1-Rohmer.
Déjà formulé ce que j'avais à en dire. "Un loft Story dans les chambres d'internat d'une Khâgne. Pour les détails, en sus de la formule dont je suis très fièr... :
Sauf qu'il y a plein de vieux. En fait, ça doit être les profs qu'essaient de renter dans les chambres des filles. Alors par chance, ils partent en vacances avec elles à St Malo. Mais ils arrivent pas à les baiser. Ils leur touchent le genou, c'est tout. Et ces salopes, elles auront pas l'ENS. Donc elles repartiront en vacances à St Malo. Passionnant. Le tout pensé (et parlé. Mais parlé, et parlé, et encore, et encore...) comme dans une Khâgne avec des mecs qui ont des têtes de Khâgneux. Super.
2-Rohmer.
3-Rohmer
4-Klapish (ça compte les tâcherons?). Horrible. Affreux affreux affreux. jamais vu une telle succession de clichés fièrs d'eux. Un rammassis poujadiste (et de gauche en plus, c'est ça le plus
) à gerber, ses films.
5-Jeunet (même question). Quelques effets cache-misère pour cacher une imagerie plate, une poéterie (ou un usage de l'imaginaire) mal pensée, et une morale à gerber. Je trouve ça carrément dégueulasse.
6-Almodovar (parce qu'il y a pas que le ciné français dans la vie). Je mets à part parle avec elle qu'est dans mon top 2000, je crois. Le reste est inscginifiant. Qu'un pays comme l'Espagne ait pu porter aux nues un cinéaste comme ça après avoir ignoré Ossorio me choque profondément.
7-Shymalan. Ca m'a juste jamais touché. je vois pas de quoi on parle. Ni comment. Ou plutôt ça me parle, je vois tout ce qu'il y a dedans, et je me dis "Et...?". Bref, celui dont je passe systématiquement à côté.
C'est difficile à faire un bottom. D'abord on ne sait pas lesquels retenir et ensuite, ceux qui
Ensuite, pour être honnête, on leur laisse jamais assez de chance, on se fatigue souvent au bout de deux ou trois films. Parfois on y revient quand on entend dire qu'ils ont changé. parfois ça marche. Parfois non.
En construction.
_________________
C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.
Espace branleurs