Forum de FilmDeCulte

Lol, oui là je crois qu'il faut arrêter ce non-débat. Tuer des animaux pour se nourrir, oui, les faire souffrir pour rien, non. On va pas débattre de la conscience ou non des homards, mais le fait est que l'Homme en a une de conscience, lui. On fait pas un procès aux lionnes qui tuent des antilopes en les faisant souffrir, parce que les lionnes n'ont pas conscience de la souffrance des autres animaux. L'Homme si, a conscience de la mort et de la souffrance des autres, il se doit donc d'éviter au maximum la souffrance de ses "proies". Soyons pragmatiques, nous sommes omnivores, mangeons de la viande, soit, mais profitons de notre conscience pour éviter au mieux la souffrance des animaux.
Même si moi aussi un monde sans foie gras m'est difficile, si un jour on écrit Les Droits Des Animaux, je veux une exception

Et pour revenir sur le problème de la souffrance physique, c'est pas parce qu'un poisson ne hurle pas qu'il n'a pas mal. Tous les organismes complexes ont un système nerveux qui leur fait ressentir la douleur, bouillir un homard vivant me paraît très cruel à mon sens (d'ailleurs pourquoi? C'est moins bon si on le tue avant?)

Mais bon c'est bien beau de parler de tout ça quand on voit les conditions d'élevage industriel, une poule a beau être l'animal le plus con du monde, elle mérite de gambader joyeusement dans l'herbe.
*Lalalala !*

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Pour les poules, c'est plutôt pour qu'on ait de la bonne bouffe. Mais sinon j'ai rien contre la défense des animaux, surtout s'il s'agit de conserver l'équilibre écologico-biologique. Maintenant, en ce qui concerne les homards ou les carottes, je n'ai pas particulièrement besoin de les considérer à partir du moment où ce ne sont ni des espèces en voie de disparition, ni mes amis.

La chair s'abime très vite (abime dans le sens petits "microbes" qui ne facilitent pas la digestion, en gros). Du coup, faire passer de vivant à raide mort ça permet d'éviter ça, et de conserver une texture de chair correcte.

Apparemment oui, justement.

Mais comme je disais plus haut, il existe des moyens de les sonner/tuer juste avant en fait. (hé oui j'ai "beaucoup" lu à ce sujet)

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J'ai beau parfaitement admettre ce que vous dîtes, je le comprends pas. OK, on peut faire l'effort pour notre bonne conscience (sic) d'éviter de les faire souffrir. Mais au final on les bouffe, ça change quoi ?
C'est comme quand on préfère l'injection à la chaise électrique, la fin n'est pas justifiée par les moyens. Pour revenir au cas du topic, le clebs avait le privilège de la considération car il n'y avait aucun but rationnel.

J'suis d'accord sur le fond, mais au risque de faire fleur bleue ou philosophie à 2 balles, nous on est pas des animaux comme les autres, on sait la souffrance de l'autre. Il est donc "de notre devoir" de l'éviter vu qu'on la connait.

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Navré d'insister, mais comme en face l'animal n'en est pas conscient, à quoi bon ? Bon, vous me direz que peut-être qu'il l'est et qu'il nous regarde avec des yeux de merlans frits !

Hum, il n'est pas conscient de sa vie ok, au sens philosophique du terme, il n'est pas conscient.
Mais il souffre, il ressent sa douleur, il a mal.

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Comme disait un grand philosophe:

"Freedom is the right of all sentient beings"

Celle-là elle est pour toi Freak

T'as dla chance que jpasse par là parce que vos débats stériles là...

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Depuis un peu le début, c'est un débat en bois quand même...

Confronter ses intérêts et sa conscience face à l'inconnu, c'est fascinant. Quand les langoustes et les chiens sauront parler...

... la vie des restaurateurs asiatiques va devenir compliquée.

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Tennis de Table Bordeaux

Lol, ça sera d'un ennui mortel. Me rappelle un épisode du laboratoire de Dexter ou il donne la parole à son chien, car celui-ci n'arrête pas d'aboyer et de courir partout dans son labo. Une fois la parole donnée, le chien l'emmène devant une machine qui le faisait aboyer, et se contente de dire "y'a un truc là, y'a un truc là!". Et aussi de réclamer bruyamment à manger et des caresses.


Et puis ça serait charmant qu'au printemps au lieu des mélodieux chants d'oiseaux on entende dans les arbres "Je veux baiser! Je suis un beau mâle Je veux baiser!"

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J'ai rien contre l'idée de tuer pour se nourrir.

Bon ensuite y a un problème fondamental dans nos sociétés d'aujourd'hui qui est cet excès dans tout, dans les quantités, dans la variété, bref... décroissance là.

Mais ouais moi j'ai rien contre tuer un animal si c'est pour le manger.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste