Billy Budd a écrit:
sponge a écrit:
Et il y a ce connard de Darmanin qui appelle à la dissolution du CCIF et de Barakacity.
Donc ouais, ils vont finir par l'avoir leur guerre de religion, c'est n'importe quoi.
Fascinant.
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Film Freak a écrit:
Et la réaction en face, répondant au terrorisme par le terrorisme :
https://www.la-croix.com/France/Attenta ... 1603100080Vertigineux.
Apparemment, l'éducation nationale n'a pas bien expliqué la laïcité et la violence légitime. Ni le concept de citoyenneté.
Ajouté à ça la pensée synthétique qui donne l'impression à celui qui s'en sert d'être complexe et réfléchi mais surtout le confort de ne soutenir aucune décision pouvant remettre en cause une morale éthérée.
Ya un prof d'histoire qui s'est fait décapiter dans la rue 5 ans après des caricaturistes moyens d'un journal pas terrible avec une audience relative fusillés, ainsi que des clients d'une boutique casher (et j'en oublie des dizaines, si ce n'est des centaines) mais faudrait s'interroger sur la pertinence d'interdiction d'organisations à visées communautaristes d'une religion en grave crise existentielle à peu près partout où elle est implantée et dont la violence est un mode opératoire de cette crise ?
L'islam n'a absolument pas besoin de ces machins pour vivre en France. On faisait ses 5 prières par jour, ses repas sans porc et son ramadan sans aucune discrimination (en tout cas pas plus que n'importe quelle autre religion) avant la création du CCIF et Baraka City. La moindre des choses, vu leurs ambiguïtés par rapport à la violence islamiste, c'est de les interdire sans jouer aux vierges effarouchées.
On n'est plus en 1989 et Jospin n'est plus ministre de l'ÉducNat.
Ou sans pudeur de gazelle comme dirait l'autre.
https://www.20minutes.fr/politique/2888027-20201018-attentat-conflans-jean-luc-melenchon-estime-probleme-communaute-tchetcheneIl est vraiment temps que la gauche retrouve un courage politique et ça pourrait commencer par se débarrasser de ce triste sir. Rien entendu de plus dégueulasse de la part d'un politicard visant la présidence depuis "le bruit et l'odeur".