire d'espions c'est un peu déjà-vu quand-même et pas que le sidekick McQueen/ martin soit vraiment le plus faible de Pixar mais tout le discours sur l'amitié et comme quoi tu dois accepter ton amis avec ses défauts, c'est un peu niais et mille fois vu. On pourra toujours dit que depuis quelques années le fond est toujours un peu mielleux et naif chez les Pixar, mais ça ne les a pas empêché de sortir de bons films (Toy Story 3 en est la meilleure preuve). Là, on passe au gentil discours familial, mais le pire c'est que vu les références aux films d'espions et le côté fouillis de l'intrigue écologique, on se demande pour qui le film est destiné.
Là le film ne décolle jamais et devient tristement banal. Pas désagréable à regarder mais bizarrement on a l'impression d'une paresse et d'un pilotage automatique qui règne tout le long.

Ah oui, et les scènes de voiture m'ont bizarrement fait penser au Speed racer des Wachowski. Vachement fort les fréros !!!

2/6





Très faible.

C'est dans ce sens là que va mon message. C'est plus pour pointer la banalité des scènes de course de Cars 2.

Pas de magie, pas de douceur, pas de nostalgie, rien. Juste de l'hystérie, du bruit, du mouvement. C'est très faible.
1/6, pour quelques gags et la technique. Moi qui adore le premier...

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J'ai pas vu le désastre annoncé. C'est plutôt sympathique. Le film emprunte même des voies politiques en faisant de l'industrie pétrolière le méchant à abattre (les conservateurs américains ont d'ailleurs condamné le film: "propagande de gauche". Et j'ose croire que c'est peut-être pour cette raison que le film a été autant décrié par les fans du premier film, amateurs de bagnoles et de ronronnement de moteur). On peut douter de la sincérité du geste politique, y voir du cynisme (John Lasseter avait créé ce monstre automobile dans le premier film, il s'est certainement senti obligé de prendre une responsabilité dans le second film). Mais il reste que Cars 2 condamne le sale carburant du monstre, qu'il propose des alternatives plus propres, que des conservateurs se sont emportés, et que des enfants verront le film. C'est pas si mal.

Après... toute cette menace pétrolière n'est pas prise très au sérieux car elle fait parti d'un scénario fun qui s'inspire de la recette James Bond. C'est d'ailleurs l'autre aspect qui en a dérouté plusieurs. Habituellement, Pixar s'intéresse à un milieu, et concentre son unité de lieu sur ce milieu, comme dans le premier film. Mais ici, on a une aventure à la 007 qui part dans tous les sens où les héros se retrouvent aux quatre coins du globe. C'est la principale faiblesse qu'on a voulu accoler au film. Mais comme James Bond était lui aussi un personnage-véhicule qui traversait le globe pour remplir ses missions et qui croisait une multitude d'autres personnages-véhicules à abattre et que là-dedans on n'avait pas beaucoup le temps de s'arrêter pour développer quoi que ce soit, Cars 2 est donc en parfaite cohérence avec l'oeuvre de Ian Fleming. Ç'en est vraiment un pastiche au superlatif. Il vient simplement avec les défauts associés aux films d'espionnages (le peu d'importance accordé aux développements des personnages). Et si Pixar a déjà calqué le scénario des Sept Samouraïs pour A Bug's Life, ce n'est pas si indigne du studio s'il veut appliquer la recette James Bond à Cars, surtout quand les univers fusionnent aussi bien (les voitures et les véhicules ont une importance capitale dans la série James Bond, surtout qu'on y recèle souvent les meilleurs gadgets!). Et ça renforce d'ailleurs mon impression à l'effet que le personnage de James Bond est un véhicule en soit, prétexte à faire avancer l'intrigue et à déclencher l'action.

En cela, Cars 2 prend à rebrousse-poil le propos du premier film sur l'importance de ralentir sa vie. Ici, le personnage du remorqueur, ralenti par la vie dans le premier film, est poussé malgré lui dans une intrigue d'espionnage trop rapide pour son esprit.

Non vraiment, Cars 2 est un film vraiment cool et fun. Mais qu'est-ce que vous avez tous?

J'avoue que je m'attendais à pire... Ça m'a enthousiasmé un peu trop peut-être

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