Ou la splendeur des titres français :
1949 :
How to Smuggle a Hernia Across the BorderPV
1960 :
Le Dingue du Palace (The Bellboy)
Quelques gags d'une grande beauté dans un film un peu décousu.
4/6
1961 :
Le Tombeur de ces dames (The Ladies Man)
Un vrai film cerveau sur l'éveil sexuel, plastiquement superbe, inventif et très drôle.
5/6
1961 :
Le Zinzin d'Hollywood (The Errand Boy)
Quelques gags d'une grande beauté dans un film un peu décousu.
4/6
1963 :
Docteur Jerry et Mister Love (The Nutty Professor)
Le film dans lequel Lewis se (dé)livre enfin.
6/6
1964 :
Jerry souffre-douleur (The Patsy)
Déconstruction du star-system : hilarant mais aussi très cruel. Peut-être son film le plus abouti dans la construction des gags.
6/6
1965 :
Les Tontons farceurs (The Family Jewels)
Son plus beau film ? Un des plus touchants, des plus drôles et des plus débiles aussi...
6/6
1966 :
Trois sur un sofa (Three on a Couch)
PV.
1967 :
Jerry la grande gueule (The Big Mouth)
Des scènes incroyables et des gags assez cruels. Mais l'ensemble rappelle le ton décousu de ses débuts, le propos se perd un peu...
4/6
1970 :
One More TimePV
1970 :
Ya ya mon général ! (Which Way to the Front?)
PV
1972 :
The Day the Clown CriedPV (mon plus grand fantasme de cinéphile...)
1980 :
Au boulot... Jerry ! (Hardly Working)
Lewis revient en force à la réalisation avec un film complètement barré et un ton plus dur et impitoyable que jamais. Du grand nawak.
5/6
1983 :
T'es fou Jerry (Smorgasbord ou Cracking Up)
Cette fois-ci, Lewis pousse très loin les limites de la débilité, du loufoque, du décousu et de la cruauté avec une amertume totalement assumée. De loin l'un des films les plus dingues que j'ai jamais vu. Pire VF du monde par contre, merci Francis Lax...
6/6
Top :
1- Les Tontons farceurs
T'es fou Jerry
Jerry souffre-douleur
4- Docteur Jerry et Mister Love
5- Le Tombeur de ces dames
- Au boulot... Jerry !
Top hors réal :
1- Cendrillon aux grands pieds, Frank Tashlin
2- La Valse des pantins, Martin Scorsese
3- C'est pas une vie Jerry, Norman Taurog
- Un pitre au pensionnat, Norman Taurog
5- Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir, Philippe Clair