Forum de FilmDeCulte

De temps en temps en festivals je vois des courts cools, et j'oublie d'en parler.

J'AIME BEAUCOUP TA MÈRE de Rémy Four et Julien War



Un quadra dont la mère se met à sortir avec un ancien "camarade" de classe. C'est bonnard. Esprit très "Canal".
Ça détourne certains clichés, comme le mec qui arrive pas à dormir à cause de gens qui baisent à côté.
Ya quelques séquences "vieille bande de potes" un peu à la The World's End vraiment sympas.
Me suis bien bidonné.

Merci, ça faisait longtemps que je voulais lancer un sujet de critiques de courts-métrages. Du coup je ne parlerai pas que des "cools".



J'ai découvert récemment LE METRONOME, un film réalisé au 48h de Paris en octobre (et qui a bien sûr raflé des prix). Aucune raison que ça ne devienne pas un juggernaut des festivals:
http://www.youtube.com/watch?v=ICY2bocNsh0&feature=kp

Je suis bien content de pas avoir eu à l'affronter, lui.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Je trouve ça naze.

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N'écoutez pas Film Freak

Je trouve ça sympa, mais au moment ou on découvre le "concept", tout ce que j'attends, je ne l'obtiens que pendant 2-3 plans lors du générique final. Mais à mettre sur le dos des contraintes de temps clairement.

Oui, pour du 48h, c'est quand même oufissime, je trouve. Après, je les soupçonne d'avoir déjà écrit une énorme partie du scénario en amont...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

De quoi ré-entériner pour les dix prochaines années mon opinion catastrophique sur les courts...

Faut savoir ce qu'on entend par "courts" aussi. Parce qu'il y a plusieurs familles de courts français et LE METRONOME n'en représente qu'une fraction.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Sans doute... Mais que ce soit sur un mode "échantillon sociologique naturaliste" ou "film à concept maniéré", j'ai du mal à voir des projets dont l'ambition dépasse le niveau de l'anecdote.

Bon, faut pas faire trop attention, j'en vois peu, c'est un peu de haine gratuite.

Si on considère que les courts, comme le CNC le précise, sont tous les films de moins de 60 minutes, j'en connais une quantité astronomique qui sont des œuvres majeures et essentielles pour moi.

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Je pensais pas aux moyens, non. Disons 20 minutes et moins.

Sincèrement, je connais des films de toute durée, en fait, qui sont d'une grande importance pour moi. Je ne comprends pas bien.

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Je viendrais peut-être plus tard m'en expliquer, mais pas trop la force là. Comme je disais, c'est de l'a priori pas très informé, donc tu as sans doute raison.

En somme, pour toi, la longueur compte

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Tu nous dis quand tu commences.

Parce que là, ça ressemble davantage à une sorte de sketch mal étiré qui commence par plagier Un jour sans fin avant de ne pas savoir comment finir, en mode remplissage (on s'engueule au bout de 2 secondes, comme ça, pour aboutir à une chute nase).

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Je déteste devoir utiliser cet argument mais: c'est fait en 48h hein.
Ecrit. Tourné. Post-produit.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste