Forum de FilmDeCulte

Dr. No (1962) 6/6

Bon difficile de s'emmerder devant ça, renouvellement totalement grisant du divertissement serial... Terence Young n'était pas un génie, mais quand on regarde ses Bond ils restent les plus inventifs et bien tenus niveau réalisation. Mythique 1

From Russia with Love (1963) 6/6

Le meilleur 007 réaliste, Daniela Bianchi, la longue fuite de la dernière partie, l'affrontement Conner/Robert Shaw, les chaussures de Lotte Lenya... Mythique 2.

Goldfinger (1964) 5/6

Mythique 3, mais je suis moins client.

Thunderball (Opération tonnerre) (1965) 5/6

Bon ça commence à patiner un peu niveau rythme et à flirter avec le gigantisme mais c'est un spectactle total, et puis il y a cette incroyable séquence sous-marine!

You Only Live Twice (1967) 3/6

premier echec de la série à mon sens, Lewis Gilbert n'a pas encore l'air bien à l'aise avec l'univers, le rythme est pénible, Connery diminué. reste la musique, des décors chouettes et Pleasance.

On Her Majesty's Secret Service (1969) 6/6

C'est le film maudit pour fans? Simplement le plus grand Bond, le premier qui joue de la mythologie et de l'humanité du personnage avec une certaine mélancolie. De grandes séquences d'actions aussi, la mise en scène originale de Peter Hunt, Diana Rigg, We have all the time in the World... le seul point faible c'est Lazemby lui même, passable mais bon.

Diamonds Are Forever (1971) 4/6

Faiblard mais bien fun...


Live and Let Die (1973) 1/6

Le pire de tous, l'intrigue est nul, le méchant nul, jane Seymour sans intéret, la musique agace dans le film... Moore fait une entrée bien molle. Surf sur la blaxploitation sans rien affirmer.

The Man with the Golden Gun (1974) 2/6

Surf cette fois sur Bruce Lee et consorts... C'est un peu mieux que le précédent grâce à Christopher Lee.

The Spy Who Loved Me (1977) 5/6

Le Bond Mythique à Moore et c'est vrai que ça reste super chouette!

Moonraker (1979) 4/6

C'est n'importe quoi mais ça a la classe d'un grand spectacle moins cynique qu'on ne le dis... enfin c'est un film dont je ne me lasse pas.

For Your Eyes Only(1981) 2/6

Un peu le "casino Royale" de l'époque après le too much de "moonraker". C'est chiant, la zic de Bill conti est lol (même si la chanson titre est réussis), le pré-générique est un panard total.

Octopussy (1983) 4/6

Super sympas

A View to a Kill (Dangereusement Vôtre) (1985) ?/6

C'est un de mes films cultes et celui que j'ai sans doute le plus vu, mais je ne saurais vraiment le noter entre le premier et le second degrès... Walken c'est le pied.

The Living Daylights (Tuer n'est pas jouer) (1987) 5/6

Dalton reste mon interprète préféré, vu que je trouve plus intéressant de concevoir 007 comme un personnage que comme une icone... Le film part en live dans sa dernière partie mais reste d'une très bonne tenue, c'est la dernière belle réussite pour moi. Superbe séquence à la "Avengers" sur une chanson endiablé des Pretenders.

Licence to Kill (1989) 3/6

On copie Joel silver comme on copiera surement Bourne dans le prochain... le film a pris un méchant coup de vieux. Mais Dalton tue encore.

GoldenEye (1995)2/6

Super tape à l'oeuil et déjà ultra démodé... horrible musique. mais premier Bond au ciné alors petite madeleine quand même.


Tomorrow Never Dies (1997)4/6

C'est sympas comme un bon Moore, Pryce en fait des caisses et Michelle Yeoh dynamise allègrement l'ensemble... Mon préféré de la période Brosnan.

The World Is Not Enough (1999) 2/6


des détails chouettes sur un film qui se trainasse terriblement...

Die Another day (2002)2/6

Tout ce qui est "Die" est sympas, ce qui est "Another day" franchement pénible de kitcherie post-moderne clinquante

+++
Casino Royale (1967) 4/6

ça vaut pas un bon Edwards, très inégal mais bon délire.

Never say never again (1983) 2/6

Jamais été client... malgré Klaus Maria.

Ha si, on lui en tiendra rigueur, c'est uen des meilleures James Bond girl!!!

Enfin, ne tout cas c'est une de celles que je préfère!

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Tout d'abord, je précise que je suis assez Fan de James Bond a la base



Et je repete que je suis un vendu... j'aime James

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SwingKid

Gilda:" Me... Yes, I'm decent"

Pvb: "Si à la Saint Valentin elle te carresse la main, vivement la Saint Marguerite..."

Meurs pourriture communiste .

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Dr. No (1962) 6/6

Le premier, pas de gadget, juste de la violence (pour l'époque). Ca tue!

