flatclem a écrit:
Personne ne te demande de ne pas y réfléchir, et bien entendu que dans l'absolu la parité parfaite et sans abus devrait être le but.
Mais tu ne fais que tu ne fais que d'insister sur la même chose depuis 5 pages. Les cas d'abus dans la vague #metoo m'ont bien l'air plus marginaux que ce que le mouvement dénonce.
Je réagissais justement sur la manière "absolue" (ou unilatérale) dont tu hiérarchise ton argumentation, ce qui rend ton message ... tendu?
Non, non, le terme que tu cherches est "nauséabond".
Et tu me fais rire : j'argumente, donc je défends mon bifteck, parce que je pense qu'il en vaut la peine. Il est évident que le mouvement de fond est plus important que les cas d'abus, et si j'ai besoin de te préciser ça, c'est qu'encore une fois, tu es obsédé par ton monde binaire : on est pour ou on est contre, et par conséquent, toute position nuancée est contre.
flatclem a écrit:
L'art du débat ala Castorp.
En l'occurrence, ça caractérise très bien ta position, où tu dégaines à chaque fois le spectre de la misogynie quand on questionne certains des aspects du féminisme moderne.
flatclem a écrit:
Je ne pense pas que c'est la conclusion a tirer de cet article.
Comme s'il n'y avait qu'une conclusion à tirer de cet article...
flatclem a écrit:
Et #metoo n'est pas le seul facteur dans la chute de la sexualité (et c'est loin d’être le plus important).
Je n'ai pas dit que metoo était responsable de la chute de sexualité, je t'ai juste parlé de jeunes qui n'osent plus draguer. Ce qui n'est pas la même chose.