Forum de FilmDeCulte

L’hypothèse est plus que probable

The 1990s (pronounced "nineteen-nineties"; shortened to "the '90s") was a decade of the Gregorian calendar that began on 1 January 1990, and ended on 31 December 1999.
Y aura donc eu une décennie au tout début du 1er millénaire avec seulement 9 ans, voilà, deal with it.
Imaginez un journal américain sortir une liste en 2019 avec aussi peu de films de femmes. Ca va être marrant de comparer, tiens.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Je sais plus si on l'avait fait en 2010...

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N'écoutez pas Film Freak

Sisi.

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Under the skin comme meilleur film de la décennie c’est consensuel ça ? Si je voulais faire le cliché du top film tendance arty/indé j’aurai pas fait mieux.

Mais c'est un film adoré de beaucoup et qui sera dans beaucoup de tops.

Le seul truc un peu poseur de ce top (dont je trouve tous les films que j'ai vu moyen sauf Holy Motors que je trouve nul et les deux derniers que j'aime), c'est Twin Peaks, parce que c'est une série et pas un film.

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Étonné que personne (à part Civeyrac) ne cite Linklater, notamment Boyhood. Il y a quand-même un biais amenant à privilégier les films de l'année écoulée voire des derniers mois.
C'est peut-être un versant du cinéma qui a disparu (Van Sant a peu tourné lors de la dernière décennie).

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre

Tant mieux.


Pour ma part, c'est plutôt l'inverse.

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Zahia Dehar a raison de rappeler que Much Loved est un bon film mais Persepolis c'est 2007

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre

En tout cas il a écrit un excellent article dans le numéro de ce mois-ci (J'entends d'ici les dents grincer).

Mes dents grincent pas mais mes yeux roulent fort pour la simple et bonne raison qu'il base une grande partie de son argumentaire sur une incompréhension totale du propos de Vice Versa. La Joie ne finit pas par "avoir raison" de la Tristesse. C'est l'inverse. Le film commence avec Joie qui dit qu'elle ne sait pas trop à quoi sert Tristesse et finit par comprendre (dans la fameuse scène de la déchetterie, avant le sacrifice de Bing Bong, et grâce à ce fameux souvenir de match de hockey perdu que Massart semble railler bêtement) que la Tristesse est une émotion nécessaire parce qu'elle manifeste un besoin et amène ainsi l'empathie d'autrui. Par la suite, les souvenirs qui étaient jusqu'alors coloré d'un seul teint symbolisant chacun l'émotion qui la définit se retrouvent teinté de plusieurs couleurs, rejetant tout manichéisme.

Mais c'est tellement plus facile de dire que Disney définit son spectateur idéal comme un "enfant de 5 ans"...ou non, pardon, un "programme". Oui parce que l'enfant a déjà fait son deuil et donc est déjà un spectateur adulte. Sauf que Disney fait appel à sa nostalgie donc...wait..ce texte n'aurait aucune cohérence?

PS : le Spielberg de Miority Report est tout autant à l'oeuvre sur Ready Player One qui n'est justement pas "du pur divertissement" mais une mise en garde contre PRÉCISÉMENT CE QUE MASSART SEMBLE DÉNONCER. Par ailleurs, The Force Awakens l'est aussi vu qu'il prend comme méchant...un nostalgique fétichiste.

Imbécile.

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Gros article de merde, typique du Français qui a envie de se payer la vilaine culture américaine qu'il aimerait secrètement qu'elle soit la sienne.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Le mec défends certains films US dans son article tout en faisant la moue devant d'autres, ce que tu dis n'a aucun sens. D'où par ailleurs en tires-tu la conclusion qu'il souhaiterait qu'elle soit sienne (au passage il n'y a qu'une seule culture cinématographique aux US, y a pas d'indépendants par exemple?)

Il fait la moue sur beaucoup de choses.



C'était une attaque gratuite contre la rancœur anti-américaine couplée d'envie qu'on trouve chez pas mal de Français. Qui est fatigante.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Mais surtout je trouve débile et franchement puéril d'opposer aussi frontalement Pixar/Disney et les autres. Surtout en prenant pour exemple l'un des grands films d'animation de cette décennie.

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CroqAnimement votre