Forum de FilmDeCulte

Allan et Deudtens.

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C'est pas un rêve de cette nuit mais d'il y a quelques jours...

Je suis au taf, ou j'ai un vestiaire avec casier. Pour une raison que j'ignore, c'est la que je stocke ma collection de disque vinyle.

Un peu plus tard dans la journée, je reçois un coup de fil, quelqu'un me prévient qu'il y a eu un incident avec mes disques, il faut que je descende pour constater le problème.

Une fois dans la salle des casiers, je me rend compte que la salle a été réaménagé et que c'est désormais la billetterie du stade du B.O. (Biarritz Olympic)... Que des hordes de supporters sont là et que c'est très bizarre... je retrouve mes vinyles, certains sont pétés... mais je sais que c'est de la faute des organisateurs du match d'aujourd'hui...

Je rentre dans une colère noir... Je demande à voir le responsable... au bout de quelques instants, un homme arrive, c'est Pierre Salviac...



Instantanément, je devine que c'est mon ennemi mortel, et que tout ça n'est qu'une vaste machination.

Je lui saute donc dessus et après une lutte rapide, je le prend en otage pour exiger de ses complices le remboursement des dégâts...

La foule des supportes du BO m'entoure désormais... et brusquement, un homme surgit de la foule... c'est un de mes chefs d'équipe à EdF (un "agent" EdF bientôt à la retraite que je ne supporte pas dans la réalité). Il entre dans une rage folle et exige la libération de Pierre Salviac ! Finalement il sort un couteau et m'entaille très largement a main... ce qui m'oblige à relacher mon otage et à prendre la fuite...

[Fin du première acte]

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

Je prie pour que dans le second acte Salviac finisse égorgé comme un cochon!

Je voyage dans le temps direction l'Allemagne nazie avec Til Schweiger. On doit pas se faire repérer mais j'utilise sans cesse mon téléphone portable.
On arrive dans un cinéma, Schweiger assis à côté de moi. T'as Gerry qui s'amène à droite, QGJ est en contre-bas. A un moment, ce dernier gueule trop fort "c'est 1000 euros" et Schweiger a trop peur de se faire repérer par l'anachronisme.
Je me penche vers Gerry et on utilise un téléphone qui permet de diffuser des images sur l'écran du ciné. Je m'excite sur le truc et envoie des images contemporaines trop rapides. Là, la salle devient ouf - entrée d'un train à la ciotat style - et Schweiger jubile comme si on niquait les nazis.
On sort, il me demande ce que je fais le 14 juillet prochain. Il m'invite pour le voir faire de l'hélico autour d'un monument de Paris, sais plus lequel.

C'ets vraiment les meilleurs les rêves ou on casse du nazi je trouve...

avec ceux ou on vole peut être... et ceux ou on controle sa taille...

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

moi j'aime bien ceux où on nique quand même, ça fait patienter.

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Mega LOL

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

Ca vénère quand même au réveil (et encore plus quand t'arrives pas à niquer dans le rêve non plus).

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

Jte jure, je sais plus c'est quand la dernière fois que j'ai réussi à jouir dans un rêve.
Depuis un bon moment, quand je fais un rêve de cul, je me réveille généralement avant d'avoir pu passer au pieu ou alors je nique 5 secondes et pouf, réveil.
Le plus pathétique étant les rares fois où je deviens conscient d'être en train de rêver et alors je cherche désespérément à serrer une meuf.

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Non le plus pathétique serait que tu mettes une capote (dans ton rêve) de peur de tacher les draps (dans la réalité)

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

Ca, ça a dû m'arriver ptet deux fois maximum.

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Oui mais parce que tu te branles régulièrement.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Chaqe jour que Dieu fait pas (donc tous les jours).

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Arrête de te branler et tu verras l'état de tes draps...

(en même temps, quelle expérience à la con, d'arrêter de se branler !!!)

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