Forum de FilmDeCulte

il a un titre provisoire : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 79072.html

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Nan ça c'est un titre dérisoire.

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J'ai des infos mon bon monsieur !

Je vois Frémaux ce midi, je lui demande ?

Qu'il vise Cannes, je veux bien... qu'il y soit, ça c'est autre chose.

Demande lui, clairement !

Demande-lui de foutre des films ricains aussi.

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Est-il contre (vraie question) ? G. Jacob se plaignait d'avoir du mal à les obtenir, les (gros) films ricains.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Nan mais je sais en plus...

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la date est aussi l'une des raisons principales... Je trouve que Cannes a eu pas mal de gros films - Star Wars, Indy 4, les DA Dreamworks, le Vinci Code - mais moins de films à Oscars - l'année de Zodiac et de No Country doit être une exception.

alors à Cannes, en tout cas il sera certainement présenté au comité, il y aura

PARADIES - Ein Filmprojekt von Ulrich Seidl


PARADISE - Un projet de film d'Ulrich Seidl

Synopsis Le film raconte trois PARADISE (vacances) des histoires qui jouent simultanément, et on leur dit en alternance. Le film raconte l'histoire de trois femmes et une famille.

Sugar Mama, l'histoire est enseignée par Teresa, une sœur X dans leur 40s, qui connaissent il ya un an au Kenya, un jeune homme noir et a de l'amour. Il est leur paradis. Tout au long de l'année, elle a attendu, maintenant il est enfin terminée. Elle est allée à Mombasa, le Paradise Beach Resort, où les Européens sont d'autres sur l'amour de vacances. Là, elle aime Mohamed. Elle aime sa jeunesse et sa beauté au maximum, ils ont payé Mohamed et ils ont payé tout, et toujours le jour où elle se rend compte qu'elle n'est pas la seule. Jusqu'au jour où elle se rend compte ce que cela signifie que son amant est un musulman et ils ne sont pas la seule femme à ses côtés. triche Mohamed sur elle, et elle a ensuite également.

MIGRANTS MÈRE DE DIEU, la seconde histoire, racontée par Maria Teresa sœur Anna. Paradise Anna Maria est appelé Jésus. Elle l'aime sans condition, elle consacre tout son le faire et être. Il leur donne leurs vacances à l'Autriche dans son nom sur la bonne voie. Avec une mère migrants de Dieu, une statue haute de 40 cm de Marie, dans sa poche, elle pèlerinage de maison en maison pour distribuer la statue, l'homme des promesses de guérison. Jusqu'au jour où son mari, est confiné à un fauteuil roulant et musulman pakistanais, après des années d'absence de rentrer chez eux. Une petite guerre sur le mariage et la religion commence.

LOLITA, la troisième histoire, racontée par la fille de Teresa. Elle a treize ans, le surpoids et bien rangé effronté. Alors qu'ils impressionner leurs pairs. Alors que sa mère se rend au Kenya, elle passe ses vacances dans un camp de régime, quelque part dans Semmering. Là, elle tombe amoureuse d'un médecin plus âgé de quarante ans, le médecin est appelé. Elle l'aime avec l'exclusivité du premier amour. Il détermine leurs jours, leurs nuits, leurs rêves. Elle veut le séduire en toute innocence. Le médecin, toutefois, aux prises avec la culpabilité de cet amour, en sachant qu'ils sont impossibles. Mais Lisa a son paradis différemment.

PARADISE raconte le tourisme sexuel, le premier amour et la dévotion à Dieu. Il dit à des jeunes femmes et de vieillards, de vieilles femmes et les jeunes hommes. les femmes rapporté par les Africains qui cherchent à rejoindre l'Europe, et européen cherche homme en Afrique et avec l'accomplissement d'Afrique. Le film raconte l'histoire d'être gros et la valeur marchande de la sexualité, telle que racontée par l'amour de Dieu et incompris religions de l'écart entre les cultures, entre musulmans et chrétiens et la culpabilité que vous donnez à l'autre. Et il raconte la soif d'amour.

PARADISE est un film nostalgique.

