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[Info modo : post en réponse à un premier message effacé]


Moi ça m'a gonflé à peu près au bout de 3 minutes. J'ai eu un regain d'intérêt lorsque le film tourne au Battle Royale en famille mais finalement, même cet épisode ne va pas assez loin. Le reste est à la fois criard (du mal avec le surjeu bouffon de tout le monde) et bien mou, la faute à une écriture en live qui rend le tout très décousu. J'ai souri une fois (quand la gamine obsédée par les idols parle à son père comme une connerie de peluche kawai et prend sa pose naise sur la moto).

1-2/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Quand je vois le nombre de gens qui idolatrent presque le consternant Visitor Q je me dis qu'ils n'ont pas vu Crazy Family...

J'en garde un bon souvenir, même s'il y avait quelques longueurs. Quant au rapport avec Battle Royale, mis à part la violence, je ne le vois pas vraiment dans le fond du film.

Très sympa effectivement même si je comprends que l'hystérie générale puisse devenir insupportable (ma copine a gentiment détesté).

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CroqAnimement votre

Ma rétro Sogo Ishii à l'Etrange Festival 2004
(hop, je fouille dans mes archives..)

Crazy Family : J'ai trouvé ça parfois lourd, poussif, mais quelques scènes m'ont franchement fait marrer, surtout quand ça part carrément en vrille.

Panique au Lycée : Un adolescent pète les plombs, flingue le prof de maths et prend des élèves en otage. Plutôt pas mal, malgré quelques longueurs, et un discours un peu trop simpliste. On sent que c'est une oeuvre de jeunesse.

BURST CITY et ELECTRIC DRAGON 80,000 V:
Du pur cinéma cyberpunk pour ces deux trips hallucinés qui te font exploser les tympans. C'est l'une des grosses influences de Tsukamoto. Cultissime.
"What saved him from ruin was….THE ELECTRIC GUITAR!!!!!"
(il faut noter que la séance de l'Etrange Festival fut exceptionnelle car c'était une projection-concert)

Angel Dust :
La trame peut paraître banale: une "profileuse" enquête sur une série de meurtres dans le métro. Un polar décalé et magnifiquement filmé, au style hypnotique, qui cherche à retranscrire les effets du PCP. Angel Dust fascine pour sa narration déconcertante, quelque part entre réalisme et onirisme. Reste que je ne suis pas sûr d'avoir bien compris certains trucs, notamment à la fin, et que ce film nécessiterait une seconde vision pour y voir plus clair.

Pas de rapport à proprement parler, j'évoque simplement le long passage où les membres de la famille en viennent à vouloir se déchiqueter entre eux à coup de scie sauteuse et qui m'y a fait penser en termes de jeu de massacre entre familiers.

(sinon Visitor Q je trouve ça largement plus consternant)

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Doll, it's a heartbreaking affair

Oui c'est pas affreux mais ça fait très premier essai scolaire, maladroit, un peu poussif.

J'ai plus trop de souvenirs de Dead End Run (à part que je crevais la dalle et que mon ventre le faisait ultra entendre ce petit con) mais j'avais beaucoup beaucoup aimé August in the Water, hypnotique, et qui tranche pas mal avec les Ishii que j'ai vus.

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Doll, it's a heartbreaking affair