Forum de FilmDeCulte

J'ai surtout oublié d'aller le voir.

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N'écoutez pas Film Freak

Ouais un film simple et touchant. Les gags autours du chien, même s'ils sont répétitifs fonctionnent plutôt bien, et le clebs est énorme, quelle expression ! Par contre tout le côté mélodrame est vraiment surfait, mais il fallait s'y attendre.

Bonne surprise, parce que je m'attendais à un truc tout pourri. 3/6

Et dire que je pensais que mon 2 était déjà d'une politesse exacerbatoire...

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Doll, it's a heartbreaking affair

Qu'est-ce que tu veux faire aussi..

Et pourtant j'adore mon chien (qui est bien vieux en plus).

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Doll, it's a heartbreaking affair

Déjà faut être indulgent avec l'exagération des catastrophes causées par le chien - quand y en a plus y en a encore, et accepter qu'un journaliste se fait juste des COUILLES EN OR.
Sinon oui, il y a une certaine justesse, c'est pas totalement con, j'ai même été ému (faut dire que la première fois que j'ai vu pleurer mon père c'était à la mort de notre retriever, il y a peine 3 ans), mais c'est quand même très prévisible et sans grand intérêt. Ca se regarde et ça s'oublie vite fait.

Parfait pour l'avion.

2/6

SInon Katleen Turner ressemble de plus en plus à Kathy Bates.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Revu ce soir. Toujours aussi drôle, toujours aussi juste. ca va à l'encontre de tout ce qu'on pouvait attendre d'un nouveau film d'animaux pondu par Hollywood. C'est tout simple, parfois maladroit et fat, mais ça déjoue finalement pas mal d'attentes (le chien taré mais gentil, qui ne bouffe pas l'enfant, ne lui fait jamais le moindre mal...). C'est assez osé, de faire une biographie sur un chien (qui plus est quand celui ci, comme je le disais plus haut, ne parle pas, ne pense pas, ne part pas sur les routes à l'aventure - à noter qu'on a échappé à une scène où Marley attrape un criminel, scène coupée que l'on retrouve dans les bonus).
5/6

PS : j'ignore combien gagne un grand chroniqueur aux Etats-Unis, mais quand on voit combien pouvaient être payés certains "journalistes" en France pour une page cinéma hebdomadaire, cela ne me choque pas spécialement dans le film.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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