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MessagePosté: 02 Juin 2008, 09:59 
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Serial Modo
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bah relis le topic de l'époque, je suis un des plus gros défenseurs du film, me fais pas de procès là! karloff lui-même lui trouvait pas mal de défauts.

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MessagePosté: 02 Juin 2008, 12:44 
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Successful superfucker
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Karloff a écrit:
Sinon DPSR est un frustré !


Pour Iron Man je suis un pédé et pour Sonata je suis frustré. Hé beh.
*c'est de la pure projection tout ça mes petits Leonard Kraditor*


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MessagePosté: 02 Juin 2008, 13:17 
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Matou miteux
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Zad a écrit:
lol, j'ai tjs l'espoir d'au moins pouvoir me raccrocher à la mise en scène, avec Kurosawa... :D


J'ai pas lu le scénar mais je comprends qu'il y ait des trucs qui fassent tiquer à la lecture (le segment un peu deux ex machina autour de la mère par exemple), d'ailleurs ces faiblesses se voient parfois à l'écran. Après, formellement, Kiki est plus que solide à la barre. Alors que ses autres drames m'ennuient tous très fort.

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MessagePosté: 26 Mar 2009, 20:37 
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Matou miteux
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Inscription: 05 Juil 2005, 13:48
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Localisation: From a little shell, at the bottom of the sea
Cool! Pour ma part, la revision a confirmé ma voyure cannoise pourtant à 2 et demi de tension en salle *d'où appréhension mais en fait non*

Mon texte refait pour toi lecteur qui ne lis pas les posts initiaux:

Image

http://www.filmdeculte.com/cinema/actualite/Tokyo-Sonata-7137.html

CHAOS CALME

"La famille ne correspond pas du tout à mon idée de cinéma"*, a pu indiquer Kiyoshi Kurosawa, une affirmation qui s'est vérifiée au fil de sa filmographie. La famille est fantôme, absente, dans Kaïro, disparition qui est une des clefs de son long métrage de spectres où les jeunes japonais errent dans l'abandon le plus total, elle est détruite, défaite, dans Licence to Live où six années de coma ont suffi pour mettre à jour ses chimères. Le couple, lui, marche sur des oeufs ou des planches pourries, qu'il s'agisse du duo de film noir enlevant une gamine dans Séance ou de l'inquiétante étrangeté du couple de Rétribution, halo fantastique expliqué par la révélation finale. Jamais vraiment au centre des préoccupations de Kurosawa, mais souvent à la racine, en menace, en objectif, la famille est cette fois le thème principal de Tokyo Sonata.

Quelques craintes d'abord: si l'on sait Kiyoshi Kurosawa souverain dans le genre, avec des films tels que Kaïro, Cure ou Rétribution qui l'imposent parmi les auteurs majeurs du fantastique contemporain, le cinéaste japonais se montre souvent plus timoré lorsqu'il se frotte au drame, voir les confus et inachevés Licence to Live ou Jellyfish, comme si, hors du genre, Kurosawa manquait d'un révélateur fantastique pour donner corps à ses réflexions. Pas de fantôme pourtant dans Tokyo Sonata, où le réalisateur traite du drame familial sur la même tonalité que son horreur: atone, dépouillée, mais quelque chose gronde à l'intérieur. Portrait subtil d'une famille nippone qui s'étiole, et dont le père se retrouve au chômage, cachant aux siens cette disgrâce, le film, porté par une mise en scène splendide et un comédien habité (Teruyuki Kagawa), se joue des paradoxes, à la fois l'un des plus déprimés de son auteur, mais aussi l'un de ses plus optimistes, lumière de réconciliation dans le chaos social. Malgré quelques problèmes de scénario, Tokyo Sonata s'envole avec assurance vers une dernière scène purement magique.

5/6

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 Sujet du message: Re:
MessagePosté: 27 Mar 2009, 17:05 
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j'étais en train de fouiller les souvenirs flous de ma vision de Mai dernier, en essayant vaguement de trouver des choses intelligentes à dire, puis en relisant le topic je vois que mon avis est déjà là, écrit par DPSR. J'ai pensé exactement la même chose.
DPSR a écrit:
Le syndrôme de la baudruche. Après un début qui remixe l'emploi du temps en comédie caustique et cruelle, le film décide de jouer la carte de l'originalité avec les trois trajectoires qui partent en sucette pour mieux se dégonfler par la suite, faute d'un scénario solide.
La "beauté" de la fin... tombe dans une certaine facilité. Dommage que le film ne se tienne pas jusqu'au bout.
3/6


Voilà , dans mon souvenir ça se prend une jolie gamelle dans la second partie à partir du moment où les personnages sont séparés, comme si ça brisait aussi l'équilibre scénaristique du film.

