Forum de FilmDeCulte

Le forum cinéma le plus méchant du net...
Nous sommes le 24 Nov 2024, 18:05

Heures au format UTC + 1 heure




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 15 messages ] 
Auteur Message
MessagePosté: 02 Juin 2024, 21:58 
Hors ligne
Robot in Disguise
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 13 Juil 2005, 09:00
Messages: 36706
Localisation: Paris
Axel Foley, lieutenant de police de Detroit, débarque à Beverly Hills pour enquêter sur la mort d'un de ses amis truands. Ses investigations l’amènent bientôt à faire la lumière sur un vaste réseau de trafic de drogue dirigé par un puissant homme d’affaires.

J'en suis au stade où les films ne sont même plus des films, juste des portes d'entrée vers un monde nostalgique, une manière de "re-capturer" un passé que je n'ai même pas forcément vécu.

Car de la saga Axel Foley, je n'avais vu que le troisième volet en salles en août 1994. De la même manière que j'avais récemment rattrapé 48 HEURES, j'ai voulu donc regarder ce 1 apprécié mais sans plus avant de pouvoir un jour regarder le 2 (qu'on pourrait peut-être mettre dans le topic "Les sagas dont l'imaginaire provient davantage du 2 que du 1" ?).

Bref c'était trop bien d'encore découvrir un film que je n'avais pas vu mais c'était comme si je l'avais déjà vu. Le bon vieux logo au début, cette patine d'image 80s pas encore tonyscottifiée, cette débauche de cascade gratuite au début à la BLUES BROTHERS qui doit faire kiffer Nolan, et puis ce cast: Jonathan Banks, Ronny Cox, Paul Reiser, Bronson Pinchot, ils sont tous là, y a même le chef du SWAT de ROBOCOP.

Le film est sympa, rondement mené, avec un savoir-faire carré. J'ai apprécié notamment les interactions avec les personnages secondaires, y a pas de conflit trop forcé, ça reste bon enfant. Sympathique.

_________________
Liam Engle: réalisateur et scénariste
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 02 Juin 2024, 22:03 
Hors ligne
Expert

Inscription: 30 Sep 2016, 19:39
Messages: 5844
Tiens j’ai vu un peu Weekend at Bernie’s récemment un peu dans la même vibe : sympa mais le côté After Hours version sitcom aurait pu être tellement mieux.


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 02 Juin 2024, 22:18 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 21 Aoû 2021, 19:41
Messages: 2095
Qui-Gon Jinn a écrit:
De la même manière que j'avais récemment rattrapé 48 HEURES, j'ai voulu donc regarder ce 1 apprécié mais sans plus avant de pouvoir un jour regarder le 2 (qu'on pourrait peut-être mettre dans le topic "Les sagas dont l'imaginaire provient davantage du 2 que du 1" ?).


Ah, je sais pas.

J'ai lu aucun article sur le sujet, je n'ai jamais pris le pouls de la question à l'échelle de ce qu'en dit La Culture™, mais à mon échelle je n'ai jamais eu le sentiment que ce premier était "apprécié mais sans plus". Il est la substantifique moëlle du personnage et de la persona de Murphy au ciné, ce mélange d'agilité verbale et physique, de tension permanente, d'amour de la digression et du sketch dans le sketch qu'est son enquête.

Le 2 laisse plus la part belle à la manière dont Tony Scott prend la barre visuellement. Rien que les scènes d'ouverture pendant le jogging de Bogomil, tu t'en prends plein la gueule : finis les bas-fonds gritty "à la Hill", bienvenue dans le contraste et la saturation in your face. Foley passe limite au second plan au profit de la mise en scène. Je peux citer des répliques ou des situations du 1er sans même réfléchir, alors que du 2 je retiens surtout des images fortes.

Un des films que j'ai le plus vus de ma vie, de l'enfance jusqu'à maintenant. J'adore. Il faudrait que je me les refasse tous d'ici à ce que le 4 arrive.

_________________
Looks like meat's back on the menu, boys!


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 02 Juin 2024, 22:57 
En ligne
Meilleur Foruméen
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 25 Nov 2005, 00:46
Messages: 86866
Localisation: Fortress of Précarité
ON MATE LE DEUX ENSEMBLE QGJ

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 02 Juin 2024, 23:15 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 25 Déc 2008, 02:29
Messages: 14015
Qui-Gon Jinn a écrit:
Car de la saga Axel Foley, je n'avais vu que le troisième volet en salles en août 1994.

