Forum de FilmDeCulte

Très bon, merci !

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Autour de la bande-son de l'Homme de Marbre et de l'Homme de Fer de Wajda. Andrzej Korzynski était en fait membre d'un groupe appelé au Arp-Life. Un hommage au synthétiseur du même nom ?



.

Andrzej Korzyński écoutait visiblement autant George Clinton et Sly Stone que Chopin :



Le thème principal du film est en fait super-connu et il y a même un discret solo de guitare à la Eddie Hazel à la fin ( )



Attention, c'est funk et kitchischisme en diable (à côté, Cerrone c'est John Cage et Rose Royce Enescu) mais bien foutu, complètement en décalage avec le ton du film. Un petit côté François de Roubaix aussi.
Quand on entend le travail sur les guitares, cela ne m'étonnerait pas que les Daft Punk aient pioché là-dedans à l'époque de leur deuxième album.

Et les réinterpétations "romantiques" des thèmes







Belle pochette limite No-Wave (très Factory avant la lettre) pour l'album du groupe.

https://www.youtube.com/watch?v=80_477WwtMM

Série YouTube sympa sur des artistes qui font du shopping chez Amoeba records. Ca parle de musique, de films, de compositeurs, y'a plein de super trucs à découvrir à chaque vidéo.
Ici c'est Clint Mansell qui est invité.

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https://www.youtube.com/watch?v=zVrc1qeth-4

Ce qui est intéressante c'est de voir à quel point le couple musique-série est bénéfique pour les deux parties.
La série (3%) ne serait rien sans sa BO et inversement, ici ce morceau est terriblement émouvant grâce au contexte de l'épisode et à l'ambiance générale de cette série : une société futuriste glauque de plus, mais qui a gardé une forte culture Brésilienne, qui donne une sensation d'euphorie triste et angoissante.

https://www.youtube.com/watch?v=zVrc1qeth-4

Ce qui est intéressante c'est de voir à quel point le couple musique-série est bénéfique pour les deux parties.
La série (3%) ne serait rien sans sa BO et inversement, ici ce morceau est terriblement émouvant grâce au contexte de l'épisode et à l'ambiance générale de cette série : une société futuriste glauque de plus, mais qui a gardé une forte culture Brésilienne, qui donne une sensation d'euphorie triste et angoissante.

Suite au film, j'ai écouté un peu Nico que je ne connaissais en fait pas très bien (juste Chelsea Girl pris sur Soulseek il y a presque 20 ans). Mitigé. Je ne suis pas vraiment rentré dans Desert Shore, dont le dépouillement et la tristesse me semblent surjoués. Par contre The Marble Index est très intéressant,moins pour les mélodies et l'ambition (raccorder le rock au Lied romantique germanique,comme s'il y avait là une recherche d'ennoblissement, même si d'une certaine façon cette posture prend en compte la fin de l'utopie politique hippie - et c'est au prix d'un renoncement affiché et programmatique à la part soul du rock, assez gênant politiquement, tout en étant cependant assez émouvant rattachée aux problèmes d'addiction de Nico), que pour le travail de production de Nico et John Cale, extraordinaire pour l'époque.Eno, les Rallonges Heads voite même tout le courant krautrock ou des groupes comme Throbbing Gristle et Voilà leur ont tout pompé.
Drama of Exile,disque à l'histoire chahutée commene par deux très bons titres à la Siouxsie & thé Banshees ou Bauhaus (soit une fibre moins sombre et plus nerveuse que Joy Division, mais aussi moins introspective), avec un très bon guitariste,mais s'essouffle un peu. Ce qui est intéressant c'est que Nico est à la fois à l'avant-garde de la New wave lorsqu'elle est elle-même, et un peu en retard lorsqu'elle fait de la New Wave proprement dite. Et quand elle reprend I'm Waiting for my Man, elle reprend non pas l'original du Velvet, mais la version de Bowie, ce qui est assez malin.

Mon téléphone remplace "Talking"par "rallonge" (j'ai oublié quel groupe est entre-temps devenu "Voilà", lui-même un assez bon nom). S'agit-il d'un bug ?

Chésea Girls est un de mes all time favorites, un album très simple mais boulversant malgré tout.

Sinon j'ai vu que tu n'avais pas aimé Nico et donné la même note qu'à Control en son temps

Peut être qu’il vaut mieux laisser vivre ses légendes dans son propre imaginaire...

Le seul truc qui m'a gêné c'est le passage "stadium rock" dans la Tchécoslovaquie (devancer les attentes du public devient ici du courage) et le montage de vieux clip à la Pearl Jam sur le gamin organisateur qui doit s'expliquer à la police