Forum de FilmDeCulte

Ouais. Mais non.

Le mec qui a compilé deux courts et un moyen qui semble totalement déconnecté, à des kilomètres des deux segments quo précèdent, à la limite du nanar, où tu te marres quand il faut pas, prévisibles, caricaturaux, grotesques, grossiers, bref de la merde. Du foutage de gueule.

Après, le troisième, me fait toujours chier et est tout aussi prévisible mais il s'en dégage déjà une certaine maîtrise de la caméra et de l'ambiance totalement absente des deux autres (ouais le travail sur le son).

Le premier épisode : 0/6.
Le deuxième : 0/6.
Le troisième : 2/6.

Moyenne de 0,6/6.

Douglas, ça y était presque.

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Ceci...............................est............................un.............................film...............................................................mou.......................................................



Suffit pas de faire des trucs lents pour se référer à Bergman ou de montrer des scènes gores pour illustrer le malaise américain. Douglas Buck c'est la fausse bonne surprise du festival.

Les deux courts métrages sont atroces et donc pour certains excellents (appuyer les trucs à gros traits sans subtilités ça peux marcher), le troisième apporte plus de choses à manger (notamment Sally Conway dont j'espère une belle carrière) mais reste hyper mou et vain.

0 + 0 + 3(gentil) = 1/6

First message et je me sens obligé de modérer les propos concernant ce film.

Family Portraits dévoile tout simplement un grand réalisateur en devenir !
Maitrise visuelle et sonore, ambiance moite et dérangeante ... et des scènes à la limite du supportable.
Virtuosité de la caméra et dialogues raffinés sont les maîtres mots de cet OFNI ...

Désormais il faudra compter avec Douglas Buck !

0/6 !!!

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"Put your arms around my soul. And take it dancing ..."

Le film est plebiscité un peu partout.

Personnellement, je n'ai vu que les deux premiers, m'étant violemment endormi au début du troisième.

Sur ces deux là, on a un film techniquement d'un niveau amateur. Ca en devient presque insupportable (notamment la prise de son assez dramatique). On peut tout de même reconnaitre un talent certain pour mettre mal à l'aise le spectateur. De par l'horreur d'une part (le premier segment retourne le bide), de part un certain non rythme d'autre part.

C'est certainement un nom à retenir pour la suite quand il aura plus de moyens.

Une épouse délaissée par son mari s'automutile. Un père de famille effraye son épouse et sa fille à l'heure du petit-déjeuner. Une adolescente, défigurée et infirme, revient chez celui qui est responsable de son état. Trois portraits d'une Amérique qui risque à tout instant de basculer dans la violence et le désespoir, et qui recherche, obstinément, le salut...


MASSACRE AU SECATEUR

Auréolée d'une flatteuse réputation de film culte, cette compilation de trois courts-métrages liée intimement par le choix du sujet sonde les limites de l'insoutenable projeté à l'écran. Fier comme un paon, le réalisateur Douglas Buck plaisantait sur le caractère choquant de son oeuvre lors de sa présentation au dernier Festival de Deauville. Les deux premiers segments, Cutting Moments et Home provoquent en effet un rejet immédiat, non pas par la violence domestique montrée, effectivement bien gore, mais par leur amateurisme et leur complaisance. La nullité de la forme rejoint celle du propos, d'une évidence malsaine d'adolescent soucieux de "choquer le bourgeois" Pourtant, Douglas Buck est certainement un grand cinéaste en devenir...

Le troisième volet de son sombre odyssée atteste en effet de sa capacité à créer une ambiance de terreur psychologique particulièrement impressionnante. Conte de fée pervers au faux-suspense déroutant, le récit de cette jeune victime mutilée marque durablement les esprits sans rien montrer, juste en suggérant l'horreur. Gageons qu'à l'avenir, il travaille davantage cette voie que le grand guignol des deux premiers épisodes.

0/6
0/6
4/6
=
2/6

Les joueurs du jeu FRCD ont déjà été traumatisés par ce film.

Drôle d'expérience que de se taper d'affilée ces trois courts de Douglas Buck, la déprime est assurée tellement ça va loin dans le désespoir. Je ne sais pas si je préfère le gore outrancier du premier segment (le plus grotesque bien sûr mais aussi le plus intense) ou la retenue du dernier (qui peut évidemment paraître comme beaucoup plus subtil, mais que j'ai trouvé un peu plus ennuyeux...) Bref, tout cela peut sembler vain et complaisant, surtout que c'est ultra-faible dans sa narration. En fait, c'est certainement l'évolution du style de Douglas Buck qui étonne bien plus que les films en eux-mêmes, parce que la tristesse abyssale de ses films, elle reste tenace, se manifestant aussi bien de façon explicite ou de façon suggestive, comme si elle ne voulait jamais disparaître, même quand elle passe du champ au hors-champ.... C'est sans doute cette persistance dans le malaise qui semble justifier la réunion de ces trois petits films desespérés et désespérants.

1/6

Question: ça réagissait comment dans la salle? Les gens se barraient, ou? (en même temps, tu as peut-être pas suivi)

Finalement, quinze personnes sont restées jusqu'au bout, soit la moitié de la salle (pour info, c'était la petite salle de merde numéro 9 du Ciné Cité des Halles)

Tu peux pas éditer ta phrase "ceci...est..un..film..mou" et la rendre moins longue? Parce que c'est chiant pour lire les messages.

Ok, lol, merci! j'irais presque pour voir les gueules...A deauville déjà j'ai arrêté de regarder l'écran pour mater les gens c'était plus fun.

Je ne vais pas faire monter la moyenne
0 + 0 + ??? (je me suis endormi au cours du troisième, dommage, ça avait presque l'air "moins pire" - mais à la scéance de 22h aux halles, j'avais des excuses) donc on en restera à 0...

Laid, gratuit, sans intérêt, le film trash-prise de tête caricatural par excellence, avec trente seconde de silence entre chaque réplique histoire de faire "pesant"... Je ne vois aucune réflexion derrière et d'ailleurs très vite, je n'ai même plus cherché à en voir. Pour moi c'est le niveau zéro de ce qu'on peut faire avec une caméra, à tout point de vue.

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- I go from day to day - I know where the cupboards are- I know where the car is parked - I know he isn't you - Never you -

http://www.horror-movies.ca/horror_6682.html

La bande annonce du remake de Sisters par Douglas Buck est là, à vous de juger...

Y a du sang, c'est déjà pas de la BA tout public...

En fait c'est surtout parce qu'il fait le remake de Sisters que j'ai envie de voir son Family Portrait, même si ça semble vomi d'à peu près partout (et ceux qui ne le vomissent pas ne me rassurent pas en fait). Hum mais c'est déjà même plus à l'affiche ça se trouve.

Oh putain découvrance en live que c'est Lou Doillon dedans. Gurch ok.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Et en live Lou, c'est pas mieux...Deauville, c'était mieux avec les hôtesses public système.