C’était bien la peine de tourmenter Arnotte avec Die Hard.


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 03 Juin 2024, 08:04 
Hors ligne
tape dans ses mains sur La Compagnie créole
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 28 Juil 2005, 10:08
Messages: 22745
Localisation: 26, Rue du Labrador, Bruxelles
Vous ai-je déjà dit que je n’avais jamais vu aucun film avec Eddy Murphy dedans? (Oui)

_________________
Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 03 Juin 2024, 08:08 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22930
Localisation: Paris
Tu loupes pas grand chose.

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 03 Juin 2024, 09:05 
Hors ligne
Garçon-veau
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 08 Juil 2005, 15:48
Messages: 21363
Localisation: FrontierLand
Arnotte a écrit:
Vous ai-je déjà dit que je n’avais jamais vu aucun film avec Eddy Murphy dedans? (Oui)

Le flic 2 c'est extraordinaire, il faut que tu le voies (même pas besoin de voir le 1).

_________________
Netflix les gars, Netflix.


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 04 Juin 2024, 17:35 
Hors ligne
Putain, sérieux mec
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 24 Juin 2009, 12:09
Messages: 5645
Arnotte a écrit:
Vous ai-je déjà dit que je n’avais jamais vu aucun film avec Eddy Murphy dedans? (Oui)


Trading Places est un très bon film et se tient toujours dans son propos tout en étant hyper drôle. Évidemment que ma nostalgie doit jouer un peu, mais le consensus va dans mon sens.

Sinon Un Prince à New York c'est de la romcom sociale un peu grossière et plutôt cool. Vrai héritier de la blaxploitation. J'essaie de pas le survendre car c'est un des films que j'ai le plus vu dans ma vie (facile plus de 70 fois), mais ouais, hyper sympa.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 04 Juin 2024, 18:06 
Hors ligne
Expert

Inscription: 30 Sep 2016, 19:39
Messages: 5844
Son hommage blaxpoitation pour Netflix récemment était sympa (Dolemite is my name)


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 04 Juin 2024, 18:54 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22930
Localisation: Paris
Puck a écrit:
Arnotte a écrit:
Vous ai-je déjà dit que je n’avais jamais vu aucun film avec Eddy Murphy dedans? (Oui)


Trading Places est un très bon film et se tient toujours dans son propos tout en étant hyper drôle. Évidemment que ma nostalgie doit jouer un peu, mais le consensus va dans mon sens.

Sinon Un Prince à New York c'est de la romcom sociale un peu grossière et plutôt cool. Vrai héritier de la blaxploitation. J'essaie de pas le survendre car c'est un des films que j'ai le plus vu dans ma vie (facile plus de 70 fois), mais ouais, hyper sympa.


Revu les deux récemment. Faut aimer les gags et situations ultra faciles des films américains de cette époque. Le deuxième a au moins un excellent postulat de départ.

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 04 Juin 2024, 20:13 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 27 Déc 2018, 23:08
Messages: 6395
Vu aussi récemment Trading Places (comme vous j'ai du mal à regarder autre chose que des comédies, sans doute par flippe politique totale) : film bizarre, avec un faux rythme étrange qui se refuse au climax. La scène du train est foirée (une si longue mis en place et des cadrages super-sophistiqués, dignes de Kubrick, pour finalement aboutir à un sketch de Michel Leeb), par contre celle (qui lui succède immédiatement) depuis l'intérieur de la bourse du WTC en quasi-reportage à la Wiseman est remarquable, et constitue une trace historique.

