Forum de FilmDeCulte

[Info modo : post en réponse à un premier message effacé]


Gros gros souvenir, ça. Certaines images sont ancrées dans ma tête pour longtemps.

Génial, en effet ! Ca me fait regretter le coma de l'Etrange Festival qui projetait ce genre de films.

(mais où trouves-tu le temps de voir tous ces films introuvables?)

Bon encore un film sur ma wish-list ! Merci Hal5 !

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CroqAnimement votre

En 1960? Quel précurseur, ce Nakagawa! .





Hal5, mon programme de rattrapages en jap et en horreur (en fait dans ce que je préfère...). L'homme que je voudrais être quand je serai plus grand, en fait...

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

La puissance globable écrase assez rapidement tous les petits bugs de ma première vision qui sont peu de chose face à cette succession grandiose de tableaux de douleur, de visions oniriques et de peintures délirantes, étapes d'un enfer selon l'Ojoyoshu bouddhiste qui permet à Nakagawa, en maître esthète et lettré du genre, de se lâcher à fond les ballons avec un film qui est, et si on peut utiliser l'expression à toutes les sauces ici ça l'est vraiment, unique. Ca turlututue.

6/6

Et chaque jour tu peux prier pour un coffret dvd Nakagawa.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Tu l'as revu comment? C'est passé sur le câble?

Je ne l'ai pas revu, je parle sur mes souvenirs. Je me souviens de petits problèmes de tempo, parfois de sur-accumulation de rebondissements dramatiques, mais ce qui me reste est tellement fort que je me vois honnêtement mal lui enlever un point pour une bête faute de pied. Et c'est la même chose avec Yotsuya, la même avec le Chat, et j'ai envie de gober tout le reste

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Doll, it's a heartbreaking affair