Forum de FilmDeCulte

Je sais pas vraiment si c'est un poncif, mais j'ai vu plusieurs fois le cas de multinationales hyper méchantes avec un logo de truc enfantin/sympa. Récemment revu dans The Bondsman, la série avec Kevin Bacon.

Je vois le principe, mais une fois que tu l'as fait deux fois, ça fait vraiment paresseux et surlignage du discours.

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Dans le pas très subtil mais très bon Little Malcolm que j'ai posté récemment, il y a justement le logo phallus du parti fascisant des protagonistes dans les polices épurées et sans empattement mais grasses typiques des firmes de tech ou de transport des années 70-en décalage avec la pauvreté d'Oldham- qui est pas mal (et la seule activité du parti en dehors du fait de tabasser la copine trop franche du chef est d'ailleurs de l'avoir produit). Cela passe car le film est sur le surlignage de discours.


Cronenberg jouait beaucoup là-dessus avec la charte graphique soignée de ConSec dans Scanners ou celle plus pauvre mais intrigante de CivicTV.

le personnage dans une pièce qui entend une conversation importante / tendue dans la pièce à côté - on y parle de lui.

le massage cardiaque à un mec en train de mourir.
celui qui le fait qui s'acharne, en plein déni, alors que le mec est mort.
le collègue ou la personne à côté qui lui dit "c'est fini, là...".

Y en a tellement. Y a aussi la version où le mec arrête. Puis a un accès de rage et se remet à faire le massage cardiaque qui cette fois, par la force de sa détermination, marche.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Un gentil déboule sur le méchant soit par accident, soit en pensant le prendre par surprise. Et le méchant, hyper calme et non surpris, dit "Oh, there you are".

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

"Who you calling [insulte], [même insulte] ?"

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

[banane]

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Netflix les gars, Netflix.