Forum de FilmDeCulte

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Non on parle pas d'espace cinématographique indéfinissable ici.

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En plus, tout ça est faux. J'ai jamais cité un quelconque auteur sur ce forum (peut-être Adorno par ci, ou Artaud par-là. Mais c'est franchement pas dans mes habitudes). J'utilise pas la citation ici. J'ai rien à démontrer, je crée des perspectives, j'ouvre des espaces, c'est tout ce qui compte. (Ça et les nichons. Et ouvrir des espaces entre deux gros nichons, c'est le top).

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Pourtant une petite citation ça a du bon:
"Un certain entraînement à la vertu peut résulter de la vie en commun avec les honnêtes gens, suivant la remarque de Théognis" (Ethique à Nicomaque, chapitre "si l'homme heureux a besoin d'amis")(d'Aristote, évidemment)

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Preso en la carcel del amor oscura

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Oulà, mais une citation comme ça n'a aucun sens. Faut l'expliquer, un peu, et donner aux termes leur sens.

Je me pose la question, pour éviter toute confusion. Ici il n'est pas nécessairement question de vertu morale (si mes souvenirs sont bons), mais vertu est synonyme d'excellence (le sens du terme au livre I, notamment)? Auquel cas, cette citation signifie que pour être heureux et se réaliser, il faut développer ses qualités, et ceci s'acquiert par l'habitude prise auprès d'amis. (j'ai un souvenir vague des ivres sur l'amitié, par contre. Je sais, ils sont souvent très utilisés comme œuvre au programme en term, mais je me sers surtout des livre I et X pour traiter le bonheur, objet du traité, le premier introduisant la praxis., le deuxième le concluant, en ajoutant la faculté rationnelle).




Ça manque un peu de nichons, là, et 'espace ouvert est très restreint. (même si ce bleu a ce quelque chose d'indéfinissable...)

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Ouille ouille, suis prise à mon propre piège, là,voilà un authentique spécialiste, je me replie en bon ordre...
Proposition: Azuma devrait nous refaire un ptit bilan, histoire de recadrer ,car là on patauge dans le marigot (et elle est où la sortie?), et Jerzy devrait se lancer dans son petit topic "le spectateur dans tous ses états" dans "Autres messages cinéma", et on verra bien ce qui arrivera...
ça n'empechera pas les blagues douteuses d'arriver, le titre est déjà pratiquement un appel du pied..

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Preso en la carcel del amor oscura

Ah, non, je posais vraiment la question, hein. Comme je disais, je me souviens plus grand chose de ce qui concerne l'amitié dans Nicomaque. Par contre, je sais qu'il y a une tendance courante à prendre vertu pour vertu morale même chez Aristote, alors que le terme signifie excellence ( "La vertu est pour chaque chose ce qu'il y a de plus haut" ou un truc comme ça, il parle notamment de vertu intellectuelle). Et comme le Scythe déteste Aristote, et que je n'en sois pas sûr pour Jerzy, j'ai peur que nous ne sachions jamais la réponse. Ce forum est nul. Y a pas un seul Aristotélicien qui tienne la route.

Et là, ça fait mon deuxième post sans écrire ni nichons, ni branler, ni bite, ni chatte, ni cul.

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Bah si du coup.

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Bub, Scythe, et si j'ai bien compris Jerzy : formation philosophie. Donc, emmener des biscuits dans ce genre de discussion...


Je veux bien faire un petit bilan de mon "top 10 de tous les temps" mais il n'y a que ta liste et celle de Lewis en supplément. Et j'ai fait une actu récemment. Je vais donc attendre encore un peu et faisant un appel du pieds à Jerzy pour son petit top 10, appel qui concerne ceux qui n'ont pas encore rempli leur devoir, et voir si ceux qui l'ont déjà fait ne veulent pas actualiser un peu. Au cas où... Donc, tu attends un peu.



Lance-toi et créé le topic (genre "vos critères de critique" avec une allitération en "cri", qui permettra à Jerzy de nous faire part de ses réflexions (et je l'encourage à le faire car c'est un sujet que je trouve pour ma part fort intéressant).

En regardant attentivemet ce sur quoi je suis tombée par hasard, pas de définition de la "vertu" mais plutôt réflexion sur le bonheur de l'amitié, qui n'est pas seulement un "sentir-ensemble", mais un"échange actif (koinonia) de paroles (logoi)et de pensée
Effectivement, ça concerne plutôt l'idée de bonheur...

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Preso en la carcel del amor oscura

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De tout façon, il faut le penser (ton top 10) comme un processus et pas un état ; c'est-à-dire que l'on peut bien sûr le changer.

Pour choisir, autant se mettre dans une situation adéquate, se construire un scénario : ma maison brûle, je ne peux sauver que 10 de mes films, je prends lesquels ? Je vais finir le reste de ma vie dans une île, je n'ai droit qu'à 10 films, je prends lesquels ?

Remarque, je suis sûr que pour le coup de l'île déserte, on prendrait peut-être quelques pornos dans le lot... Donc pense à une île déserte avec un partenaire (sexuel bien entendu). Et 10 films...

Et une TV.

C'était sous-entendu. Et un lecteur de DVD. Et l'électricité. En fait, mon scénar est très con. Il vaudrait peut-être meiux penser à une incarcération. Je me demande quels vont être les 10 films de Polanski.