Forum de FilmDeCulte

Mais tu nous les brises!!!

Tu sais ça????


Mais qu on lui hoaxe son pseudo pour le remplacer par Renee Le Blanc!

Surtout que le film a de bons échos et que le scénario avait fini haut sur la Black List.

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Maintenant qu à peu près tous les canards ont spoilé la deuxième heure de The Island en l assassinant comme le pire des nanars j aimerais bien savoir pourquoi Noony nous a tanné des mois durant en disant que ça allait être énorme (bon après l avoir lâché lors des premières previews je reconnais)
Hey mec tu pensais avoir lu The tree of life avec Gerard Holtz ou quoi?

J'ai toujours considéré la seconde partie du film comme nanardesque mon poulet. La première était très intrigante par contre. Mais semble t il ça ne suffit pas.

J'aime bien cet enchaînement ! Installons cette expression dans la langue française !

Ce film est nanardesque mon poulet.

lol

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Enorme crash technique à la projo de Bonsai au certain regard: Le son commence à cracher dès le générique, puis se coupe régulièrement... Au bout de 30 minutes, le producteur intervient pour annoncer qu ils vont essayer de charger la version de secours et tout relancer depuis le début dans des conditions de projo acceptables... Mais c est trop tard et la moitié de la salle se barre (dont moi qui dois voir Pater a 16h30).

Cruel, d autant plus que le film a l air charmant.

Aïe j'ose pas imaginer l'enfer pour l'équipe...

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CroqAnimement votre

Et il y a déjà eu une couille similaire le premier jour où était projeté Portrait d une enfant dechue en présence de Schatzberg et Dunaway

Les 5 fois où j'ai fait le festival j'avais pourtant jamais eu une seule couille (à part les sous-titres anglais décalés)

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CroqAnimement votre

Il doit forcément y avoir un lien de cause à effet, non?

Moi qui étais parti pour une journée marathon de six films voilà qui grippe mon joli programme.

C est le désastre critique et public le plus patent pour l instant.

Premier avis: Le Complexe du castor

Présenté hors compétition, le nouveau film en tant que réalisatrice de l'actrice Jodie Foster - qui joue également le premier rôle féminin - est une fable familiale sur un homme en pleine crise existentielle. Suicidaire, il s'impose une thérapie surprenante: s'exprimer par l'intermédiaire d'une marionnette de castor. Inoffensif mais écrit et réalisé avec tact et sensibilité, "Le Complexe du castor" vaut surtout pour sa mise en abyme. Impossible de ne pas penser à l'homme Mel Gibson derrière le personnage de Walter Black, quinquagénaire au bout du rouleau.
3/6

Premier avis: Le Havre

Lumineux, poétique, politique. Formidablement accueilli par la Croisette, le nouveau film d'Aki Kaurismaki pourrait bien obtenir la Palme d'Or, tant il s'agit d'une magnifique proposition de cinéma. Ce n'est pas la réalité que met en scène le génial cinéaste finlandais, mais une France des bistrots généreuse et solidaire, qui aide Marcel Marx à aider son prochain petit black à retrouver sa famille. Dans le rôle principal, André Wilms est irrésistible en cireur de chaussures sans le sou. Et le happy-end final cache une vraie douleur: le monde d'Aki Kaurismaki et de Little Bob, de l'invention poétique et de l'entraide n'existent déjà plus.
5/6

On évite de révéler publiquement des infos confidentielles por favor !