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Friends with money


sortie 11 octobre 2006



Olivia (Jennifer Aniston) est une quadra dont le seul point fort - mais il n'est pas négligeable - est d'accepter avec philosophie le tournant peu reluisant qu'a pris sa vie. En panne d'ambitions, plaquée par un mec formidable qu'elle harcèle de façon minable, fauchée, manquant de force de caractère, elle a perdu son boulot, fait des menages pour survivre et couche sans conviction avec un crétin.
Les trois meilleures amies d'Olivia sont directement importées de Desperate Housewives. A l'aise financièrement, dotées d'une certaine force de caractère, mariées à des hommes séduisants et intelligents... Deux d'entre elles ont un talent professionnel reconnu. Et derrière cette façade de réussite, chacune porte en elle une félure.

Les +

- Pas de fausse note. Les dialogues et les situations sonnent juste.
- bonnes interprêtations, y compris de Jennifer Aniston qui a abandonné le jeu maniéré de Rachel Green.

Les -

- description prévisible, déja vue mille fois, de crises existentielles de quadras qui cassent leurs jouets.
- pas d'humour
- fin convenue.
- réal insignifiante
- le clin d'oeil du titre


Bide justifié au box-office US mais très bien accueilli par la critique américaine. Inclure une Jennifer Aniston connotée comédie légère crée un effet de contraste intéressant sur un film aussi sobre. Du moins, ça a marché sur les critiques.

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Tennis de Table Bordeaux

ça a l'air très difficile de vivre en californie!
dans quel monde vivent-ils? omnubilés par des questions d'argent (alors que la plupart n'en manquent pas!), les personnages semblent zigzaguer dans une forêt de codes sociaux et de questionnements éthiques absurdes, en se demandant constamment s'ils agissent comme il faut.
résultat: le film est un refuge de clichés ultra éculés. mais les psys d'amérique ont de beaux jours devant eux...

Pas désagréable mais tout reste en surface, superficiel. Les situations sont sympas (enfin c'est pas le mot mais ça se regarde sans aucune peine), les ébauches de personnages aussi, mais le traitement est trop léger, un peu vain, un simple survol tiède. Reste le cast féminin, avec notamment Aniston qui, comme dit plus haut, lâche un peu la pression du fantôme généralement horripilant (cf La Rupture) de Rachel, mais démontre en même temps *jamais content* toutes ses limites, elle reste monolithique pendant tout le film et c'est sensé nourrir le contre-emploi...bof. Keener, plus en nuance dans un rôle pas top, ou Joan Cusack et Frances McDormand dans des numéros comiques plus attendus mais maîtrisés s'en sortent bien.

3/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

voila, en gros pareil, ça se regarde bien et tout le monde joue bien son rôle sans en faire trop mais ça n'évite pas les clichés et c'est vraiment du survol de problèmes...

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Janet