De même on sent qu'Eddie Murphy est bon (la scène où il feint le miracle et le ton d'un prédicateur born again devant les flics qui démasquent le faux cul de jatte : l'autorité n'est pas contestée, elle force le personnage à mimer un salut auquel il ne croit pas, à le performer, de manière finalement efficace : elle fixe involontairement une finalité qui serait la santé à la fois physique et sociale, c'est un peu le même moment que celui où Foucault valorise les bio-pouvoirs l'ordolibéralisme etc... et on sent ce climat dans ce film) mais Landis n'utilise ce talent que pour ellipser et dépsychologiser/dépolitiser son propos (la vitesse avec laquelle Murphy devient un spéculateur de haut vol sans qu'il n'y ait la moindre ironie sur son personnage - à travers lui Landis condamne le conservatisme culturel dépassé et le manichéisme moral de la vieille finance, mais non les valeurs et les fins capitalistes).
Film aussi ambigu : on sent qu'il s'agit surtout de sauver et d'adapter au libéralisme du présent non le personnage mais une idée du cinéma issue de Frank Capra, le film lui-même finalement (peut-être le sens de la scène où vire avec un sérieux de pasteur luthérien de chez lui les putes qu'il avait lui-même invitées, il se convertit à la forme classique, à la fois combative et prude, du film et l'assume, il comprend que son énergie est un capital qu'il ne doit pas dépenser entièrement - il devient le metteur en scène qui dose et termine - par ailleurs dans ce film la sexualité n'appartient qu'aux perdants).

En effet veine de film US de ces années-là (fin du premier mandat Reagan) qui a complètement disparu (quelques années après Rain Man accentuera l'aspect Buddy Movie initiant moralement un adulte riche et enfantin au détriment de la fable , et par ailleurs Lynch va dépouiller le baroque du Road Movie de son aspect comique, annulant ainsi une forme d'historicité du genre), mettant en scène des cadres économiques mis à l'épreuve par une forme de Tentation de Saint Antoine ou de défi à la Job, condamnés à errer dans un territoire US onirique mais aussi complètement désinvesti et dépeuplé, on peut penser aussi à Planes, Trains & Automobiles (moins cynique car il y a une conversion réelle à l'altérité, mais le film est entièrement clôt sur lui-même, il édifie ses persnnages plutôt que le spectateur) d'un côté, et à After Hours de l'autre (où la dérision du capitalisme devient une hallucination diabolique et métaphysique, ce qui finit par détruire son point de départ social, c'est une expérience de damnation masculine et solitaire que le foisonnement visuel parvient à résorber et neutraliser entièrement)

_________________
Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.


Jean-Paul Sartre


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 06 Juil 2024, 22:47 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 21 Aoû 2021, 19:41
Messages: 2095
J’adore ce film depuis aussi longtemps que je me souvienne.

Déjà c’est vraiment la quintessence du polar comique eighties à tous les niveaux, du grain de l’image jusqu’aux poncifs, en passant par la musique.

Mais ce que j’admire tout particulièrement, c’est sa fluidité. Pas seulement celle d’Axel Foley, pour lequel Murphy donne tout, aussi bien physiquement que verbalement, mais quand même : je le comparais dans le topic du 4 à l’anti-héros du Roman de Renart médiéval, avatar non pas le plus ancien (presque 1000 ans tout de même !) mais un des plus parlants, pour notre culture, du trickster si cher aux anthropologues. Et c’est fascinant à quel point Foley coche toutes les cases relevées par les études comparatives (que Campbell éclipse, sa réputation boursouflée par la soupe de Lucas) : goût pour l’action par la ruse, le trouble, le mensonge, la désacralisation et la disruption, la mise à mal des conventions, la dérision utilisée contre les puissants… Bien qu’ici, pour des raisons évidentes, le personnage est défait des tous les éléments foncièrement inquiétants qui accompagnent le frisson de l’interdit suscité par cet archétype. Ses ruses se jouent toujours des angles-morts et rigidités des individus (y compris ses alliés) comme de celles des structures, retournant contre elles leurs protocoles et procédures, mais dans le seul but ici d’accéder à la vérité et la justice.

Fluidité du personnage donc, doté d’une solide dimension mythologique qui parle à l’inconscient collectif, mais du film aussi au cours duquel tout s’enchaîne constamment : retrouvailles, drame, obstacles, nouvelles rencontres, tensions (comiques ou non), résolutions, le tout entrecoupé de petites digressions (la plus fameuse étant Serge) qui servent de liant. On est constamment sollicité par de la nouveauté, de la surprise, et ce malgré les poncifs bien connus : commissariats en open space, supérieur noir nerveux, saxophone, pop explosive, le synthé désormais légendaire de Harold Faltermeyer, résistances initiales (et jouissives) des alliés pourtant naturels (Rosewood et Taggart, mais aussi Bogomil, qui ont eux aussi leur propre parcours avec obstacles et compagnie), méchants odieux etc. C’est un mille-feuille de conversations pleines de détails, qu’elles fassent avancer ou non l’intrigue, et qui contiennent, au même titre que les innombrables situations qu’elles génèrent ou dans lesquelles elles s’inscrivent, leurs propres enjeux et éléments de suspens. Et quelles situations ! Il y a au moins un conflit, majeur ou mineur, par scène et par échange. La scène au club de striptease en est un bon exemple parmi tant d’autres. C’est jamais chiant. Généreux. Accompli. Plein de bonhommie. Et même passé le plaisir désormais lointain de la découverte, ça reste excitant à suivre.

