Forum de FilmDeCulte

Deux enfants issus de naissances in-vitro ont été élevés par leurs mères lesbiennes. Arrivé à 18 ans, la grande soeur décide de prendre contact avec son père biologique.

J'avais abandonné espoir avec Lisa Chodolenko, les deux films vus d'elle était chiant et mal écrits, manquaient du petit truc en plus.

Mais voilà que se profile enfin l'excellente surprise "The Kids are all right", porté par une présentation triomphale à Sundance.

Casting royal: Bening, bien sûr, pressentie pour les oscars, et puis aussi et surtout les trois perles du film: Julianne Moore, définitivement géniale, Mark Ruffalo, idem et une jeune que je découvre vraiment enfin, Mia Wasikowska qui sortie du costume d'Alice, décroche un vrai personnage et se révèle pas mal.

Excellent film parce que bien écrit malgré un sujet ultra casse gueule, risquant de tomber inévitablement dans le trop "pro-lesbien anti-homme" ou autres pièges du sujet...Rien, c'est bien foutu, c'est dialogué comme il faut, rythmé, jamais pesant...

Bref, la grosse bonne surprise hier soir. Par contre, je saisis pas le buzz sur Benning alors que le film repose autant sur elle que les autres.

Et puis filez un oscar à Mark Ruffalo, merde! Ce mec est génial, génial, génial!

5/6

Mettre des majuscules où il faut dans le titre.

6/6

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Bening, pas Benning.

6/6

Ah bah putain à ce point ? Ça avait l'air tout mou...

Non, mon 6/6, c'est une blague comme celle de Freak.

Le film, c'est 2/6. Chouettes acteurs, mais sans grand intéret même si ça se regarde.

Un peu pareil, et puis ça pleure un peu trop dans ce film, c'est quelque chose qui me gave.

Par contre je sur-adore Mark Ruffalo, vraiment. Du coup je monte à 3/6.

J'arrive pas à comprendre que ce film complètement inconséquent et vraisemblablement vide ait eu une telle reconnaissance, à croire qu'il suffit de substituer un couple gay au couple hétéro habituel pour créer une illusion d'originalité pour cette (ou ces) histoire(s) mille fois vue(s) de couple en crise/adultère ou découverte tardive d'un père.
C'est peuplé de personnages antipathiques (Annette Bening décroche la palme) construits à partir de clichés ("ohlala les pauvres parents paumés qui comprennent pas leurs enfants") dans des situations prévisibles au possible (wow, je me demande trop qui va coucher avec qui), le tout pour aboutir à un propos d'une banalité confondante ("le mariage, c'est dur", je cite hein, c'est dit texto à la fin du film lors de la scène dite du "Discours Final").
Je ne pourrais pas nier au film une certaine justesse par moments, mais elle reste entachée de stéréotypes et d'un fond peu intéressant, malgré l'habillage "moderne" (couple lesbien, insémination artificielle, etc.).

1,5/6

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