Forum de FilmDeCulte

Un court métrage de Ari Aster dipo sur Youtube :The Strange Things About The Johnson's

C'est ultra glauque (Trigger warning comme on dit) et sa réal est pas encore complétement maîtrisé.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

TWO, court-métrage muet de Satyajit Ray de 1964, très mignon, bien pour les enfants (désolé Tom).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Arte diffuse les CM de réalisateurs qui ont percé :
https://www.arte.tv/fr/videos/RC-024286/les-courts-des-grands/

Quelques uns me tentent bien, comme le Guiraudie ou le Hers

Tiens ça parle de mon taf .
Le Guiraudie est moyen on voulait pas celui là mais pas réussi à en avoir un autre (impossible de localiser l'ayant droit, Guiraudie lui même ne sait pas). Le Claude Miller est une vraie curiosité sinon et j'aime beaucoup le Stéphane Brizé que je trouve très en avance sur son temps.

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CroqAnimement votre

Vous vouliez lequel ?

Du soleil pour les gueux

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CroqAnimement votre

Je pouvais te prêter le DVD

https://shellacfilms.com/dvd/du-soleil-pour-les-gueux

C'était pas une raison pour changer le titre du Guiraudie

Pas compris.

Sinon le problème n'était pas l'accès au film mais bien savoir qui en a les droits pour pouvoir l'acheter et personne ne le sait... C'est assez symptomatique d'ailleurs de la vie de ces films qui faute d'exploitation finissent par disparaître et devenir littéralement invisibles.

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CroqAnimement votre

Arte indique Les héros sont éternels alors que le titre est Les héros sont immortels

Hey bien vu, je fais remonter asap.

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CroqAnimement votre

Shellac a bien du les acheter à quelqu'un ces droits pour sortir le DVD, où ça pourrait ne pas être la même personne suivant le support ?

J'ai pas suivi en direct donc je connais pas les détails mais on a interrogé Shellac. Le problème c'est que suivant les droits c'est pas les mêmes contractants entre exploitation physique et streaming.

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CroqAnimement votre

Le film souffre clairement du symptôme court-métrage à chute, mais avant la toute fin je trouve que ça marche très bien, avec une vraie singularité dans le ton. On y retrouve ce qui faisait la force du Bleu des villes (pas revu depuis la diffusion sur Canal+ à l’époque cela dit) : un mix entre l’intime et le social vraiment bien dosé, ce qui fait qu’on n’est pas dans le film à thèse trop lourd ni dans le mélodrame bourgeois futile. Il y a vraiment un regard acéré, plus de tendresse mais aussi de cruauté sur la vie, les défauts et les lâchetés mais aussi l’humanité des personnages. Dommage que Brizé ait un peu lâché cette approche par la suite, je trouve qu’il avait vraiment un truc qui le démarquait sur le sujet.