Polar 80’s oblige, il y a aussi du sale : le personnage de Jonathan Banks, d’une cruauté abyssale (l’exécution et son build-up, woah), qui nous fait vraiment vivre le truc avec sa sale gueule et ses sales maniérismes ; son patron, joué par Steven Berkoff (le méchant Russe dans Octopussy si ma mémoire est bonne) et sa tronche de sénateur Romain, dont le masque déjà abject de courtoisie glaciale et affectée s’effrite à mesure que les assauts de Foley persistent, révélant une pourriture totale ; le final showdown, bien cash, pur vestige d’une époque où les coups de feu au cinéma faisaient mal et éclaboussaient les murs, avec des acteurs qui devaient vraiment incarner la punition par là où leurs personnages avaient pêché, loin de l’aseptisation actuelle avec les mecs qui font juste une poker face en attendant la post-prod pour ajouter un trou rouge bien rond avec une larme de sang lui aussi en CGI.

Excellent. Quintessentiel.

_________________
Looks like meat's back on the menu, boys!


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 07 Juil 2024, 15:58 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 13 Juin 2013, 15:21
Messages: 2563
Localisation: Le Zócalo
Je crois que je préfère Midnight Run du même Brest tout compte fait (quand bien même Grodin ne fait pas le show comme Eddie "SNL" Murphy).


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 07 Juil 2024, 16:58 
Hors ligne
Robot in Disguise
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 13 Juil 2005, 09:00
Messages: 36706
Localisation: Paris
Walt a écrit:
Je crois que je préfère Midnight Run du même Brest
Aucune comparaison possible. J'ai été charmé par ma découverte du FLIC... récemment, mais MIDNIGHT RUN est génial et a davantage d'émotion.

_________________
Liam Engle: réalisateur et scénariste
Image


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages postés depuis:  Trier par  
Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 15 messages ] 

Heures au format UTC + 1 heure


Articles en relation
 Sujets   Auteur   Réponses   Vus   Dernier message 
Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Le Flic de Beverly Hills III (John Landis, 1994)

Film Freak

7

2075

08 Juil 2024, 19:37

Müller Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Le flic de Beverly Hills II (Tony Scott - 1987)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2 ]

Müller

15

610

09 Sep 2024, 14:31

Qui-Gon Jinn Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Beverly Hills Cop: Axel F (Mark Molloy - 2024)

Müller

3

476

21 Aoû 2024, 09:57

Film Freak Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Le Temps d'un week-end (Martin Brest, 1993)

_ZaZaZa_

9

1375

18 Juin 2007, 23:47

_ZaZaZa_ Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Rencontre avec Joe Black (Martin Brest, 1998)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2, 3 ]

Film Freak

30

4254

07 Déc 2009, 18:38

noisette 7 Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. La fille de Brest (Emmanuelle Bercot - 2016)

DPSR

1

1843

20 Nov 2016, 00:24

Karloff Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. 1984 (Michael Radford, 1984)

Cosmo

4

2231

11 Déc 2008, 07:17

Baptiste Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. The Hills Have Eyes (Wes Craven - 1977)

Zad

10

1946

26 Mai 2008, 19:34

Cosmo Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Un flic sur le toit (Bo Widerberg, 1976)

bmntmp

7

1017

10 Avr 2021, 02:46

Abyssin Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Parole de Flic (José Pinheiro, 1985)

Mr Chow

12

2595

10 Fév 2013, 13:27

Mr Chow Voir le dernier message

 


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Bing [Bot] et 11 invités


Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages

Rechercher:
Aller à:  
Powered by phpBB® Forum Software © phpBB Group
Traduction par: phpBB-fr.com
phpBB SEO
Hébergement mutualisé : Avenue Du Web