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MessagePosté: 29 Mar 2009, 20:03 
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Blissfully a écrit:
Si l'on sait Kiyoshi Kurosawa souverain dans le genre, avec des films tels que Kaïro, Cure ou Rétribution qui l'imposent parmi les auteurs majeurs du fantastique contemporain, le cinéaste japonais se montre souvent plus timoré lorsqu'il se frotte au drame, voir les confus et inachevés Licence to Live ou Jellyfish, comme si, hors du genre, Kurosawa manquait d'un révélateur fantastique pour donner corps à ses réflexions.



On devrait en discuter sur des sujets adéquats, mais je pense qu'il y a malentendu au sujet de ces deux films. L'aspect suggestif qui fonctionne si bien pour ses films fantastiques est souvent pris pour de la confusion et de l'inachèvement dans ses films dramatiques. Alors que ça en constitue à la fois la légèreté (par une révélation du propos non-surchargée dans la démonstration) et en constitue la richesse (au final beaucoup d'interprétations sont permises sur Jellyfish et certains éléments du film permettent de les pousser très loin sans qu'il ait besoin de beaucoup en dire. C'est ce qui fait la richesse du signe, tel que le langage de Kurosawa l'utilise : il en dit beaucoup mais ne montre pas ses bornes).

Toujours est-il que dans les deux genres, il fonctionne tout à fait de la même manière, et n'est pas plus timoré dans le drame. Et au contraire, je le trouve d'une richesse exceptionnelle dans ses drames.

Voilà.

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MessagePosté: 29 Mar 2009, 20:13 
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Matou miteux
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J'ai eu ce sentiment mais seulement sur Tokyo Sonata, pas sur Licence ni Jellyfish, ce fonctionnement assez similaire qu'il s'agisse du fantastique ou du drame, comme si cette fois l'approche suggestive de ses films de fantômes collait à un de ses drames. Mais je n'ai plus assez de souvenirs des deux derniers cités pour aller plus loin dans la comparaison.

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 Sujet du message: Re:
MessagePosté: 30 Mar 2009, 16:15 
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DPSR a écrit:
Le syndrôme de la baudruche.


C'est toi la baudruche.

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MessagePosté: 31 Mar 2009, 22:43 
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Grosse claquasse pour ma part. J'en suis sorti depuis 3h et je ne pense qu'à ça. Mon coup de cœur de l'année pour l'instant. Putain de mise en scène...


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MessagePosté: 03 Avr 2009, 22:57 
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Sublime. ça commence un peu comme une comédie sociale très drôle, pour peu à peu dériver subtilement vers le drame, avec une grâce et un sens du détail remarquable. Je m'attache pas toujours aux acteurs, mais là il faut quand même dire qu'ils sont parfaits..

Mon premier 6/6 de l'année !


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MessagePosté: 08 Avr 2009, 19:50 
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Putain, Kiyoshi, tu fais chier.

3,5/6

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MessagePosté: 08 Avr 2009, 21:36 
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Tu expliques brièvement qu'on puisse s'engueuler ?

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MessagePosté: 08 Avr 2009, 21:54 
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Localisation: bah un cimetière, tiens...
T'aurais pu me balancer un "tu pues", avant...


Bon, globalement déçu devant l'inégalité du film


En gros, c'est du 5/6 dans la première partie, ("jusqu'au j'emmerde ton autorité"), où Kiyoshi arrive magnifiquement à retranscrire les codes de l'horreur dans son drame. S'il nous avait habitué à son sens du suggestif notamment dans Jellyfish, là, il en tire un parti oringial et profond en montrant la caractère mythique ou magique que la société japonaise utilise pour se mener elle-même dans l'illusion, ceci étant la ...
Révelant ces illusions, les dévoilant en dévoilant le dévoilement même (ouais, c'est forçé, là), il constitue les bases de ce qu'on pourrait qualifier l'horreur sociale. Du film social anglais post Tatcherien aussi oppressant qu'un film d'horreur jap. Pendant toute la première partie j'ai cru au 5-6/6.

Mais voilà...


Ensuite, devant ce film d'horreur pour lequel toute fin est impossible ( Kiyoshi finit par tomber dans la facilité, et accumuler les choses convenues, ou mal traitées, pour finir par un truc vaguement salvateur, ou tout rentre dans l'ordre, mais dans l'acceptation... Finalement, comme si de rien n'était, comme si les spectres du début du film étaient juste de passage, non, une fois que l'illusion est révélée, on peut continuer comme avant, (comme s'il n'avait pas montré auparavant que la mystification allait plus loin que ça... Par exemple dans l'entretien d'embauche), comme si un road trip initiatique pouvait remettre à les compteurs à zéro (Alors merci pour les histoires de nouveau départ, super cucul. Et puis il en rajoute opur faire passer la pillules avec des rebondissements ridiculement simplistes et peu traités, des trucs juste là pour la syncronisation d'un ensemble bancal...), comme si finalement, il pouvait y avait une réalité derrière ces façades, et comme si on pouvait repartir sur ces bases. Juste une absence de praxis qui retombe quand même sur ces pattes. Bof, quoi...

