Forum de FilmDeCulte

Vu ce film à la fois troublant, dérangeant et touchant. Troublant parce que connaissant les démelés et les problèmes ayant trait au passé de Victor Salva, on ne peut passer à coté de l'ambiguité et des allégories du film. Et touchant parce que Powder est à la fois un conte sur la tolérance façon Edward aux mains d'argent et un joli mélo (la femme de Lance Henriksen s'exprimant à travers Powder) qui réussit à émouvoir en mode mineur. Sean Patrick Flanery est exceptionnel, grosse perf'. (performance hein, pas perfusion. Nan parce qu'il a l'air en petite forme quand même ce garçon). Bref, sympa.

Par contre, beaucoup moins sympa : l'affiche du dvd fr.



La peur électrique s'installe. Nan mais sérieux...

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Je l'ai toujours pas vu et je suis très curieux. Tu penses quoi de ses Jeepers Creepers?

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Doll, it's a heartbreaking affair

Jeepers Creepers, très groooooooooos fan. J'ai regardé le making-off de 60 minutes juste avant Powder d'ailleurs. Et Jeepers Creepers 2 très gros fan aussi (mais moins). Disons que le 2ème Opus a de très belles fulgurances mais je pense pas qu'il restera comme le premier.

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Bon bah je pense pareil. Je vais faire du lobbying pour que mon piqueur officiel de dvd à la fnac me le pique ce Powder.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Moi j'attends qu'il sorte avec May et Les Autres dans un box "indice de protection UV 78" et je l'achète.

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Uhuhu bon j'ai déjà les deux autres, Powder je trouverai peut-être ça dans un bac à "tout à 3€" cela dit.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Trés bonne perf de sa part effectivement...Dommage qu'il n'ai jamais percé...Par contre je trouve le film vraiment facile et un peu trop mielleux...
ET la jacquette du dvd est l'affiche du film...

Vu à sa sortie. Comme je ne connaissais pas le passé de Salva (je n'en ai eu que quelques échos ici à la sortie des jeeper creepers), je n'ai pas ressenti ce côté troublant. J'ai bien aimé le film, effectivement très conte et touchant. Parfois un peu trop touchant (un peu trop de sentimentalisme) mais sur l'ensemble ça ne gêne pas trop. Bon souvenir.

Trop bien ce qu'il fait subir aux chasseurs !!!!!!!

6/6

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"My mother, your mother : the earth !"

purée mais on a les mêmes gouts ce film est mortel avec un Sean Patrick Flanery trop puissant et ya même jeff goldblum je l'aime bien ce gars depuis la mouche

6/6 également

on aimerait trop avoir le même power

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"My mother, your mother : the earth !"

Vous pouvez déjà vous toucher la bite tous les deux, puisque vous avez certainement la même.

parano mdr

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"My mother, your mother : the earth !"

Un jeune homme, doté de pouvoirs de télékinésie, vit caché dans une maison. Son intégration dans le monde extérieur ne va pas se faire sans heurt.

Je suis pas forcément fan de l'intérêt d'un film moyen justifié par "et oui, Albert le réalisateur a eu des problèmes avec son père étant petit, et ça se voit à l'écran", enfin ça peut être aussi intéressant qu'autre chose mais ça ne constitue pas une bouée de sauvetage. Et puis ça te fait une belle jambe si le film est foireux.

Pourtant, c'est surtout ce qui m'a intéressé dans Powder. Quand tu connais l'histoire de Victor Salva, il y a une force qui s'ajoute à ce portrait, comme dans ses Jeepers Creepers (à la différence que ses Jeepers Creepers peuvent se lire et s'apprécier sans ce détail en particulier). Les films, aux figures principales diamétralement opposées (en gros, un ange blanc, et un monstre noir), se rejoignent dans leur représentation de la solitude, de la monstruosité, de la sexualité maladive. Ce qui est fort, je trouve, dans la représentation à l'écran dans Jeepers, et qui ici tient à ce que tu sais hors écran.

Du coup c'est un peu l'échec du film qui, tout seul, est bien maladroit. Trop de bons sentiments appuyés par la BO pourrissime de Jerry Goldsmith, trop de mollesse, interprétation globalement pas top (pas fan du jeu clown blanc niaisouille de Sean Patrick Flanery), et surtout un virage mystique un peu concon convenu. Moi j'arrivais pas à penser à autre chose que Travolta et ses révélations dans Phénomène quoi.

Mais il y a une force qui flotte, comme cette volonté de créer une petite mythologie autour d'un perso, ce qu'il accomplira avec Jeepers Creepers, et pas vraiment ici, avec des scènes bancales comme celle où Powder mate le mec dans les vestiaires alors que le perso est clairement présenté comme "hétéro". Comme si Salva voulait raconter autre chose, une métaphore moins lointaine d'un truc intime, mais qui ne sort pas. Et qui sortira plus tard dans ses films suivants.

Sinon pour un souffreteux maladif, il a un vrai corps de gymnaste ce Sean (bon, il est un peu blanc).

3/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Bah justement, j'arrête pas d'en entendre parler mais je sais pas du tout c'est quoi son histoire au juste ?

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