Forum de FilmDeCulte

Bon sinon les SFX sont incroyables, ainsi que l'intégration, mais le rendu est pas toujours aussi bon que pour un King Kong par exemple et parfois les singes font un peu ternes quand la photo du film est super contrastée. Mais bon détail. Oscar quand même.

Et puis cette scène d'action de fin, bien badass, dans un film vachement sobre à ce niveau d'ailleurs, raaaaaaah.

Assurément la surprise de l'année. Ce que tout le monde craignait comme une énième tentative d'exploiter une franchise usée se révèle être un film totalement réussi. D'abord, ce n'est pas un blockbuster : on ne joue pas la surenchère spectaculaire. On a des personnages, des vrais, un scénario simple et efficace, et tout est motivé par les personnages : la scène d'action ne précède pas le sens. C'est fascinant de bout en bout, d'autant plus que le personnage le plus important est en performance capture. A aucun moment je ne me suis dit : "Là ça ne marche pas". Ça fonctionne tout le temps, c'est fort, et c'est émouvant. Gros coup de coeur de 2011.

5/6

ps : ce que ça fait du bien un film avec si peu de dialogues.

pps :

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Et ben. Je m'avoue surpris, je n'ai pas réussi à voir ce que vous voyez dans ce film, vraiment.

Sans doute un vrai problème d'identification à la cause simiesque... mais aussi finalement le film ne me semble avoir aucun enjeu (c'est mon ressenti). Même l'ascension de Cesar me laisse froid.

Mais c'est cool de voir tant d'enthousiasme pour un film dont personne n'attendait grand chose il y a quelques mois.

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I am the constant. You were always a variable.

Moi au contraire je suis très surpris de la froideur général autour du film. Beaucoup de gens ont trouvé ça totalement banal, chiant et on m'a beaucoup fait la remarque "dommage que le film commence 1/4 d'heure avant la fin"...

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CroqAnimement votre

Non pour le coup remarque de merde. C'est avant que c'est intéressant.

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I am the constant. You were always a variable.

On leur a vendu un film d'action ? Pfff, ça m'énerve.

Bon je me lance …

En un mot : Sympathique.
L’histoire est bien amenée, l’enjeu n’est pas tant de savoir comment cela va finir, mais plutôt de découvrir quelles sont les évènements qui vont aboutir à ce qu’était le film d’origine de F. J. Schaffner, et cette image finale époustouflante qui doit être dans toutes les mémoires.

Et l’on nous montre que c’est encore l’homme qui est le propre artisan de sa future destruction.
« L’enfer est pavé de bonnes intentions. » Rodman c’est un gentil scientifique qui veut aider son prochain, et particulièrement son père qui est atteint de la maladie d’Elsheimer.
Les tests se font sur des animaux, et une des guenons répond très positivement à l’expérimentation.

Premier acte chez les humains, l’éducation, on appui bien sur son humanisation.
Second acte chez ses semblables et emmerdé par un humain. Usant de son intelligence il devient très (trop ?) vite le chef de clan auprès des siens et fomente son évasion.
Dernier acte, l’évasion.

Donc scénar sympa mais je lui reproche des raccourcis scénique un peu to much.
-D’une,
-De deux, je croyais qu’il n’était pas autorisé aux USA d’avoir un singe comme animal de compagnie ? Donc normalement à la première visite chez le véto il aurait du être dénoncé, voire même par le voisin.
-C’est pas un peu facile, le coup du système immunitaire des singes qui est résistant aux effets secondaires ?
-Ils sont combien dans le refuge ? 50, 100 ?
Alors pourquoi on a vraiment l’impression d’en voir beaucoup plus lors des scènes d’évasion dans la ville.

En ce qui concerne la forme, à part deux plans que j’ai trouvé pleins de poésie.
Lorsque Cesar grimpe sur l’arbre et que les années avance.
Lorsque Cesar et les siens remontent l’avenue avec les arbres et que les feuilles tombent en fonction de l’avancée.
Pour le reste c’est très classique, pas d’exubérance, c’est lisible.
L’intégration des singes numériques est parfaite, avec peut être un petit bémol pour les scènes aériennes avec pleins de singes qui courent partout.
Le lien avec le film d’origine est bien présent. Fusée Icarus qui part pour mars et qui se retrouve ‘perdue’.
Et surtout,

Pour la note au départ je voulais mettre 4, mais en écrivant cette première critique et en relevant certaines incohérences je baisse la note d’un demi point donc ce sera : 3,5/6.

(Comme les notes c’est quelque chose de très subjectif :
1 – J’ai vraiment l’impression de m’être fait arnaquer, ça vaut pas le prix de billet.
2 – film mauvais ou c’est pas du tout mon trip et là c’est moi qui me suis planté en allant le voir.
3 – ça commence à être regardable, y’a de l’idée. Le fond, et/ou la forme est bon.
4 – Pas de défaut majeur, un film que j’apprécie.
5 – J’ai pris mon trip, je ressors avec la banane de la salle de ciné.
6 – La perfection, j’ai eu un orgasme en regardant le film, le fond ET la forme est excellentissime.
)

Comparer le Fils de l'homme à La Planète des Singes ?
là j'ai envie d'écrire LOL, ils fument quoi chez Mad Movies ?
Oui un des deux film était véritablement une claque SF sortie de nulle part au même titre qu'a pu l’être Distric 9 mais pas La Planète des Singes qui n'a rien d'une claque à mon sens.
(voir au dessus ^^)

Ouais enfin, c'est UN rédacteur sur les quinze qui dit ça, en sortant de projo (le lieu où l'on s'enflamme le plus avant que ça ne redescende). Cela dit, il est vrai que le mag fonctionne de plus en plus à la passion plutôt qu'à l'objectivité.

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Ils parlent de l'effet que le film procure, pas de ce qu'il est. Par contre aucun des deux films n'est de la SF je pense. C'est plutôt de l'anticipation.

Tu m'étonnes, n'importe quoi ....

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

C'est clair, ils ont vendu ça alors que c'était un biopic sur toi.

les jours où marvel aura les balls d'adapter


plutôt que des merdouilles genre namor , ok

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