From Russia with Love (1963) 5/6

Pas vu depuis longtemps, mais excellent souvenir... La fameuse scène du train, déchire.

Goldfinger (1964) 6/6

Mon préféré de tous. ZE méchant

Thunderball (Opération tonnerre) (1965) 3/6

Je me suis fait chier, dernièrement j'ai pas pu aller jusqu'au bout.

You Only Live Twice (1967) 5/6

J'adore celui là, les James Bond girl japonaises sont sursexy

On Her Majesty's Secret Service (1969) 4/6

Très très sympa malgré un James à la ramasse et très moche.

Diamonds Are Forever (1971) 4/6

Plus trop de souvenirs

Les Moore, m'ont bcp moins marqués.


Live and Let Die (1973) 4/6

Bon souvenir

The Man with the Golden Gun (1974) 1/6

Souvenir affreux

The Spy Who Loved Me (1977) 5/6

Le tout premier que j'ai vu, probablement le meilleur de Roger (c'est celui qui se passe en partie à la Nouvelle Orléan? JE sais plus)

Moonraker (1979) 0/6

Une catastrophe

For Your Eyes Only(1981) 2/6


Bof

Octopussy (1983) 3/6

Plus de souvenir

A View to a Kill (Dangereusement Vôtre) (1985) ?/6


Là aussi, très moyen, mais pas honteux

The Living Daylights (Tuer n'est pas jouer) (1987) 5/6


Premier James vu au ciné. Tous vu là bas depuis... Bon souvenir, j'aimais la blondeur de l'actrice.

Licence to Kill (1989) 3/6


Très vulgaire, malgré une tentative de revenir à l'aspect sec des premiers films.
Et Benicio!

GoldenEye (1995)3/6


Trop mou, mal écrit, mais Pierce est excellent.

Tomorrow Never Dies (1997)5/6


Le meilleur des Pierce, a baissé à la revoyure, mais Michelle Yeoh est une excellente idée de casting.


The World Is Not Enough (1999) 0/6


Une merde sans nom, Sophie Marceau joue comme un pied et pire encore.

Die Another day (2002)4/6

Sympa, mais les tics de mise en scène faussement jeune, c'est non!

Casino Royale (1967) 4/6

Souvenir d'un film mou mais marrant


Never say never again (1983) 4/6

J'adore! Mais on en parlait avec Qui-Gon y'a pas une heure, Sean est largement trop vieux et ça se voit...

Non c'est live and let die à la nouvelle orléans , là c'est un mec qui vole 2 sous marins nucléaires pour déclencher une guerre . Il est dans une super base aquatique qu'on voit meme pas que c'est tourné dans une baignoire avec un jouet de 10 x 15 cm .

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Bon ben Live and Let Die, ça tue! et le Spy, ben c'est moins bien (okkkk, la concision du propos)

Il me semble que celui là est particulièrement populaire ici. J'en garde un bon souvenir, 4 ou 5 / 6, peut être parce que je m'attendais à un truc tout moisi. Sean Connery sortant du pipe line en smoking et qui dit aux ouvriers éberlués qu'il promenait son rat et qu'il l'a perdu... j'avais trouvé ce Bond bcp plus fun que les précédents.

Je suis extrêmement d'accord.

Tu déconnes? C'est probablement le pire Bond parmi les 20.
Avec le gros méchant noir qui gonfle à la fin...

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Non mais ... ok , je fais un proces .

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

la honte... Je vais éditer.

ah voilà c'est purgé... au boulot Julilo

Ha ben non ce sera pour demain ou plus tard dans la soirée... là je vais me vider la tête avec un 007 du coup tiens

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1. Dr. No (1962)

Dans cette première aventure, on est presque plus dans le domaine du polar que du film d’espionnage, tellement c’est posé. Je parle même pas de film d’action. L’intrigue est relativement basique (même si le plan du Dr. No demeure assez flou), le scénario sévèrement linéaire, voire élémentaire, de A à C en passant par B, etc. Le fait de le voir après en avoir d’autres ça donne presque l’impression de voir un épisode « prequel », un petit bonus simple narrant « les origines de James Bond » comme on pourrait en avoir dans une bande-dessinée. Le film pose quelques bases (Bond, son Walther PPK 7mm, son Vodka/Martini, M, Moneypenny, Q qui ne s’appelle pas encore Q et qui est joué par quelqu’un d’autre, le S.P.E.C.T.R.E.) mais demeure tout petit. Une enquête qui paraît minuscule comparé aux ambitions maîtredumondiales de No. Sans être un mauvais film (qui demeure mou par moments, la faute en partie à une quasi-absence de bande sonore, qu’il s’agisse de musique ou d’ambiance sonore), Dr. No apparaît comme un brouillon de l’épisode suivant.


