Forum de FilmDeCulte

Ouais, ok.

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Looks like meat's back on the menu, boys!

Tu trouves normal qu'une section intitulée "à son insu" qui consiste à diffuser des images sexuelles de personnes prises à leur insu, voire bien pire, existe ?

Je m'en fous je ne sais même pas de quoi cela parle, lâché l'article après deux ligne. C'est sans doute dégueulasse vu qu'on en parle. C'est l'espèce de frime accusatoire et de petite récuperation demi-mythomane (faisant l'amalgame facile avec des situations qui n'ont rien à voir comme la contrainte psychiatrique supposée impuissante à prévenir les crimes) qui me hérisse.

Et puis le mec me reproche vertement de vouloir couler la francafrique tout en se vantant de pouvoir aller n'importe où n'importe quand grâce à un passeport américain, et cela n'arrange bien-sûr pas ses bidons à mes yeux

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre

Ca explique tes anglicismes.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Il s'est vanté nulle part, sauf dans ta tête.

(Au passage, en matière de passport power, un passeport français, c'est mieux qu'un passeport ricain :
https://www.passportindex.org/byRank.php)

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Lol.



Je me doutais bien que tu tiquais là-dessus.

La "contrainte psychiatrique", ou plutôt l'hospitalisation sous contrainte ou à la demande d'un tiers, et l'obligation de soins ce sont deux choses très différentes. C'est du second cas de figure dont j'essaye de parler ici, qui concerne les profils au pire criminels comme celui de Dominique P. qui va avoir un procès, au cours duquel une ou plusieurs expertises psychiatriques vont avoir lieu et dont les magistrats tiendront compte pour formuler la condamnation. L'injonction ou l'obligation de soins fera alors partie des éléments qui constituent cette condamnation, au même titre par exemple que des dommages et intérêts ou une interdiction d'entrer en contact avec la victime.

On peut très bien écoper d'une obligation de soins après des infrcations au code de la route sous l'emprise de l'alcool. Si ça contribuait à endiguer l'alcoolisme, ça se saurait. Palmade en aura sûrement une aussi.

Donc rien à voir avec les procédures medico-administratives type hospitalisations sous contrainte qui concernent des patients "classiques" de la psychiatrie, bien souvent des psychotiques en rupture de soins et qui n'a strictement aucun rapport avec une activité criminelle ou des condamnations en justice.

Mais tout ça tu le sais déjà, avide que tu es d'alimenter, en me lisant toujours de travers, ta propre indignation vertueuse peu importe le sujet.

EDIT : preuve en est :



Tu tournes vraiment pas rond, là. Oublie-moi un peu, masque-moi je sais pas.

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J'ai seulement parcouru, je suis tombé sur ça:


On a beau savoir que ça existe, ça fait toujours froid dans le dos.

Pardon ??

Sondage ?

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Cela dit, il y a de quoi être offusqué par un post qui prône sans nuances la mise à mort systématique de... De qui parle-t-on d'ailleurs ? Des délinquants sexuels ? La prison les isole déjà, une fois que le masque tombe. Le ton en mode personnel soignant revenu de tout ne suffit pas. Et je dis ça sans animosité !

Depuis de longues années j'ai cotoyé des gens revenus de tout, et j'en suis arrivé à une conclusion simple : aucune issue viable pour leur intellect, bien souvent ils n'ont jamais été nulle part.

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre

Non, on parle de ceux pour qui la délinquance ou la criminalité sexuelle, déjà très banales en soi (dans le sens répandues dans la société), sont des révélateurs de troubles de la personnalité massifs et strictement incurables. Des choses qui tournent autour de la sociopathie et de la psychopathie, c'est à dire des gens qui ne réagissent pas ni au soin, ni à la justice, ni à l'autorité, ni à quoi que ce soit d'extérieur à eux-mêmes... en sachant qu'ils ne sont pas outillés pour faire par eux-mêmes le travail d'introspection nécessaire à l'émergence du sentiment de honte ou de culpabilité. Des gens pour qui on sait donc qu'ils sont coupables et qu'ils vont recommencer.

Je précise à nouveau, pour l'autre animal paranoïaque du dessus, que ces gens ne sont pas fous, ils ne sont pas malades, les psychiatres ne peuvent rien pour eux. C'est leur personnalité qui est construite comme ça.

Libre à chacun de s'offusquer et de bandinteriser la question. A titre personnel, ça me convient tout à fait de savoir que des gens comme Dominique P., au Texas par exemple, vont végéter plusieurs années dans une cellule avant d'être éliminés aux frais du contribuable.

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Mon pauvre, tu balances ça un jour ici, et dix ans plus tard on te sort encore que t'es de droite à un 1J1F...

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

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Mouais, les opinions tranchées en mode Charles Bronson/Docteur House, ce n'est pas ça qui rend une société viable pour reprendre tes mots... Suffit d'ailleurs de voir les avis psychiatriques pour se rendre compte que les professionnels du métier sont déjà très loin de déterminer la dangerosité d'un suspect/coupable, à part after the fact (pardonnez l'usage de l'anglais) C'est pas toi qui disais avoir une connaissance mouillée dans l'affaire FrenchBukkake par ailleurs? (je viens de vérifier et tu dis que ça fait un peu bizarre).