Lohmann a écrit:
JulienLepers a écrit:
Demain, je te laisse décider entre Catch me if you can et The Fabelmans, parce que j'hésite.
Tu n’auras qu’à voter comme moi
ça devient trop compliqué comme stratégie.
J'abats mes cartes : j'adore
Catch me if you can, je le revois tous les ans, c'est toujours super quand un metteur en scène de cet ordre s'attarde sur la figure de l'imposteur (comme avec
King of Comedy ou
Body Double), mais j'ai vraiment accroché à
The Fabelmans qui traite aussi du vrai et du faux, sauf que je ne l'ai pas vu aussi souvent.
Il faudrait que je ne vote pas pour
Temple of Doom mais comment m'asseoir ensuite à la table des edge lords de la fac de ciné ?
Film Freak a écrit:
Par contre, y a pas de vision enamourée de la guerre dans 1941 (ni dans les autres), c'est plutôt un démontage en règle de son imagerie machiste (Spielberg était précurseur sur la critique de la toxicité masculine!).
C'est... un peu capillotracté. Mais j'aime l'audace.
Oui, c'est pas un amour, plus une fascination. (il nous a suffisamment rappelé que la guerre, ça tue)
Après, je pense qu'il a vraiment révélé une part de lui-même avec ce film.
Mais j'aime bien surtout la mise en forme qui fait du cartoon live (autant dans le sens de dessin animé que dans celui du dessin humoristique), la plastique du film est superbe, les maquettes sont terribles, y a Ned Beatty et Toshiro Mifune (quels beaux spécimens de toxicité masculine) et j'ai toujours une tendresse pour la troupe des comiques de cette époque (SNL/Second City), Dan Ayrkoyd qui explique comment armer un canon à toute vitesse, ça me parle, j'étais amoureux de la blonde de Huit, ça suffit, puis plus tard de Nancy Allen ; mais y a aussi un pur problème de rythme qui empêche de lui donner la note de 6/6, donc ce sera un 5.
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