Je miserai bien un euro sur

Simon Killer d'Antonio Campos

Shot in some of the more touristy spots including the Louvre, the Musee d'Orsay, Charles de Gaulle International Airport and the Gare du Nord train station, this centers on a young New Yorker (Corbet) who seeks refuge from the pain of a difficult breakup, travels to France in search of distraction, quickly falls for an exotic woman (Diop) and finds himself drawn into the dark underbelly of Paris.

Et puis ça, tient Synopsis

The Exchange d'Eran Kolirin (la visite de la fanfare)

A man comes home at a time of day he’s never been there before. A time when the light hits it differently, when the humming of the fridge is the only audible sound.

A man comes home at a time he’s never come home before and for a moment it seems to him like he has walked into the house of a stranger, empty and silent at a desolate mid-day hour.

A man comes home and all of a sudden can see fabulous and forgotten things. Dust particles swirling around in a white ray of light. His wife asleep in their bed, her breath rising and falling under the design magazine that rests on her chest. An old price tag glued to the underside of the table.

A man comes home like a tourist and observes anew those things that make up his life. The parking lot, the stairs, the full mailboxes.

A man comes home and walks into his life at a time he’s never been inside it, observing it with the eyes of the child he once was. And, once again, it is filled with mystery and magical hideouts. The corridors, the passageways, the boiler rooms.

A man stands by and observes his own life from the outside. But is this life still truly his own?

The Future de Miranda July, qui sera à Sundance

Sophie and Jason are strange the way all couples are strange when they're alone. They live in a small LA apartment, have jobs they hate, and in one month they'll adopt a stray cat named Paw Paw. Like a newborn baby, he'll need around-the-clock care - he may die in six months, or it may take five years. Despite their good intentions, Sophie and Jason are terrified of their looming loss of freedom. So with just one month left, they quit their jobs, and the internet, to pursue their dreams - Sophie wants to create a dance, Jason wants simply to be guided by fate. But as the month slips away, Sophie becomes increasingly, humiliatingly paralyzed. In a moment of desperation, she calls a stranger, Marshall - a square, fifty-year-old man who lives in the Valley. In his suburban world she doesn't have to be herself; as long she stays there, she'll never have to try (and fail) again. Living in two terrifyingly vacant and different realities, Sophie and Jason must reunite with time, space and their own souls in order to come home.

et l'intriguant

Alois Nebel de Tomas Lunak, le Valse avec Bashir tchèque annoncé depuis trois ans

The end of the 80’s in the 20th century. The stories of the past and the present converge at a small railway in Bíly Potok, a tiny village on the Czech-Polish border. It’s the home of Alois Nebel, the local dispatcher, a loner who prefers old timetables to people. Alois enjoys the tranquil loneliness of the station, that is until the fog rolls in. Then he begins to suffer from hallucinations, seeing trains from the last hundred years passing through the station. They bring ghosts and shadows from the dark past of Central Europe - a Nazi occupation, the transportation of Jews, the Communists’ revenge on the Germans. These nightmares ultimately send Alois on a journey that includes stopovers at a sanatorium; losing his job to a ‘friend’ named Wachek; meeting an ominous man named The Mute who seeks revenge on Wachek’s father, an old Communist; seeing Prague’s Central Station; and falling in love with the restroom attendant Kveta. Upon Alois’ return to Bíly Potok, these destinies cross again and Alois must judge them for himself if he and Kveta are to survive the storm they stir up …

La ba d'alois nebel

http://www.youtube.com/watch?v=1tf6090UBg8

et le site
http://www.aloisnebel.com/english/train-schedule.htm

This must be a place

une histoire qui soit à la hauteur, comme celle de Cheyenne, rock star à la retraite qui entame un voyage qui changera sa vie : après la mort de son père, il se met à la recherche de l'ancien criminel nazi qui l'a persécuté au temps où il était prisonnier à Auschwitz. "Contrairement à mes autres films, celui-ci est solaire, ouvert, et tourne autour d'un personnage porteur de joie", annonce le réalisateur de New York, où il termine ses repérages. À dire vrai, en lisant cette trame succincte (inutile d'en demander davantage, le réalisateur reste discret), on ne croirait pas y trouver tant de joie. Et pourtant, "le film suivra deux pistes : la comédie échevelée et le portrait intime d'un rapport père-fils à reconstruire sur fond d'holocauste".

Mon sac à vomis est déjà prêt pour Blissfully