Et pourtant, ça fait son effet, quand on sort de là, les compteurs sont pas mis à zéro, ils'est vraiment passé quelque chose chez le spectateur...

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MessagePosté: 08 Avr 2009, 23:24 
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Bub a écrit:
Et pourtant, ça fait son effet, quand on sort de là, les compteurs sont pas mis à zéro, ils'est vraiment passé quelque chose chez le spectateur...


Voilà, assez d'accord avec ton texte, les problèmes de la deuxième partie, et cette dernière phrase, qui fait que chez moi le film s'en sort pas mal au bout du compte.

4,5/6 donc.

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Pré Carré


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MessagePosté: 09 Avr 2009, 10:03 
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Vous avez fumé quoi les gars ? Ne me passez jamais le numéro de votre dealer… (Dédicace pour Noony).

Déjà tu pars du postulat que toute fin est impossible, je me demande bien en quel honneur. De plus tu prétends qu’on remet les compteurs à zéro, qu’on continu comme avant, c’est juste faux ; tu n’aurais pas voulu quelque chose de salvateur mais quelque chose de noir et dur, proche de la mort, sauf que pour moi cette configuration est au départ, au final ce qui te dérange c’est que Kurosawa nous décrit le récit d’une renaissance difficile et tu aurais préféré qu’il s’arrête au stade de la mort… Je trouve ça un peu simpliste et surprenant.
La première heure est effectivement grandiose mais je trouve ça encore plus beau que cette noirceur qui en découle se dirige vers quelque chose, qu’elle ne soit pas là par pure complaisance, et faire une fin comme celle qu’il a fait ne revient pas à accepter la réalité de la façade, c’est faux et tu l’avances comme ça sans rien expliquer derrière, j’aimerai bien que tu t’appuies sur des exemples… La finalité c’est qu’on ne s’intéresse plus au travail de l’homme, on le voit plus, pendant dix minutes on va voir l’enfant jouer au piano, l’élément intime et réprimé du départ qui arrive enfin à se faire entendre par le peuple qui vient se rapprocher pour le regarder… Au-delà de l’émancipation créatrice c’est tout un peuple qui se dégage de l’obsession capitaliste, la vie reprend son cours dans ce qu’elle a de plus sensible… Je pense que le film n’est pas assez dark pour toi, en tous cas c’est que je sens dans ce que tu écris, je trouve ça dommage de juger ce choix là sans prendre en compte ce qu’il en fait.
L’exemple que tu donnes de l’entretien d’embauche est très clair, il précise bien que le chaos était virtuellement présent depuis longtemps, qu’il est concrétisé désormais et c’est parfaitement exposé par l’emphase de cette séquence. Je crois que tu oublies que chez ces spectres de départ il y a une image positive, ils sont tous réunis sur un même seuil, les espaces et les divisions se resserrent… pourquoi faire de cette image là quelque chose qui va partir vers l’horreur jusqu’auboutiste ? Ce qui rend la première heure terrifiante c’est le regard de l’homme sur cette image, plus que l’image elle-même…
Enfin je ne vois pas le côté culcul de la chose, ni facile, ni simpliste, ni prétexte… il faut me donner plus d’exemples à détruire là.
Une absence de Praxis, oui si on veut, ce n’est pas un film politique au sens littéral du terme de toute façon, et tant mieux, ça reste Kiyoshi Kurosawa, un des cinéastes les plus importants aujourd’hui concernant l’affection filmique et tout ce qui tourne autour de la peur, oui je suis déçu que tu découvre aujourd’hui que Kurosawa ce n’est pas Romero… Pourtant il y a un trajet bien parlant, un individualisme en crise, une collectivité effrayante pour l’homme, la crise affective totale, et le retour au calme avec un collectif beaucoup moins effrayant, calmé… Kurosawa n’oublie jamais la question du groupe, même lorsque l’homme est seul, la première heure a été largement suffisante pour éclairer sur l’aspect métonymique et non psychologique qu’il applique au personnage, il s’intéresse aux réactions de l’homme seul face à sa peur de la communauté… Il est politique dans ce sens là et non dans le sens de la noirceur apocalyptique et complaisante…

Ce que je veux dire, c'est qu'à travers ces relations distendues, on voit naître au Japon le concept d'individu. Pour que l'individu puisse exister, la distension des rapports collectifs est nécessaire. Pour avoir accès à la liberté individuelle, il fallait échapper à toutes les relations hiérarchiques qui caractérisaient le Japon d'hier. Je sais bien qu'en France, le concept de liberté est un héritage de la Révolution Française, je n'ai su que l'emprunter pour réaliser mes films.
Kiyoshi Kurosawa

Bon ben puisque tu trahis un de tes cinéastes fétiche, je me vois dans l’obligation de mettre 6/6 pour compenser.

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