Forum de FilmDeCulte

Des gars comme Dante ou Carpenter ont subi des gros revers, ne sont plus vraiment adaptés à l'industrie actuelle. A bien des égards, je comprends pourquoi ils se sont "plantés" ou du moins pourquoi ont les a placardisés. Landis, devant certains de ses films, t'as vraiment envie de lui dire "putain mec, qu'est-ce que tu fais là ?"

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N'écoutez pas Film Freak

Justement, je trouve que tous ces films auraient été bien meilleurs dans les mains d'un autre mec. J'adore The Blue Brothers, par exemple, mais c'est quand même ULTRA mou jusque dans les scènes musicales. De même pour Thriller : OK, c'est le 1er mini film/clip de l'histoire de la télé, mais la mise en scène est tout juste correcte. John Landis, c'est vraiment un John Badham ou un Peter Hyams : un mec qui, à un moment donné, a eu les bons sujets entre les mains.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Oui, voilà. J'adore Blues Brothers pour un tas de raisons, grosses affection pour Un Fauteuil pour 2, mais ça dépasse pas le correct objectivement.

C'est Le Loup Garou de Londres que je trouve mortel en tous points en fait, vraiment, original, bien foutu, un vrai boulot de réalisation, un jeu avec l'image, le son, le montage, la narration. Assez bluffant.

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Non, il a réussi à imprimer une patte personnelle à tous ces films-là. Ce n'est pas Peter Hyams.
"Blues Brothers" ultra mou? On a pas vu le même film... Le générique par exemple, est super-lent, mais y a un tel sens du tempo que ça marche.

Je ne te parle pas de lenteur, j'ai bien compris que le rythme est volontairement lent. Je parle de mise en scène basique et de molesse des scènes musicales. Je ne vois pas quelle patte personnelle il y a dans les Landis. Un fauteuil pour deux (revu récemment également, ça fait mal), ça reste là aussi ultra basique, en dépit encore une fois d'un bon scénario et de bons acteurs.
Et par charité, on passera sur les Flic de BH 3, Innocent Blood, Un prince à NY, Oscar, Blues Brothers 2000.

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Dernièrement j'ai vu "Hamburger film sandwich" et j'ai trouvé ça très pénible.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Le 6 juillet sortira CASE DEPART, le premier film de Thomas Ngijol & Fabrice Eboué
Avec Thomas Ngijol, Fabrice Eboué, plus

Synopsis : Demi-frères, Joël et Régis n’ont en commun que leur père qu’ils connaissent à peine.
Joël est au chômage et pas vraiment dégourdi. La France, « pays raciste » selon lui, est la cause de tous ses échecs et être noir est l’excuse permanente qu’il a trouvée pour ne pas chercher du travail ou encore payer son ticket de bus.
Régis est de son côté totalement intégré. Tant et si bien, qu’il renie totalement sa moitié noire et ne supporte pas qu’on fasse référence à ses origines. Délinquance et immigration vont de pair si l’on en croit ses paroles.
Réclamés au chevet de leur père mourant aux Antilles, ils reçoivent pour tout héritage l’acte d’affranchissement qui a rendu la liberté à leurs ancêtres esclaves, document qui se transmet de génération en génération.
Faisant peu de cas de la richesse symbolique de ce document, ils le déchirent.
Décidée à les punir pour le geste qu’ils viennent de faire, une mystérieuse vieille tante qui les observait depuis leur arrivée aux Antilles décide de leur faire remonter le temps, en pleine période esclavagiste ! Parachutés en 1780, ils seront vendus au marché comme esclaves. Les deux frères vont alors devoir s’unir, non seulement pour s’évader de la plantation mais aussi pour trouver le moyen de rentrer chez eux, au XXIe siècle.

Ouch.

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Le pitch complètement improbable ! En même temps aucun des deux ne me fait rire donc bon...

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CroqAnimement votre

Y aura Légitimus ?

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I think we're gonna need a helmet.

Quand t'es humoriste et pas blanc en France, t'es obligé de faire tourner tout ce que tu écris autour du racisme.

Ce qui m'énerve c'est qu'on ne parle jamais du racisme anti-blanc au cinéma.

Faut attendre que Nadine Morano fasse des films.

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Relativity annonce un remake de The Crow, avec Fresnadillo aux commandes.

Source : Variety.