Forum de FilmDeCulte

"Gods and Monsters" et "Kinsey" étaient pas mal dans mon souvenir.

La compétition complète qui promet.

La liste des films en compétition

"Aferim!" de Radu Jude
"El botón de nácar" de Patricio Guzmán
"El Club" de Pablo Larraín
"Ten no chasuke" de Sabu
"Vergine giurata" de Laura Bispuri
"45 Years" d'Andrew Haigh
"Als wir träumten" d'Andreas Dresen
"Body" de Malgorzata Szumowska
"Cha và con và" de Phan Dang Di
"Eisenstein in Guanajuato" de Peter Greenaway
"Ixcanul" de Jayro Bustamante
"Journal d'une femme de chambre" de Benoit Jacquot
"Knight of Cups" de Terrence Malick
"Nobody Wants the Night" d'Isabel Coixet
"Under Electric Clouds" d'Alexey German
"Queen of the Desert" de Werner Herzog
"Taxi" de Jafar Panahi
"Victoria" de Sebastian Schipper
"Yi bu zhi yao" de Jiang Wen

y'a pas un Hirschbiegel dans le lot ?

Hors compétition

Je savais pas que Pablo Larrain avait tourné un nouveau film. C'est cool ça ! Par contre plus de nouvelles de son remake de Scarface.

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CroqAnimement votre

Darren Aronofsky soutient Karloff dans la team Calvitie.

S'il pouvait copier mes goûts...

Bon, pour l'instant

Compétition
Taxi de Jafar Panahi 5/6
Une leçon de cinéma, simple, beau et fort

Queen of the Desert de Werner Herzog 2/6
Du cinéma d'aventure ironique où personne ne semble jouer au même degré. Le début avec James Franco est CATASTROPHIQUE - il joue au second degré, Kidman au premier, ça fait mauvais OSS117. La suite est mieux, mais j'ai trouvé ça relou et ça raconte pas grand chose. Après, j'aime assez la perversité de la chose.

Forum
Histoire de Judas 1-2/6
J'avais jamais vu de RMZ. Bon, je sauve quelques plans, surtout au début, mais ce cinéma amateur où l'on déclame le texte et les intentions, ce n'est pas ma came.

Beira-Mar 2/6
Histoire d'amitié-romance gay. Assez anodin, quelques idées pas mal, mais la mise en scène à base d'absence de mise au point, c'est Non. Mes compères de FDC ont détesté.

Et parait que le Coixet en ouverture est très très très bof...

*super*

Ne rate pas Ixcanul, très beau premier film.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je vois le Coixet ce soir, je suis impatient, tout le monde m'a dit que c'était chiant mais beau, beau mais chiant

mais je m'en fous, j'ai papoté avec Rinko qui m'a souri en me montrant son mari, ça me fait mon festival

alors rapido


"El botón de nácar" de Patricio Guzmán
6/6 séance d'hypnose totale, l'impression de redécouvrir le cinéma. Absolument incroyable, failli le voir une seconde fois d'affilée. Numéro 1 de l'année.

"Ixcanul" de Jayro Bustamante
5/6 très beau premier film guatémaltèque, simple et fort, très bien mis en scène, avec un refus assez beau de sur-dramatiser la trajectoire doloriste.

"Journal d'une femme de chambre" de Benoit Jacquot
4/6 belle étude de caractère, avec une sublime Léa Seydoux. Manque un peu de nerf dans son dernier tiers, et la fin est quand même sacrément abrupte.

"Knight of Cups" de Terrence Malick
ma critique ce soir...

"Nobody Wants the Night" d'Isabel Coixet
3/6 c'est moyen, mais j'aime le premier degré, le fait d'affronter le sujet.

"Victoria" de Sebastian Schipper
un plan séquence de 2h20 sur une jeune fille qui rencontre des petits loubards qui montent un braquage. La première heure est super, mais après le film multiplie les sauts de foi et se perd un peu
3/6

Cool pour le Guzman!! Tu fais plaisir pour Ixcanul.

T'as pas vu le Panahi?

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

alors la suite

Knight of Cups de Terrence Malick
4/6
A mon niveau c'est une déception cosmique. La forme est éblouissante, son style est ici totalement maîtrisé, c'est enivrant, extraordinaire sur le plan du montage et de la narration musicale. MAIS le fond ne m'a pas séduit du tout. Jamais été touché par la grâce, cette fois-ci, tant le côté dépressif du riche blanc qui ne parvient à tomber amoureux durablement des bombes qui traversent sa vie me laisse froid. Bale est mieux qu'Affleck. Imogen est sublime. J'essairai de lui redonner une chance - rien compris à la partie avec son père et son frère.

El Club de Pablo Larrain
4/6
L'ouverture place tout de suite la barre très haut sur du Arvo Pärt. On est ici dans du drame métaphysique dont la trivialité de certaines situations et dialogues ne doit pas cacher le fond de la chose: la pédophilie des prêtres ou, plus encore, la culpabilité et la repentance. Par séquence, c'est très fort. Dommage que la forme dogme ne soit pas des plus stimulante et que parfois trop d'humour sorte du film. C'est quelque chose.

Rapidement dans les sections parallèles, j'ai vu des choses pas top: Sangailé, c'est con comme la lune et ça tient sur trois scènes et le physique de ses actrices, Mar, c'est pas mal, mais en une heure, tu peux pas vraiment installer une fiction marquante, à mon sens. Woman in Gold: l'histoire est intéressante, je trouve que le duo Reynolds-Mirren fonctionne bien, mais la réal est atroce, soulignant TOUT TOUT TOUT.

"La deuxième chance qui nous aime. Merci."