2. From Russia With Love (1963)

Incroyable de constater l’écart entre les deux épisodes. Si Dr. No le précède, c’est véritablement celui-ci qui semble être le chapitre séminal de la franchise. Tout y est, à commencer par une dimension mondiale de l’intrigue, d’un coup c’est autre chose. La présence du S.P.E.C.T.R.E. est nettement plus importante, on sent la Guerre Froide, c’est plus juste « Bond en Jamaïque avec son pote Félix et le noir qui fait « Maaaaah ! ». Russes, anglais, méchants au milieu et pas qu’un ! On a aussi le premier « homme de main » de la tradition Bond avec un Robert Shaw monolithique au possible. Oddjob ou Jaws sont plus mémorables mais on est pas encore dans le « cartoon ». Ce n’est plus une simple enquête mais un récit plus tordu avec machinations et politique et tout… Quant au personnage de Bond, il explose vraiment pour de bon. Une fois de plus, ça transcende le protagoniste crée dans le premier film. C’est plus juste un agent malin, c’est un baiseur machiste qui balance des punchlines par-ci par-là (avant la débâcle qui suivra). Le problème du film et de rester un peu trop longtemps dans le train mais au-delà de ça, c’est un très bon épisode.


3. Goldfinger (1964)

Enorme déception lors de cette deuxième vision (après une découverte pourtant récente, il y a 4 ans) du film que j’estimais jusqu’à présent comme le meilleur épisode de Connery et sans doute un des meilleurs de la saga. Quelle ne fut ma surprise de constater alors qu’en dehors de quelques détails par-ci par-là (Bond qui voit un adversaire reflété dans l’œil d’une femme traîtresse qu’il vient d’embrasser, le machisme général de Bond dans cet épisode jusqu’à la conversion de Pussy Galore en hétéro, la scène « Do you expect me to talk ? ») et de quelques scènes réussies (l’Aston Martin DB-5 et ses gadgets, toutes les scènes avec Oddjob – Bricole en français !), le film se traîne péniblement durant son tiers central. De plus, le plan du méchant demeure assez « petit » finalement. J’aurai aimé voir plus de sadisme comme le meurtre « midassien » de Jill Masterson au début du film. Un bon début, une bonne fin, mais un milieu mou.


4. Thunderball (1965)

Le premier vrai blockbuster de la saga. On n’est pas étonné alors de lire que le film a coûté plus cher que les trois précédents réunis. On retrouve une intrigue plus proche de celle de From Russia With Love, avec tout ce que ça comprend de complots divers et internationaux même si le but final est encore une fois assez simplet (enfin on se rend surtout vite compte que les méchants de Bond cherchent souvent à chourrer des trucs nucléaires pour demander de la thune ou foutre la merde ou les deux). Le rythme est un peu plus soutenu que dans le précédent mais le film souffre du même problème, apparemment inhérent à la saga à cette époque, du ventre mou au cœur du récit. D’autant plus que cet épisode est très long (environ 2h10, alors que tous les autres Connery ne font même pas 2h), même lorsqu’il est bon (la bataille sous-marine finale, interminable). C'est bon mais c'est pas encore ça...


5. You Only Live Twice (1967)

On continue dans la veine blockbuster avec notamment à l’énorme décor de la base dans le cratère du volcan mais aussi le premier pré-générique énorme : le vol du vaisseau américain avec le nouveau thème sublimissime de John Barry (Ta-nin-nin-nuuuuu-NIIIIIIIIIIII). En plus, une petite surprise pas désagréable : c’est Roald Dahl qui se charge du scénario. Pas étonnant que l’auteur ait été attiré par l’univers plus grand que nature de Bond, avec tout ce qu’il comprend de gadgets également… Ce qui est également intéressant, c’est l’approche de Dahl concernant le Japon. Ici, le pays n’est pas juste un lieu propice à quelques paysages exotiques de carte postale, mais joue un rôle important dans l’histoire. On sent une volonté de « comprendre » quelque peu le pays visité par Bond (qui va d’ailleurs être entraîné aux arts ninjas, ce qui est cool, mais qui va également être grimé en japonais, ce qui est ridicule). Cet épisode, c’est aussi l’immortalisation de Ernst Stavro Blofeld dont on voit pour la première fois le visage sous les traits de l’incomparable Donald Pleasence, crâne chauve et cicatrice compris. Faut dire que jusqu’à maintenant, c’était surtout du Mad en costume croisé limite ridicule (voire le panneau qui s’arrête JUSTE en dessous du menton de Blofeld dans le précédent tome). Ici, je dirai qu’il s’agit du premier vrai méchant charismatique de l’univers 007. Il était déjà là dans les autres mais on le voyait pas, juste des hommes de main, parfois imposants (Robert Shaw), parfois mous (Adolfo Celi, le N°2). Avec un récit dynamique, ce volet se classe, à mon goût, aux côtés de From Russia With Love, comme le meilleur épisode de Connery (qui commence à vieillir et grossir cependant, moumoute devinable aussi).


La suite, quand je les aurai revu (ou vu pour ceux que j'ai pas vu).

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