Forum de FilmDeCulte

Je suis allé voir ce film, j'étais déjà mitigé, Schumacher j'suis pas fan, Carey, mis à part Man on the moon ne m'a jamais vraiment convaincu, de plus, les 2 loustics ont déjà collaboré dans le daubesque Batman Forever...
J'en suis ressorti encore plus mal à l'aise, à pas savoir si j'ai moyennement apprécié ou si ça m'a lourdé.

En gros, la femme de Walter Sparrow lui offre un bouquin : "le chiffre 23" écrit par un certain Toppsi Crets (no comment), ce bouquin raconte la vie du détective Petitou (bis) qui croise une jeune femme qu'obsède le nombre 23, elle prétend que le chiffre la poursuit... Le détective écoute un peu trop la donzelle et se met à voir lui aussi des 23 partout. Notre héros lui commence à voir des similarités entre sa vie et celle de Petitou. Il se met à voir le nombre maudit de partout.

Le scénario est bien alambiqué, il y a quelques idées intéressantes et le thème de l'obsession des chiffres que l'on retrouve partout peut être assez génant pour les angoissés du dimanche.
Gros problème, la réalisation. Rien que le générique est grossier, ça balançe du 23 d'une manière rédibitoire, le ton est donné. Schumacher prend de mauvaise sdirections, ne s'attarde pas aux bons endroits. Il est par exemple difficile de se mettre dans la peau de ce Jim Carrey parano, le réal ne prend pas le temps de crédibiliser l'hypothèse de Sparrow, du coup, la sauce ne prend jamais. C'est long, certains personnages sont grotesques tant dans l'interprétation que dans la manière dont ils sont filmés.

En gros un bon bol de soupe qui tache à la sauce thriller façon Dark Schumacher.
2/6

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On a frôlé la fissure anale...

Et moi qui depuis le départ devant ce titre mystère, pense qu'il y a un rapport "obligatoire" avec Jordan...

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Delirium Tremens

charming...

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On a frôlé la fissure anale...

envolée lyrique ^^

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On a frôlé la fissure anale...

je peux corriger immédiatement si ça te choque

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On a frôlé la fissure anale...

En ajoutant tous les chiffres de la date de naissance, j'arrive à 23.

voilà

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Doll, it's a heartbreaking affair

c'est parce-que je suis poli et arrangeant ^^

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On a frôlé la fissure anale...

ben l'histoire des calculs dans le film est assez tiré par les cheveux d'ailleurs...

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On a frôlé la fissure anale...

merci, je sais pas comment je dois le prendre mais merci quand même...

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On a frôlé la fissure anale...

Je suis né le 10/12/1981, je fais 1+0+1+2+1+9+8+1 = 23 et je savais pas qu'il fallait faire une dernière opération derrière.

ah bah ça va je l'ai échappée belle

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Doll, it's a heartbreaking affair

une bonne nouvelle pour moi alors^^

bon sinon, je déconseille vraiment ce film
see you

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On a frôlé la fissure anale...

Eternellement jeune



Je ne suis plus President de rien, mon vrai moi a repris le dessus.



C'est vrai que je doute parfois de l'âge mental de certains de mes messages quand je les relis mais je suis bien jumeau de Britney Spears à 8 jours près, adoubé par Pierre Bachelet qui plus est.

Tu me donnais combien Jason?

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Doll, it's a heartbreaking affair

Et surtout Fionnula Flanagan.



A ce sujet je viens de penser que l'album de Jonatan Cerrada s'appelait Siempre 23 *mais c'est vrai que c'est un nombre maudit*



Ah non j'ai l'air mature et homme du vécu d'un coup sans en avoir les rides et le pourrissement de cellules, je trouve ça assez séduisant.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Franchement, ce film ne mérite pas les critiques Presse désastreuses que j'ai pu lire... C'est vrai que Schumacher ne nous a pas habitué à faire que des merveilles (les 2 plus mauvais "Batman", "Bad compagny") mais il est à l'origine récemment de vrais bons films ("Phone game", "Tigerland"), ce qui me fait dire qu'avec lui c'est un peu Quitte ou
Double...
Et la c'est bonne pioche!
La réalisation d'abord est propre et vraiment innovante, on retrouve la pêche de "phone game" mélé à une intrigue franchement prenante. Jim Carrey est simplement excellent et nous entraîne au coeur de la parano (bien mieux que "BUG" le nouveau Friedklin, décevant selon moi).
L'histoire peut paraître parfois un peu poussive sur la théorie du complot numérique malgré des explications plus "réalistes"(la fin est même un peu convenue)... Reste qu'avec ce film, c'est 1h40 de pur thriller haletant, Schumacher signe à mon avis un de ses meilleurs films et les critiques qui se sont empressés de le descendre avait à mon avis leur jugement établi d'avance selon un code qui m'exaspère un peu : on encense un Lynch/Friedklin et on
descend un Schumacher/Besson alors qu'il y a du bon et du mauvais de chaque côté... En fait c'est normal car Luc Besson = 9 lettres et Joel Schumacher = 14 lettres... 9+14= 23 le nombre maudit! CQFD!!!!


5/6

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"My mother, your mother : the earth !"

attaché de presse ?