Film Freak a écrit:
Pas encore vu le 6, je voulais attendre d'avoir tout vu (dont les 7) pour m'exprimer parce que j'attendais avec espoir une explication à ce que Cuaron avait vu là-dedans (au-delà de la mort d'un enfant, sa marotte). Pour le moment, même si je trouve ça très élégant dans la mise en scène, j'ai vraiment l'impression de regarder une série Star Wars de Disney+ tant tout aurait pu être condensé en un ou deux épisodes.
Ou un film.
Là, je ne comprends pas la nécessité de s'étirer de la sorte, c'est chiant, avec cette voix off de plus en plus casse-couilles.
J'imagine qu'il va être révélé que tout ce qu'on voit comme "flashbacks" et que l'on soupçonne être davantage l'illustration du roman que la réalité (y a qu'à voir les choix de BO à base de zique de porno soft et d'Umberto Tozzi) va être révélé comme (à moitié) faux ou quelque chose dans le genre?
Ne me dis pas, Art Core. Je mets ça ici pour la postérité tel The Protagonist.
Haha. Ouais. Donc.
Je confirme que
this could've been an email.
Je sais pas si ramassé sur un film de deux heures le récit aurait paru moins poussif mais en l'état, j'ai vraiment trouvé ça de moins en moins crédible au fur et à mesure que ça avançait. Je trouve ça presque malhonnête dans la façon dont ça cultive son mystère à moité éventé, c'est quand même une réalité qui s'arrange grandement pour maintenir le flou
donc le propos sur le procès fait avant d'avoir entendu toutes les versions en prend un coup.
Après, je le répète, la réa est très bien, entourant régulièrement ses personnages de grandes fenêtres, symbole d'un monde transparent, d'une société invasive et impudique. Mais dans l'écriture, c'est pas loin d'être ce que Cuaron a fait de plus mauvais.